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    Deep End
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    98 critiques spectateurs

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    Christian B.
    Christian B.

    18 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 décembre 2012
    Film sans plus , une histoire d'un amour mais pour moi un film qui ne renverse pas , juste interessant mais sans plus
    AMCHI
    AMCHI

    5 873 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juin 2012
    Deep End c'est l'histoire d'un jeune homme qui veut se dépuceler et jette son dévolu sur sa collègue de travailler et on peut le comprendre car la rouquine Susan jouée par Jane Asher est plutôt mignonne. Film cynique par forcément méchant mais ne faisant pas de réels cadeaux à ses protagonistes avec des moments moins emballant que d'autres mais tout de même toujours assez spécial pour nous accrocher Deep End est un film amusant à suivre. Sa fin est tordue.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 863 abonnés 12 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2013
    C'est en Angleterre que le polonais Jerzy Skolimowski tourne "Deep end", film culte consacrè à un jeune homme perturbè par ses problèmes sexuels! Mais cet ado, employè dans un ètablissement de bains publics d'un quartier pauvre londonien, va s'èprendre de la volcanique Jane Asher! Dècalè, intelligent et parfois poignant, ce film de 1970 est probablement l'oeuvre la plus connue de cette curieuse personnalitè qu’est Skolimowski, avec comme souvent chez le metteur en scène polonais ce dèsespoir poli dans la description de la banalitè du quotidien! Avec une libertè de ton inhabituelle, on ne garde de cette histoire que des souvenirs fragmentès! Une oeuvre parfois cruelle, à la puissance visuelle souvent impressionnante où l'on se souviendra longtemps de son final inattendu dans la piscine, sèquence sanglante mais très belle qui situe le film dans une zone incertaine, entre fantasme et rèalitè, qui en accentue du coup l'intèrêt! A noter que Cat Stevens fut choisi par Skolimowsky pour la musique...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 196 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2012
    "Le lauréat" de Mike Nichols, "Trois femmes" de Robert Altman , "Friends" de Lewis Gilbert, "Harold et Maud" de Hal Ashby, "Deep End" de Jerzy Skolimowski, autant de films des années 70 qui offrent le regard très personnel de leur réalisateur sur l'éveil à la sexualité d'adolescents en rupture avec leur milieu familial. Ces cinq films à la dimension poétique très développée ont acquis avec les décennies le statut de films cultes. Le passage à l’âge adulte est la période de tous les possibles où les contraintes de la vie n’ont pas encore commencé à effacer les rêves les plus fous que chacun a pu se construire depuis l’enfance. Mike,16 ans, débarque dans cette piscine municipale de Londres un peu délabrée où travaille Susan, jeune femme libérée, un peu fantasque qui va faire exploser tous les fragiles repères du jeune homme encore en pleine construction. Susan, sublime Jane Asher, complètement femme mais encore adolescente va vite comprendre l’ascendant qu’elle peut prendre sur ce jouvenceau transi d’amour. Tout homme ayant dépassé le stade difficile de la puberté, s’il fait l’effort de se rappeler cette étape douloureuse mais aussi exaltante, peut facilement comprendre l’état d’esprit de Mike soumis aux sautes d humeur d'une Susan qui joue avec lui au chat et à la souris à travers des jeux amoureux gentiment pervers. Le tout se déroule dans l’ambiance étrange de cette piscine devenue l’aire de jeu des deux jeunes gens qui rompent très rapidement avec l'organisation en place pour profiter pleinement des parties de cache-cache qu'ils se livrent à travers les petites perversités auxquelles s'adonnent les clients dans l'espace confiné et moites des cabines. C'est ainsi que Mike va subir une initiation brutale à la complexité de l'orgasme féminin, coincé dans les rondeurs débordantes d'une Diana Dors sur le retour qui pour l'occasion offre une sublime participation à Skolimowski dont elle était le fantasme de jeunesse. C’est à Munich que Skolimowski et son équipe ont pu trouver la fameuse piscine qui leur faisait défaut à Londres. Idem pour les scènes se déroulant dans le parc où Susan perd le diamant de sa bague, prélude à la conclusion tragique et onirique du film. Le Swinging London alors en pleine effervescence donne la tonalité temporelle de cette histoire d’amour représentative de l’insouciance qui régnait encore en Grande Bretagne après l’éclosion du flower power dont les effluves venues des States ne se sont pas encore complètement dissipées. Skolimowski qui a semé des indices durant tout le film (la goutte de sang du générique, la peinture rouge du couloir, la blessure à la main de John contre le bouton d’alarme,…) a choisi de conclure tragiquement cette histoire, peut-être comme un présage que la grande parenthèse enchantée qui s’était ouverte depuis 1967 était déjà en train de se refermer. C’est un banal accident qui conclura tragiquement le parcours initiatique de Mike qui avait déjà entrevu à travers Susan que le monde des adultes vous oblige à sacrifier un peu de vous même pour s'y faire accepter.
    tixou0
    tixou0

    707 abonnés 2 000 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juillet 2011
    Vue en avant-première, cette reprise de "Deep End" ne m'a que modérément séduite. Si les beaux cadrages et le travail sur la couleur et l'eau sont à retenir au crédit de ce mythique film de Skolimowski que je découvrai, l'ensemble de cette variation fantasmatique sur les émois amoureux d'un adolescent ("Mike", joué par l'ancien enfant-star John Moulder-Brown, blondinet assez fade vu plus tard dans le viscontinien "Crépuscule des Dieux") aux abords de la piscine des bains publics de l'East End où il travaille et rencontre "Susan" (Jane Asher, pétillante rousse, surtout connue pour sa liaison de jeunesse avec Paul McCartney) m'a paru plutôt daté (même si c'est une partie du charme de la réalisation que d'être précisément emblématique de la fin des "sixties", moment de son tournage).
    Plume231
    Plume231

    3 919 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mars 2012
    Autant le dire tout de suite, ce qui m'a gêné dans ce film c'est qu'on suit tout simplement une des pires têtes à claques qui m'ait été donné de voir au cinéma. Et le seul geste sympathique dont on a envie de faire preuve envers celui-ci, c'est de lui enfoncer la tête sous l'eau jusqu'à ce que mort s'ensuive. On a nullement envie de s'indentifier à lui. Le cabotinage de l'acteur ne fait rien en plus pour arranger cela. Mais "Deep end" a le mérite à travers le prétexte des premiers grands émois de l'adolescence de montrer un Swinging London glauque, peu reluisant, loin de l'image carte postale auquel on a le droit habituellement. Et puis, il y a la fascinante et belle Jane Asher et sa chevelure rousse qui est totalement remarquable et donne énormément à l'ensemble. La fin, allégorique, est très bien mise en scène.
    jfharo
    jfharo

    56 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2011
    Une ambiance singulière et très attachante , sur de belles images notamment la scène finale carrément sublime !.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 avril 2013
    Deep End est un très bon film sur le parcours initiatique du jeune Mike (très bon John Moulder-Brown) dans les années 70 qui bizarrement n'a pas beaucoup vieilli et confronte le spectateur (à travers Mike) à la dure réalité de l'époque, charnière pour la génération adolescente et propose une esthétique très soignée, faisant presque l'objet d'oeuvre d'art expérimentale dans la dernière séquence magnifique concluant d'une superbe manière le long-métrage de Skolimowski. Mais c'est avant tout l'histoire d'un jeune naïf qui va tomber amoureux d'une jeune femme ambiguë collectionnant les conquêtes avec rémunération ou pas joué par la très belle Jane Asher, peu à peu on va voir la relation entre Susan et Mike évolué mais surtout c'est la mentalité de l'adolescent qui va changer en tout point. Et c'est cette excellente écriture des personnages et de leurs aventures qui font que l'on suit le film avec beaucoup d'intérêt même si la naïveté de Mike nous empêche de nous identifier à lui. Cela reste très bon grâce au parfait mélange entre fond et forme et trouve un intérêt par rapport à sa sortie en 1970 (passé inaperçu à l'époque) : il permet de confronter deux époques totalement différentes et renforce certains passages immoraux (mais pas assez "choquants").
    Avec Deep End, on ne peut pas dire que Jerzy Skolimowski avait touché le fond, loin de là.
    zinjero
    zinjero

    20 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2012
    Deep End est un film qui aurait pu être une vraie réussite sans son erreur de casting et,/ou conjointement; avec une meilleure écriture du personnage masculin principal. Il faut avoir en tête que l'acteur John Moulder-Brown qui a 18 ans au moment du film incarne un adolescent de quinze ans dans le film. Et force est de constater l'oscillation entre ces deux âges ce qui nuit un peu à la crédibilité et à une évolution réussie du personnage. On a donc un déséquilibre avec Jane Asher qui, elle, apparaît comme l'interprète idéale pour incarner cette fille volage à la croisée des chemins. Reste quelques moments forts avec, notamment, la scène d'anthologie avec la Sue en carton et les hots dogs. Avoir réhabilité Deep End est une bonne chose. Le film reste à voir mais c'est loin d'être un chef d'œuvre.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 652 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 février 2021
    Cette production qui se déroule en Angleterre et est filmée à la fois là-bas et en Allemagne concerne un garçon de 15 ans atrocement insipide qui obtient son premier emploi en tant que préposé aux bains publics. Il évite les avances de cette clientèle particulière tandis que sa relation de flirt avec une collègue de travail blasée prend plusieurs mauvaises tournures. Le réalisateur Jerzy Skolimowski instaure une atmosphère de travail qui semble terriblement exacte bien que dans une veine morne et moisie. Ce devrait être une sorte de portrait désarmant mais ces enfants ne sont ni aliénés, ni rebelles ni avant-gardistes. Il ne semble pas s'intéresser à grand-chose si ce n'est à créer des frictions qui se traduisent par beaucoup plans de seins nus et de fesses. Skolimowski est extrêmement précis dans ses détails et pourtant son style jaunâtre est vraiment le portrait d'ensemble de cette histoire. Les personnages ne sont pas sympathiques tandis que la tragédie qui s'ensuit (aussi choquante soit-elle) est rendue ridicule lorsqu'on la filtre à travers les prétentions du cinéaste...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 avril 2015
    Un film adoré de la presse et carrément déjanté. Esthétiquement, "Deep end" relève du génie et s'impose comme une référence.
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    134 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juillet 2014
    Film d'une rare misogynie, conforme à ces années de fausse émancipation sexuelle.
    Violent et malsain.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 23 janvier 2013
    Film qui ne vaut pas sont pesant de cacahuètes, c'est juste un fantasme d'adolescente des années 70 avec un twist final ridicule !
    Zadigo
    Zadigo

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2019
    Voici l'histoire d'un idéal qui meurt dans l'oeuf. Un idéal féminin né dans l'âme d'un jeune londonien de 15 ans, plus mature par sa personnalité et son apparence, qui quitte l'école pour un travail aux bains publics où il se retrouve confronté à un monde d'adultes sexuellement décomplexés dans une société en mutation.
    Mike est un jeune idéaliste, il idéalise l'amour, physique aussi. Aux bains il travaille avec Suzan. A ses yeux elle représente l'émancipation et l'avenir à l'heure où règne encore une culture fortement patriarcale flirtant quelques fois avec la pédophilie.
    Mike cristallise son fantasme en Suzan. Mais Suzan est ambigue, à l'image de cette société très paradoxale de l'époque. Car Suzan, si elle revendique l'égalité sexuelle, n'est pas totalement affranchie du regard des hommes et de son image, qu'elle utilise à des fins lucratives. Mais obstiné à vouloir toucher du doigt ce fantasme, Mike finalement le détruit.

    Une des réussites de ce film réside dans la poésie que le réalisateur créé par les contrastes : les personnages de Mike, l'angélisme de son visage, la naïveté de ses rêves, sa virginité préservée, et de Suzan, la singularité de sa beauté, ainsi que la frivolité puérile de leur relation, tout ça dans la moiteur crasse des bains et dans une société excessive tantôt obsédée par le sexe ou l'argent.
    norman06
    norman06

    350 abonnés 1 669 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2011
    Un choc. Ce récit décalé d'une initiation adolescente est un bijou d'étrangeté et de finesse. Les séquences dans la neige puis la piscine sont déjà cultes. Le meilleur film d'un grand cinéaste polonais et une date dans l'histoire du cinéma anglais.
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