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Le cirque de l'horreur, cela part d'une bonne idée. Un docteur en chirurgie réparatrice qui devient directeur d'un cirque. Un film tournée en 1960 et avec beaucoup de stars anglaises de l'époque. Il reste très bien réalisé. Un très bon film, les autres avis ne sont pas très corrects avec le fait que ce film a été tourné en 1960. Pourtant, ce film reste avec une belle photographie.
Roub E.
Du cinéma bis très kitsch avec des gros problèmes d exécution et de réalisation, mais amusant à regarder. Ceci pour ses nombreux défauts sympathiques comme les attaques de l ours et du singe interprétés par des hommes costumés, son interprétation aléatoire, son côté sexy et sanglant (même si ces aspects peuvent paraître bien innocents pour le regard actuel). Le scénario chaotique navigue entre grosses ellipses et passages un peu répétitifs. À voir pour son ambiance un peu malsaine mais pas vraiment sérieuse, son côté assez étrange de cinéma déviant annonçant le film gore et pour la présence de Donald Pleasance.
Ce sont les horreurs que l’on commet, pas les horreurs à voir comme « Freaks, la monstrueuse parade », pas comme « Elephant man ».
Un film d’horreur sympa où il vaut mieux ne plus le prendre au premier degré comme en son temps.
On peut sourire de quelques séquences comme celle d’un ours raide comme une grosse peluche empaillée qui s’attaque à Vanet (Donald Pleasence) ou du gorille qui s’attaque à Schuler (Anton Diffring). Là où ça passe pour « Un fauteuil pour deux », soit une comédie, ça ne passe pas du tout pour ce film qui a pour mission d’effrayer.
On peut sourire aussi de quelques expressions appuyées qui relèveraient du cinéma muet.
Indéniablement, le film est daté, mais l’ensemble reste correct à suivre.
En tout cas, en ce qui me concerne, je me suis laissé porté. Inutile d’être sévère ou désobligeant, c’est un film naïf qui a un certain charme.
Ce petit film d’horreur inoffensif dégage un érotisme gentillet avec de belles femmes aux gorges généreuses, seule consolation !
Et puis il y a une petite française qui ne percera pas vraiment dans le cinéma, mais qui s’est fait plaisir certainement à faire l’actrice : Yvonne Monlaur.
Un film d’horreur sympa où il vaut mieux ne plus le prendre au premier degré comme en son temps.
On peut sourire de quelques séquences comme celle d’un ours raide comme une grosse peluche empaillée qui s’attaque à Vanet (Donald Pleasence) ou du gorille qui s’attaque à Schuler (Anton Diffring). Là où ça passe pour « Un fauteuil pour deux », soit une comédie, ça ne passe pas du tout pour ce film qui a pour mission d’effrayer.
On peut sourire aussi de quelques expressions appuyées qui relèveraient du cinéma muet.
Indéniablement, le film est daté, mais l’ensemble reste correct à suivre.
En tout cas, en ce qui me concerne, je me suis laissé porté. Inutile d’être sévère ou désobligeant, c’est un film naïf qui a un certain charme.
Ce petit film d’horreur inoffensif dégage un érotisme gentillet avec de belles femmes aux gorges généreuses, seule consolation !
Et puis il y a une petite française qui ne percera pas vraiment dans le cinéma, mais qui s’est fait plaisir certainement à faire l’actrice : Yvonne Monlaur.
pierrre s.
Ça commence plutôt bien, mais dès qu'on se retrouve dans le cirque, tout devient banal et répétitif.
Un chirurgien plasticien britannique sans scrupules a l'ambition de devenir le maître dans sa catégorie, rêvant d'être admiré par ses pairs. Malheureusement, une opération tourne à la catastrophe, et, recherché par la police, il est obligé de fuir en France, flanqué de ses deux assistants. Par hasard, le trio tombe sur une gamine mutilée au visage. Aussitôt, le docteur promet au père de la jeune fille, propriétaire d'un cirque piteux, qu'il pourra faire disparaitre la vilaine cicatrice contre une association pour gérer le cirque. L'opération réussit, mais l'heureux papa ne profitera pas longtemps du joli sourire de sa fifille, et l'horrible docteur a des plans bien en tête pour changer la figure de sa nouvelle entreprise.
On passe un moment agréable à la vision de ce film kitsch qui fleure bon ceux de la production Hammer films, et on s'amuse aussi grâce à quelques incohérences scénaristiques ou visuelles ( le papa et la fille s'exprimant dans un anglais parfait; une image furtive d'une plaque de rue sur laquelle est écrit " rue del église "; le terrifiant gorille semblant sorti d'une gentille soirée halloween… ).
Dans les points positifs, un méchant devenant de plus en plus méchant, et la présence de… Donald Pleasance.
Allez! Trois étoiles pour un film qui nous offre un visage plaisant, mais qui aurait mérité quelques retouches.
On passe un moment agréable à la vision de ce film kitsch qui fleure bon ceux de la production Hammer films, et on s'amuse aussi grâce à quelques incohérences scénaristiques ou visuelles ( le papa et la fille s'exprimant dans un anglais parfait; une image furtive d'une plaque de rue sur laquelle est écrit " rue del église "; le terrifiant gorille semblant sorti d'une gentille soirée halloween… ).
Dans les points positifs, un méchant devenant de plus en plus méchant, et la présence de… Donald Pleasance.
Allez! Trois étoiles pour un film qui nous offre un visage plaisant, mais qui aurait mérité quelques retouches.
selenie
La première scène du film donne un ton et une vision d'horreur qui promet un film audacieux et stylisé malgré un maquillage un peu trop grossier. Mais la suite va beaucoup trop vite, en 20mn le film pose ses bases, présente les protagonistes et impose le temps qui passe et occulte la problématique technique médicale dans une sorte de résumé express où les ellipses se bousculent. Ca va trop vite, ça se bouscule alors que quelques paramètres auraient mérités plus de travail. Le récit prend un virage ensuite avec le cirque, qui fonctionne bien, comme une famille où les "freaks" n'existent plus. Malheureusement au passage la noirceur s'est un peu trop estompée, le style horrifique laisse place à un Film Noir plutôt sage visuellement. Il est dommage que toute la dimension "professeur fou" soit omise, pas d'opération, pas de choc visuel, juste des allusions. Par contre on aime certains personnages, la photographie reste séduisante, les effets spéciaux plutôt bien rendus, cet érotisme suranné et quelques scènes marquantes (la première ou le lanceur de couteaux). Un mix entre "Freaks" (1932) de Tod Browning et "Les Yeux sans Visages" mais sans les qualités qui en faisaient des chefs d'oeuvres singuliers.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
Si il faut reconnaître qu'il est quand même difficile de pouvoir prendre le sujet de ce film au sérieux, l'ensemble n'est pas non plus désagréable à voir grâce à la présence d'une atmosphère assez étrange, grandement aidé par une très belle photographie, ainsi que d'une interprétation qui est plutôt de qualité de la part de l'ensemble du casting. D'ailleurs, la prestation que je retiendrais le plus est évidemment à mettre à l'actif d'Anton Diffring dans le rôle d'un psychopathe criminel qui devient directeur d'un cirque.
En pleine effervescence du cinéma d’horreur britannique grâce à l’essor de la firme Hammer, un producteur anglais a passé un accord avec la firme américaine AIP afin de concurrencer sur son propre terrain la société au marteau. Le résultat est cette série B qui démarre très bien durant un premier quart d’heure prometteur, avant de s’effondrer sous le poids d’un scénario inepte ne parvenant jamais à renouveler son postulat de départ. Ainsi, le script se contente d’aligner maladroitement les meurtres de jeunes femmes, le tout entrecoupé de numéros de cirque qui deviennent de plus en plus consternants au fur et à mesure de la projection. Tout ceci joue la montre afin de durer le temps imparti. La réalisation de Sidney Hayers est au mieux passable, voire embarrassante lorsqu’il faut gérer des effets spéciaux miteux. Anton Driffing a certes une gueule de cinéma, mais il ne possède pas le charisme suffisant pour imposer son personnage de fou du bistouri. Bref, on s’ennuie ferme devant ce petit film qui n’a absolument rien d’un classique. On oublie…
Excellent petit film horrifique , rien de bien horrible en fait mais pas mal de cynisme de la part de ce dr. Schuler. Il fait juste mettre de côté le fait que cette histoire est peu réalisable en réel car autant de morts auraient fait fermer le cirque depuis longtemps :-)
Ca commençait sur une bonne idée ce film style un peu Hammer sans être un Hammer mais après que Donald Pleasence se fait zigouiller par un gros ours en peluche ça part sur n'importe quoi. Car à partir de ce moment, le scénario, en plus de mouliner les invraisemblances, se contente de répéter le schéma visage défiguré-opération de chirurgue réparatrice-fille très courte vêtue qui veut quitter le cirque-fille très courte vêtue qui veut quitter le cirque qui meurt "accidentellement" pendant toute la durée du film au lieu par exemple d'essayer d'instaurer une atmosphère ou d'approfondir les relations entre les divers protagonistes. Même Anton Diffring d'un physique glaçial assez fascinant, donc idéal pour jouer le rôle d'un psychopathe, n'arrive pas à relancer l'intérêt. Autant dire que "Le Cirque des horreurs", pour utiliser un doux euphémisme, est une oeuvre peu captivante.
AMCHI
C'est dommage car si Le Cirque des horreurs débute très bien (environ les 20 premières minutes sont excellentes) à partir du moment où l'histoire se déroule dans le cirque cela devient beaucoup moins prenant et malheureusement le film perd de sa noirceur. Le Cirque des horreurs se contente d'enfiler scène d'accident et menace du docteur Schuler envers ses victimes et le scénario n'insiste plus réellement sur le fait que le cirque est composé d'anciens criminels aux visages refaits. De plus le final est assez grotesque (attaque d'un gorille déguisé en homme) cependant Le Cirque des horreurs reste suffisamment divertissant pour jamais nous ennuyer.
Super méga kitch , mais quelques bonnes scènes et des jolies filles sauvent le film du navet pour un faire queLque chose de divertissant .
Gothique-in-progress smart, inclassable et rare. Beaucoup de maquillage, d'idées un peu byzarres (mais reprises ensuite par d'autres), de recyclage uniforme, d'illetrés et de monstres serviles. Un peu tuant vers la fin.
Sommet du film d'épouvante anglais, "le cirque des horreurs" met en scène un chirurgien maniaque contraint de changer d'identité et de trouver refuge dans un cirque. Le cirque, constitué d'anciens criminels et de femmes défigurées, sera sa nouvelle vie. Parodie du film "Sous le plus grand chapiteau du monde", ce film de 1960 est servit par une très belle réalisation et un scénario excellent. La performance de D. Pleasence est également à mettre en lumière.
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