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Marivaudage sentimental à l'italienne (je t'aime, je te rends jaloux) entre Mastroianni et Sophia Loren. La beauté naturelle de celle-ci est aveuglante et rend ridicules toutes les bimbos botoxées du 21e siècle.
Un film délicieusement suranné. Les années 1950 en Italie dans le monde de la mode et de la photographie , décrites avec une férocité bienveillante. Une histoire dont on voit rapidement l’issue mais il reste des scènes très agréables, bien interprétées et bien filmées. Le film est porté par Sophia Loren et Marcelo Mastroianni . Très bavard mais charmant.
Je voulais le voir depuis un moment, étant une grande fan de Sophia Loren et du duo Sophia/Marcello. J'avais peur d'être déçue, mais ce film est un petit bonbon. Un vrai plaisir, comédie légère mais fine, avec de belles images et de bons dialogues :)
weihnachtsmann
Comédie plutôt moyenne et bavarde. Des clichés un peu lourds et un trio amoureux au final ennuyeux malgré la présence de Boyer.
La "Chance d'être femme" n'est pas un film macho italien de plus, c'est au contraire une étrange comédie acerbe de 1956 où Sophia Loren joue le rôle d'une aventurière antipathique qui utilise sa beauté pour faire carrière.
Après avoir écrasé tout le monde autour d'elle pour faire son trou dans le cinéma, en fin de compte prise au piège de sa sincérité, elle épousera quand même le petit photographe qui l'a découverte et non le comte plus ou moins pourri qui l'a introduit dans la "bonne" société. Il faut dire qu'entre Mastroiani et Charles Boyer, on la suit.
Ce conte cruel où Loren joue le mauvais rôle, ce qui est très rare, est issu de la fine plume de l'immense scénariste et dialoguiste Suso Cecchi d'Amico (elle est l'auteur du scénario de 70 films qui sont très souvent des chefs d'oeuvre comme Rocco, le Guépard, Ludwig, Tre Donne etc etc). C'est donc la patte de Cecchi qui fait tout le sel de ce film paradoxal.
Après avoir écrasé tout le monde autour d'elle pour faire son trou dans le cinéma, en fin de compte prise au piège de sa sincérité, elle épousera quand même le petit photographe qui l'a découverte et non le comte plus ou moins pourri qui l'a introduit dans la "bonne" société. Il faut dire qu'entre Mastroiani et Charles Boyer, on la suit.
Ce conte cruel où Loren joue le mauvais rôle, ce qui est très rare, est issu de la fine plume de l'immense scénariste et dialoguiste Suso Cecchi d'Amico (elle est l'auteur du scénario de 70 films qui sont très souvent des chefs d'oeuvre comme Rocco, le Guépard, Ludwig, Tre Donne etc etc). C'est donc la patte de Cecchi qui fait tout le sel de ce film paradoxal.
Un bon moment de cinéma italien : léger, cocasse ... et comment ne pas succomber au charme de Sophia Loren ?
La chance d'être femme, oui surtout quand on s'appelle Sophia Loren et qu'on veut percer dans le monde du cinéma et qu'on a une volonté de fer et du bagout.......ce film est un peu le mode d'emploi pour sortir de sa condition dans les années d'après guerre. "Voyons, nous sommes en 1956, et toi, tu ferais comme nos grands mères ?" cette réplique de Mastroianni à Sophia Loren résume toute la modernité de ce film bien avant les années 68........ un écrin pour le couple mythique de cette époque......
Le film n'a pas le rythme soutenu de "Dommage tu soit une canaille" et les personnages sont moins attachants. Mais les dialogues sont excellents, et Sophia Loren habillé par Schubert, le grand couturier de la Rome des année cinquante, est brillante, belle et sensuelle à couper le souffle. Même si le rôle de Mastroianni est un peu en retrait, le couple est toujours ok!
Finalement le scénario, comme le titre du film, ironique, est moins banal qu'il le parait (scénario de Suso Cecco D'amico, scénariste de Visconti entre autres, et Ennio Flaiano). Le charme désuet et l' humour de cette comédie nous permettent de passer un moment délicieux à Rome, en belle compagnie.
Finalement le scénario, comme le titre du film, ironique, est moins banal qu'il le parait (scénario de Suso Cecco D'amico, scénariste de Visconti entre autres, et Ennio Flaiano). Le charme désuet et l' humour de cette comédie nous permettent de passer un moment délicieux à Rome, en belle compagnie.
Bon OK un peu vieillot comme scénario, mais bon sang quel bon moment on passe en compagnie de la magnifique Sofia Loren et le non moins attrayant Marcello dans une comédie sans prétention mais assez "italienne"
MT
MT
Une comédie romantique à l'italienne qui manque très sérieusement de piment. Il faut bien dire que les rebondissements sont cousus de fil blanc, que la mise en scène d'Alessandro Blasetti est terne et ne fait rien pour donner de l'énergie à l'histoire ce qui ne fait que mieux en accentuer la faiblesse ; et puis surtout, chose impardonnable, il n'utilise pas toutes les possibilités, loin de là, qu'offre l'alchimie unique qu'il y a entre Sophia Loren et Marcello Mastroianni. Sans piquant, sans saveur, fadasse, bref un film anodin qui en dépit de son duo d'acteurs principaux s'oublie très vite.
C'est en 1956 qu'Alessandro Blasetti met en scène "La chance d'être femme". Sa carrière s'ètale sur plus d'un demi siècle ponctuè de films historiques ou de comèdies de moeurs qui tèmoigne de sa sensibilitè et de son goût pour la sociètè italienne! Blasetti retrouve ici Sophia Loren qu'il avait notamment dirigè dans "Quelque part dans la vie". L'actrice formera avec Marcello Mastroianni le couple le plus cèlèbre du cinèma italien! La chance d'être femme ? Sûrement surtout quand on s'appelle Sophia Loren qui s'en prend au photographe Mastroainni dont elle finira par tomber amoureuse après avoir tentè, encouragèe par un comte que joue le sèduisant Charles Boyer, de devenir une star! Une amusante comèdie à l'italienne destinèe au couple Mastroianni-Loren avec de superbes scènes en nocturnes dans les rues de Rome...
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