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🎬 RENGER 📼
7 435 abonnés
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3,0
Publiée le 9 février 2011
Ron Howard réussit son thriller sans problème, avec un Mel Gibson métamorphosé, il interprète Tom Mullen à la perfection face à un Gary Sinise machiavélique. Un très bon film en perspective, même si le film à certain moment exagère un peu trop et sort de la réalité.
j'apprecis vraiement beaucoup ce film de Ron Howard, qui nous a donné un excellent casting; Mel Gibson est en effet excellent dans ce film, dont l'histoire est vraiement excittante. Un homme se voit demander une rancon apres la capture de son fils, mais il va la jouer, par la suite, a sa maniere. Un film bourré de rebondissements, et tres angoissant, à ne pas rater
Un film excellent! Mel Gibson et Gary Sinise ont joués leur rôle parfaitement! Il est vrai qu'a la fin le suspens est "détruit" mais cela reste vraiment génial!! Ron Howard a su faire un film emouvant avec de l'action et beaucoup de suspens!!
J'ai trouvé qu'on passait un bon momment mais malheureusement on retrouve certains clichés ce qui est vraiment dommage ! En revanche la réalisatioon est bien et l'interprétation de tous les acteurs est très bien.
Trois bonnes choses qui m'ont fait aimer ce film. Voici : 1°Ron Howard à la réalisation, 2°Mel Gibon/René Russo/Gary Sinise et 3°Une histoire ronhowardement bien menée. Tout cela dans un seul film. L'histoire est originale dans la façon de traiter le kidnapping (même si la bande annonce révèle tout). De plus, Mel Gibson est réellement impliqué et à fond dans son jeu. Quand à ce qui compose l'ensemble, on y retrouve les valeurs de la famille, la réussite professionnelle au delà de tout ce que l'on peut imaginer...la preuve en est que la convoitise, le regard porté aux dits "privilégiés", qui à un moment de leur vie ont pris des risques dans lesquels ils ont tout investi : leur temps, leur argent pour monter un projet, amènent les 'Morlocks' à prendre ce qu'ils n'ont pas eu l'occasion de créer par eux mêmes. Alors bien sûr, cette vision des choses peut paraître surréaliste et quelque peu limitée. En effet, personne ne vient du même monde avec des dollars pleins les poches. Cela étant le rapt d'enfant,de quelque famille qu'il soit issu, est un acte d'une extrême gravité et l'essentiel est montré : ON NE TOUCHE PAS A UN ENFANT !! L'incapacité des parents à agir, le doute qui s'immisce dans le couple quant aux décisions à prendre, le bras de fer incessant avec les ravisseurs....et l'enjeu prenant de plus en plus d'ampleur à tel point que la tendance s'inverse. Bien que cela soit étonnant, on se prend à croire à cette tournure des évènements jusqu'au coup de feu fatal (?) impliquant la perte de l'être cher. La fin sera plus académique. Mel Gibson tatanera sûrement sévèrement celui qui souhaite plus que tout la rançon. D'ailleurs le combat final montrera aussi probablement toute la haine et la rage. L'envie de faire mal, de faire très mal à celui qui n'aurait jamais du tenter de faire ce qu'il a commis. La dose de stress était énorme. Merci à tous les protagonistes de ce film de nous avoir fait vibrer tout le long de la projection jusqu'au rebondissement final. Intense.
Remake d'un film tourné en 1955 par George Segal avec Glenn Ford, "La rançon" a un scénario qui donne limpression de sortir des sentiers battus. En effet, comment faire accepter au public qu'un père dont le fils a été kidnappé décide, au lieu de payer la rançon exigée, d'utiliser le montant pour mettre la tête des malfaiteurs à prix ? Au risque très important de ne plus revoir l'enfant. Si en plus le père s'appelle Mel Gibson, on est tenté de croire que ce film prend des risques avec les habituels canons hollywoodiens et qu'il s'engage dans une voix qui remettrait en cause le dyptique héros-salauds. Il faut reconnaître que le personnage interprété par Mel Gibson recèle une certaine ambiguité, qui est cependant vite éludée par le mouvement accéléré des événements. Qu'il ait pu commettre des saloperies pour arriver à la tête d'une compagnie d'aviation, le scénario le laisse entendre mais ne le condamne pas pour autant. Au contraire, il fait de lui une sorte de héros rédempteur, un nettoyeur qui purgerait sa peine en se conduisant en tête brûlée (On retrouve alors un personnage plus proche du héros traditionnel). Ainsi, d'une idée originale, le cinéma américain commercial nexploite til que les prémices. D'un personnage ambigu, il ne sait que faire et le film se contente d'être un divertissement au demeurant filmé avec vigueur. La fin est dune banalité consternante. Dommage.