Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
Jerzy Skolimowski sort "Deep End" en 1970 et fait de cet impétueux récit initiatique l'une des plus belles pièces de sa filmographie. Fulgurant, grotesque, romantique, social et pop, le film est un étrange mélange, resté trop rarement visible.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
L'un des plus beaux films sur les amours adolescentes, paumées au fond de la piscine, noyées dans un bassin vide. En découvrant ça, on éprouve le sentiment rare de toucher du doigt le nirvana.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C'est drôle et noir, incisif et intelligent, superbement écrit, filmé et mis en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Le film enfin restauré avec ses rutilantes couleurs pop venant balafrer la grisaille londonienne est un chef-d'oeuvre de mélancolie et de cruauté, ancêtre pas si lointain des teen-movies sensibles signés Gus Van Sant dans son exploration empathique des émois définitifs de l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Myriam Perfetti
Cette balade d'Eros et de Thanatos dans l'East End londonien, si elle a perdu de son caractère sulfureux - plus personne ne crie au loup devant des corps dénudés -, n'a, en revanche, rien perdu de son propos intemporel et universel.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Gérard Delorme
Skolimowski trouve un équilibre miraculeux entre justesse psychologique et poésie visuelle, entre humour et tragédie. (...) Quarante ans après, le film n'a pas pris une ride.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Couleurs violentes, chronique kaléidoscopique : le tableau décrit le tumulte de l'adolescence, le désir obsessionnel, l'énergie et la peur liées au rite de passage tout en dépeignant le crépuscule d'un époque, le Swinging London.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Jerzy Skolimowski sort "Deep End" en 1970 et fait de cet impétueux récit initiatique l'une des plus belles pièces de sa filmographie. Fulgurant, grotesque, romantique, social et pop, le film est un étrange mélange, resté trop rarement visible.
Excessif
L'un des plus beaux films sur les amours adolescentes, paumées au fond de la piscine, noyées dans un bassin vide. En découvrant ça, on éprouve le sentiment rare de toucher du doigt le nirvana.
L'Obs
C'est drôle et noir, incisif et intelligent, superbement écrit, filmé et mis en scène.
Les Inrockuptibles
Le film enfin restauré avec ses rutilantes couleurs pop venant balafrer la grisaille londonienne est un chef-d'oeuvre de mélancolie et de cruauté, ancêtre pas si lointain des teen-movies sensibles signés Gus Van Sant dans son exploration empathique des émois définitifs de l'adolescence.
Marianne
Cette balade d'Eros et de Thanatos dans l'East End londonien, si elle a perdu de son caractère sulfureux - plus personne ne crie au loup devant des corps dénudés -, n'a, en revanche, rien perdu de son propos intemporel et universel.
Première
Skolimowski trouve un équilibre miraculeux entre justesse psychologique et poésie visuelle, entre humour et tragédie. (...) Quarante ans après, le film n'a pas pris une ride.
Télérama
Couleurs violentes, chronique kaléidoscopique : le tableau décrit le tumulte de l'adolescence, le désir obsessionnel, l'énergie et la peur liées au rite de passage tout en dépeignant le crépuscule d'un époque, le Swinging London.