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Un visiteur
3,0
Publiée le 12 novembre 2011
Charge édifiante contre l'institution pénitentiaire américaine (les "fermes pénitentiaires" qui ont aujourd'hui presque disparues), "Brubaker" remplie son rôle de fiction de gauche. Efficace dans sa mise en scène, réaliste dans le traitement du quotidien de la prison, le film ne sort pas de ses rails. Et c'est aussi ce qui fait sa limite : à l'instar du personnages de chevalier blanc interprété (sans beaucoup de nuances pour une fois) par Redford, tout est explicite et univoque. D'où le sentiment d'un film tenu mais un peu trop mécanique et scolaire dans sa logique démonstrative. Stuart Rosenberg n'est pas Sydney Lumet...
C'est une histoire vraie, messieurs dames !!!! Ca tue pas ça ??? J'adore ce film. Trop émouvant, trop bien interprété, trop tout ! L'histoire a quand même connue pas mal de héros, de gens biens tout simplement. Ca fait du bien d'y penser de temps en temps.
On a envie de croire à l'idéalisme du personnage principal de ce film, très bien campé par Robert Redford, que l'on suit avec enthousiasme. Certaines caricatures sont néanmoins grossières.
Une réalisation sobre, un Redford qui joue juste. Un film qui dénonce sans grand spectacle les conditions carcérales inhumaine et la corruption. Une fin peut-être un peu trop hollywoodienne
Un film engagé dans lequel Robert Redford incarne le directeur d'une prison américaine. L'histoire est excellente et les acteurs sont très bons (Morgan Freeman fait partie du casting, j'ai eu un peu de mal à le reconnaître au début). Un classique à voir absolument!
Un scénario original pour une histoire classique d'incarcération, avec un personnage principal badass qui prend vraiment les devants, Robert Redford est vraiment très convainquant, à voir absolument
L'histoire captivante d'un directeur de prison déterminé à éradiquer la corruption m'a profondément marqué. Robert Redford incarne parfaitement Henry Brubaker, un homme intègre qui, en se déguisant en détenu, découvre les multiples abus et détériorations au sein de la prison de Wakefield. La performance de Morgan Freeman est également remarquable, apportant une profondeur émotive au récit. La réalisation de Stuart Rosenberg est solide, avec une cinématographie immersive qui plonge le spectateur au cœur de l'environnement carcéral oppressant. Bien que certains personnages secondaires manquent de développement, l'intrigue reste prenante grâce aux rebondissements inattendus et aux confrontations intenses. Les scènes de réforme et de lutte contre le système corrompu sont particulièrement inspirantes. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Un film qui vous transporte dans le monde caché, oublié de la prison. Vraiment bien, un film qui nous ramène sur terre et nous démontre la difficulté éprouvé par les bons dans ce monde de politiciens corrompus. Bon film à tous
Les Etats Unis, pays des droits de l'homme !, merci Rosenberg pour contredire ce mensonge.C'est naturellement un beau film, ou on ne s'ennui pas, Robert Redford est charismatique (comme d'habitude)et interprete tres bien son role. Il y a quelque trucs peut etre un peu gentillet comme la fin, mais bon c'est vraiment personel ca cela ne nuit pas au film qui est bon.
Dans cet catégorie de film sur l'univers des prison, Brubaker s'impose par sa vive critique de l'environnement carcérale. Robert Redford est excellent dans se rôle peut habituel qui met en valeur tout sont charisme. Seul la réalisation laisse à désirer.