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Votre avis sur L'Ombre blanche ?
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Un des bons Seagal. Action suspense. Scénario sans surprise, certes, mais on ne se montrera pas trop difficile. Quelques invraisemblances aussi, sur lesquelles les inconditionnels passeront.
En 1996, Steven Seagal était encore un acteur bankable, je dis bien encore car c’est après «L’ombre Blanche» qu’il se mit à collectionner les bonnes grosses daubes et qu’il commença à sombrer dans les profondes douves du marché de la vidéo. Dans ce film, qui reconnaissons le, est un policier sans grand intérêt, la formule change un peu. Steven distribue un peu moins de pralines mais n’oublie pas de nous offrir quelques cassages de bras dont il a le secret. Petite nouveauté: il dézingue un gang de mafieux avec une carte de paiement (il faudra que j’essaie de foutre une lame sur la mienne, juste pour déconner, juste pour voir si j’y arrive). Ce qui ne change pas, c’est que le père Seagal est toujours aussi inexpressif ! Plus centré sur l’humour que sur l’action, cette «Ombre Blanche» reste le dernier film à peu près convenable de la carrière de son acteur principal. On peut s’en passer, cela va de soi, mais quand on s’emmerde, ce film devient étrangement ludique.
Yannickcinéphile
Ah, des Seagal j’en ai vu un paquet, et celui-ci est le premier que je critique (les autres c’est pour plus tard). L’ombre blanche est sans doute l’un de ses meilleurs films, et même si je n’ai pas vu toute sa pléthorique filmographie, je ne crains pas de m’avancer sur ce point. Le point fort de l’Ombre blanche est surtout qu’il est beaucoup moins sérieux que les films habituels de Seagal, et se rapproche un peu de l’Arme fatale dans ses intentions. Seagal bénéficie pour une fois d’un personnage avec un peu de relief (même s’il est quant même très caricatural). Un peu baba cool, il ne se contente pas de tuer comme un bourrin, et il faut le voir se trimballer avec ses gri gri autour du cou et ses chemises aux imprimés incroyables ! Son acolyte est bien meilleur. Keenen Ivory Wayans évite l’écueil du noir marrant qui surjoue à mort et fini par vous agacer (confère Martin Lawrence dans la plupart de ses rôles). Amusant quant il le faut, il sait être sérieux, et s’implique dans son rôle. Le reste du casting n’a rien de marquant en revanche. Le scénario n’est pas original. Duo de flics, méchant très très méchant, flic pourri, machination, bref les lieux communs se suivent et se ressemblent, et fini par s’embrouiller les pinceaux avec des rebondissements un peu invraisemblable (le tueur des familles devrait s’appeler Musclor pour arriver à faire ses mises en scène tout seul !). Malgré tout le film est rythmé, bon enfant et néanmoins musclé. D’ailleurs les séquences d’action et de combat sont probablement parmi les meilleures que j’ai pu voir avec Seagal, et le combat final est une très belle démonstration d’aïkido. Si c’est un art martial moins spectaculaire que le kick boxing ou le kung fu il a une vrai efficacité lorsqu’il est bien filmé ! Il est clair que l’Ombre blanche n’est pas un chef d’œuvre, mais c’est une petite série B d’action qui sent bon les années 90, et pour les amateurs mérite le détour. C’est fun, bien enlevé et pas trop mal interprété.
L'ombre blanche est une débauche de violence et ne vaut surtout que pour la montagne de muscle qu'est Steven Seagal, ici avec Keenen Ivory Wayans. Efficace.
Pour moi un de ses meilleurs films! Une bonne intrigue, de l'humour, de l'action, des combats à la Steven Seagal :) Le top !!!
Un des meilleurs Seagal (pour les amateurs du genre). L'intrigue est intéressante et ponctué de bons combats, notamment le final.
Un bon petit nanar avec un Steven en forme, le seul élément nouveau est la présence de Keenen Ivory Wayans en sidekicks comique presque 10 ans Le Dernier Samaritain. Pour le reste on roule à l'ordinaire avec scénario débile et réalisation pourrie. On peut juste rajouter que Steven fait pour une fois preuve d'un peu d’auto-dérision mais pas trop quand même il a quand même un statue à défendre.
NICO. A la gloire et à l'honneur de Seagal. Rien d'original.
Steven Seagal à l’œuvre dans un genre qui a fait sa célébrité.
l'ombre blanche est un excellent policier melangeant thriller et action avec un steven seagal en forme dans les scene de castagne avec une touche d'humour,le duo fonctionne bien avec keennen ivory wayans, je pense qu'il fait partit des beau bijoux de la filmographie de seagal, un bon film qui divertit et qui n'a pas trop mal vieillit avec le temp!!!
L'Ombre Blanche s'inscrit dans la lignée de L'Arme Fatale, en conservant tous les ingrédients qui font le succès des films d'action : scènes d'action musclée, combats d'arts martiaux, explosions spectaculaire et une petite touche d'humour.
Ah Steven Seagal... Le master du moulinet dans le vent, l'homme qui n'a peur de rien, l'acteur qui hante les vidéos clubs depuis plus de dix ans. Curieux de constater que L'OMBRE BLANCHE est un bon film... Comique, divertissant, comique (je l'ai déjà dit). B Sur une intrigue tendance à l'époque de sa réalisation (un pseudo SEVEN), Steven Seagal et Keenen Ivory Wayans sont deux flics que tous séparent (L'un est un boudhiste expert en arts matiaux et l'autre un flic bien tranquille qui adore le film Casablanca) mais ils vont devoir faire équipe pour le meilleur et pour le pire. Bref, un tandem de choc pour un film coup de poing, si vous voulez vous marrer pendant 1h30, je vous le conseille.
Steven Seagal est encore un très bon actioner en 1996, et cette fois, on l'associe avec la star qui monte, Keenen Ivory Wayans, à peine sorti du succès d'In Living Color.
Réalisé par John Gray, le futur créateur de la série Ghost Whisperer, sans grand talent et avec des combats très coupés au montage pour cacher l'embonpoint gagné par Steven Seagal entre deux films. Le scénario est écrit par Kevin Brodbin, qui écrira Profession Profiler plus tard, est réellement incompréhensible par moments et perd certaines de ses storylines en plein film, ce qui nuit vraiment beaucoup au film. Mais comme les acteurs sont plutôt bons, Keenen Ivory Wayans et surtout Brian Cox en tête, le film est amusant, Steven Seagal n'est pas encore nul, et on passe sur le ridicule de Stephen Tobolowsky, de John M. Jackson et même de Bob Gunton.
Johnny Strong et Nikki Reed y apparaissent tout jeunes pour les curiosités, et le tout est tourné sous une photo sombre qui donne au film ce ton assez noir et plutôt cool en fin de compte. Un bon film policier, sans prétention.
Réalisé par John Gray, le futur créateur de la série Ghost Whisperer, sans grand talent et avec des combats très coupés au montage pour cacher l'embonpoint gagné par Steven Seagal entre deux films. Le scénario est écrit par Kevin Brodbin, qui écrira Profession Profiler plus tard, est réellement incompréhensible par moments et perd certaines de ses storylines en plein film, ce qui nuit vraiment beaucoup au film. Mais comme les acteurs sont plutôt bons, Keenen Ivory Wayans et surtout Brian Cox en tête, le film est amusant, Steven Seagal n'est pas encore nul, et on passe sur le ridicule de Stephen Tobolowsky, de John M. Jackson et même de Bob Gunton.
Johnny Strong et Nikki Reed y apparaissent tout jeunes pour les curiosités, et le tout est tourné sous une photo sombre qui donne au film ce ton assez noir et plutôt cool en fin de compte. Un bon film policier, sans prétention.
Caine78
Pour un Steven Seagal, c'est presque regardable. Voilà comment nous pourrions résumer simplement cette « Ombre blanche » ne brillant ni par son originalité ni pas sa mise en scène, tous les deux d'une banalité assez affligeante. On appréciera néanmoins la présence des deux excellents seconds rôles que sont Brian Cox et Bob Gunton, sans oublier un petit sens de l'humour nous permettant de rendre l'ensemble un peu plus digeste. C'est à peu près tout, et cette « Ombre blanche » ne manquera d'ailleurs pas de s'effacer de votre cerveau à peine après visionnage. Eh les gars, ça reste quand même un film avec Steven Seagal, faut pas trop en demander quand même!
Un bon petit film d'action sauce Seagal typique de la fin 90. Un réalisateur de seconde zone, un scénario qui n'existe pas et de l'action dispersée un peu partout mais pas trop.
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