Classique, voyage dans l'enfance, évasion hors du temps, ce conte de Sir James Matthew Barrie de 1911 à bouleversé ou surtout, marqué bien des générations. Un voyage ou l'enfant ne souhaite pas grandir, ou les parents reste têtu dans leur esprit que leur enfant est bourrer d'imaginaire. Arrive enfin la rencontre avec Peter, une rencontre musicale, culte et joyeusement poétique sans se ridiculiser. Une rencontre dans un monde lui étant inconnu ou presque ou la mélodie rythmique, dynamique et presque "ensoleillée" qui met toujours tous le monde d'accord avec ce final au pays imaginaire et ce navire pirate tout aussi mythique. Captain Crochet, l'une des légendes des super-vilains Disney mais l'un des seuls à être constamment humilier par l'ennemi. Mais sur le fond, restant noble et chique, Crochet est un personnage parfaitement créer pour adapter le cruel monde de la piraterie aux enfants puisqu'il est toujours mis en scène de manière humoristique. Sur de lui jusqu'à ce qu'une peur bleu ou vert du moins, ne s'empare de son âme à l'instant ou un croco vienne à sa rencontre, le tous, au rythme d'un Tic Tac mythique. Un film ou chaque environnement, chaque chansons et musiques, chaque personnages et quasiment chaque parole sont aussi culte que que les moments les plus banales, Indiens, Sirènes, Pirates donc et surtout, les Garçons perdus... Mais en réalité, aucun instant n'est banal puisqu'avec son heure trente, ce Disney ne se permet aucune baisse de régime et se permet même un changement technique, le format change enfin, du 1.33.1 au 2.35.1 pour une bien meilleur visualisation. Un film qui possède depuis la création même des contes, la morale de cette enfance qui ne veut justement jamais passée à l'adultère, rester dans ce monde rêveur, enchanteur et habiller d'un pyjama et porter par un ours ou autres licorne en peluche. Une volée céleste qui ne prendra jamais de rides, alors tant qu'à faire, on s'envole, on s'envole, et on s'envole à la file indienne, indienne, indienne.