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    Don Camillo en Russie
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    3,3
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    32 critiques spectateurs

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    Fabios Om
    Fabios Om

    51 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 juillet 2017
    pour moi ce don Camillo est le meilleur de la saga après le tous premier car il arrive à mélanger humour et émotion avec brio . cette histoire est très bonne et surtout celui là est très drôle et triste parfois .
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2023
    Il s’agit du cinquième et dernier épisode de la saga des « Don Camillo » réalisé par Luigi Comencini en 1965, soit treize ans après le premier. Cette fois-ci, Don Camillo (Fernandel) et Peppone (Gino Cervi) partent ensemble en voyage en Union Soviétique. L’intrigue reste classique en multipliant les querelles entre ces deux meilleurs ennemis. Bref, même si le film manque de rythme, on est triste de voir pour la dernière fois ce fameux curé qui parle au Christ et entend sa voix.
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    228 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 octobre 2008
    Quasiment rien à sauver dans ce cinquième film, réalisé par un Luigi Comencini qu'on a connu en meilleure forme ("Les Aventures De Pinocchio"). Il aura fallu 10 ans entre le quatrième film et celui-ci, preuve s'il en est que les producteurs sentaient bien que ce ne serait pas facile de relancer la machine un peu érodée du duo magique des années 50. A voir pour se dire qu'on a vu tous les films. Curieusement, le sixième film, datant de 1972 et réalisé après la mort de Fernandel, avec un aute acteur ("Don Camillo et les Contestataires") est un peu meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 janvier 2010
    Une très bonne comédie. Deux acteurs formidables. Un des meilleurs films au monde, comme tout ceux de la saga !
    reymi586
    reymi586

    466 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2012
    Un très bon épisode, c'est le dernier avec Fernandel et Gino Servi et bien c'est une belle fin !
    vivaBFG
    vivaBFG

    13 abonnés 1 287 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2021
    Rare sont les sagas qui parviennent à conserver cet intérêt, cette verve du début. Les "Don Camillo" y parviennent! Certes cet opus parait un brin en dessous, mais si peu que cela ne se voit guère.
    Pour les puristes, on pourrait reprocher cet anticommunisme clérical qui a tant fait de mal depuis des décennies, mais il faut oublier cela. Ce film est fait pour se marrer, et se moquer de toute cette mascarade et il remplit bien son objectif.
    A voir par les amateurs de comédie et de Fernandel.
    Camusduverseau
    Camusduverseau

    49 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2006
    Même le grand Comencini a réalisé un épisode de Don Camillo. Le voyage en Union Soviétique est hilarant. C'est vrai que c'est une vision naïve de l'U.R.S.S., mais bon, ce n'est pas si grave. Ce qui compte, comme toujours c'est l'affrontement entre Peppone et Don Camille. Et là, c'est toujours une réussite !
    alouet29
    alouet29

    76 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 août 2015
    C'est le dernier èpisode de la série et sans doute le moins réussi. C'est drôle mais le filon s'épuise.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 juillet 2008
    Cela a beau être le cinquième Don Camillo, il n'en reste pas moins que c'est un bon Don Camillo dans lequel on retrouve tous les ingrédients qui ont fait le succès du premier.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    11 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2023
    « Recommencez jamais à me raconter vos sales maudites calomnies sur votre Russie. Je veux continuer à croire à la mienne, moi !»

    Luigi Comencini… On peut se demander comment les producteurs de la série des Don Camillo, en déclin progressif depuis le premier volet, ont eu l’idée de débaucher le réalisateur de deux épisodes de la série de films « Pain, Amour, etc. » mais aussi, et surtout, des fabuleux « L’Argent de la vieille » et « La Bohème », sans oublier la mini-série « Pinocchio », celle-là même qui a bercé mon enfance et placé Gina Lollobrigida au rang des fées qu’on voudrait voir pencher soi plus souvent.

    Pouf pouf.

    Au fond, tenter de relancer une licence initialement développée en partenariat entre la France et l’Italie en engageant un orfèvre ès comédies populaires italiennes, ayant grandi en France, l’idée se tient. Voyons jusqu’où…

    Même si ce cinquième film est réalisé après Don Camillo Monseigneur, l’action se déroule avant : Peppone est toujours maire et Don Camillo toujours curé ; tous deux n’ont pas été vieillis, au contraire du volet précédent. La coexistence pacifique est, elle, toujours d’actualité, non plus figurée par les Etats-Unis et l’URSS mais par Khrouchtchev et Paul VI. On notera le clin d’oeil, volontaire ou non, au Nekrassov de Sartre.

    Si l’ancrage dans l’histoire était déjà un élément nouveau dans l’épisode précédent, particulièrement réactionnaire (la place des femmes et la laïcité), la caméra professionnelle de Comencini rompt avec l’immobilisme des deux épisodes réalisés par Carmine Gallone, eux-mêmes plagiant le style sombre des deux premiers volets réalisés par Julien Duvivier. Autant dire qu’on passe d’un trait de 1953 à 1965, quasiment une génération en terme de cinématographie. A ce niveau, l’irruption des travellings, des contre-plongées et de la lumière artificielle dans le noir et blanc tranche avec le réalisme statique des quatre premiers films. Au-delà de la caméra, il y a également le style de Comencini qui redonne des couleurs à une licence en perte de vitesse : les deux premiers épisodes étaient franco-italiens, les deux suivants une pâle copie de ceux-ci, enfin ce cinquième est proprement italien, presque comencinien ; on y retrouve la saveur des comédies légères et sociales du maître lombardo-aquitain et le côté touchant des deux premiers volets.

    De la série, puisque ce dernier volet en est la fin, on peut dire que :
    - Gino Cervi fut un grand acteur, hélas trop mal utilisé,
    - Fernandel mérite sa place au Panthéon du cinéma français (et franco-italien).
    - Don Camillo est un gros réac qui n’hésite pas un instant à faire de la récupération politique.
    - D’une œuvre anti-communiste, les réalisateurs et scénaristes des différents épisodes ont fait une œuvre finalement très indulgente pour les communistes (rappelons que les communistes italiens étaient traditionnellement beaucoup plus proches de la gauche actuelle que des staliniens français).
    - Sans une vue d’ensemble, il ne faut jamais, JAMAIS, faire de suite à un film qui contient en lui toute la poésie et tout le charme d’une œuvre passée
    - L’accent provençal est parfait pour camper l’accent des plaines émiliennes.
    - La veine dialoguiste de Barjavel s’essouffle d’épisode en épisode, avec comme révélateur les échanges entre Don Camillo et le Christ, percutants dans le premier opus, complètement anecdotiques dans ce dernier.
    - La qualité des épisodes suit inexorablement leur succès au box-office… sauf peut-être pour ce dernier épisode.
    hanson-blonde
    hanson-blonde

    3 abonnés 570 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2012
    Dernier volet de cette série de film devenue culte.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Escapade plutôt réussie pour Don Camillo et Peppone, dans cette sombre ex-Urss alors en pleine période communiste. Un pari probablement osé pour l’époque – 1965- d’ailleurs – . Il est ici question d’un jumelage entre Brescello et un petit bourg aux apparences charmantes mais où le catholicisme a été sévèrement banni, et où la menace sibérienne des goulags plane au moindre écart de langage. Heureusement, nos deux héros et leurs sous-fifres parviennent aisément à faire oublier cette période noire avec leurs péripéties toujours aussi drôles, qui par ailleurs, nous détournent d’un scénario un peu trop simpliste…Mais soit, retour en arrière plus qu’intéressant, politiquement parlant surtout, et humour toujours au rendez-vous dans ce cinquième et dernier épisode de Don Camillo, du moins pour Fernandel et Gino Cervi…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un Don Camillo qui nous sort de la monotonie qui était en train de s'installer en nous emmenant en Russie. Malgré un certain essouflement du film, il reste bon grâce à l'envie de revoir Fernandel et Gino Cervi se disputer de nouveau. Le film a biensur un peu vielli à cause du problème évoqué: celui des prêtres en Russie (maintenant, c'est plus trop d'actualité) mais l'humour lui est mieux conservé que dans les précédents épisodes. On en tire encore une leçon, qui fit, à mon avis, le succès du film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 décembre 2007
    C'est au tour de Don Camillo d'être bouillonnant.Le fait de savoir les communistes partir dans la "fameuse grande Russie" pour après colporter au retour de la maudite propagande communiste,le rend impétueux.
    Mais qu'à cela ne tienne,le cerveau volcanique de Don Camillo est en marche pour contrecarrer ce conciliabule et se faire inviter avec eux pour entreprendre ce voyage.
    Du vrai génie et de la rigolade .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 octobre 2020
    Le meilleur Don Camillo avant le pire : Don Camillo et les Contestataires. Un peu d'exotisme cela rend cet opus unique et c'est drôle comme les précédents
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