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Pascal Thomas fait dèfiler ici l'enfance et l'adolescence de trois soeurs chamailleuses,à la recherche du temps perdu,dans les annèes 50-60!Au rythme des souvenirs de la plus jeune,il èvoque la vie d'une famille banlieusarde modeste,de l'èpicerie de Courbevoie aux vacances chez le grand-père dans le Poitou!Une tranche de vie entre rire et sourire animèe par des personnages pittoresques,campè par d'excellents comèdiens: Daniel Ceccaldi en père tirant sa flemme,Michel Galabru en miltaire alcoolique et Jacques Villeret en ètudiant attardè!Une comèdie chaleureuse et attachante entre souvenirs et vie de famille...
Revoir ce bijou est un bonheur absolu.
Beaucoup d'émotion dans cette chronique familiale qui restitue la France des années 60-70 avec délicatesse et sincérité.
Un scénario très riche, d'excellents dialogues, une façon de filmer beaucoup plus travaillée qu'il n'y parait.
Des scènes de flash-back à pleurer, avec l'aide de Mozart ou de Cosma.
Et des scènes à hurler de rire comme la visite de Michel Galabru ou l'apparition éclair de Bernard Menez.
La classe et la violence d'un retournement de situation avec Jacques François.
La mélancolie d'une conversation banale mais très profonde avec Henri Crémieux sur une route de campagne.
Le temps qui passe. La vie toujours en marche et (presque) jamais fatiguée.
Beaucoup d'émotion dans cette chronique familiale qui restitue la France des années 60-70 avec délicatesse et sincérité.
Un scénario très riche, d'excellents dialogues, une façon de filmer beaucoup plus travaillée qu'il n'y parait.
Des scènes de flash-back à pleurer, avec l'aide de Mozart ou de Cosma.
Et des scènes à hurler de rire comme la visite de Michel Galabru ou l'apparition éclair de Bernard Menez.
La classe et la violence d'un retournement de situation avec Jacques François.
La mélancolie d'une conversation banale mais très profonde avec Henri Crémieux sur une route de campagne.
Le temps qui passe. La vie toujours en marche et (presque) jamais fatiguée.
J'adore le coffret 7 films de... Beauté des paysages et des femmes, force des femmes, direction des acteurs, nostalgie, J'avais vu à l'époque les Zozos et j'avais été très sensible au film, ce qui me faisait un peu peur parce que j'étais pourtant très jeune !
En tout cas merci à Causeur, et à Eric Neuhoff de m'avoir rafraîchi la memoire.
Une très belle oeuvre sous-évaluée ? Pas par moi en tout cas...
En tout cas merci à Causeur, et à Eric Neuhoff de m'avoir rafraîchi la memoire.
Une très belle oeuvre sous-évaluée ? Pas par moi en tout cas...
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