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    Ne vous retournez pas
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    111 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 août 2007
    Eh non ! Point d’invasion de toutes sortes dont on ne peut faire face qu’en fuyant…, sans se retourner. Je n’ai toujours pas compris le message, le titre non plus d’ailleurs. Il ne se passe rien dans ce film. Alors, pour tuer le temps, ça court à droite, ça court à gauche… Oh ! Une envolée de pigeons… Et il y a des crimes aussi ?! Un guide touristique à vous faire passer l’envie d’aller visiter Venise. Donald Sutherland me fait penser à Mr. Bean par ses mimiques et les longueurs sont à l’image des ruelles de Venise.
    sebvde
    sebvde

    9 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2020
    Thriller mystique et spirituel, "Ne vous retourner pas", nage dans une ambiance sombre et glaude parfaitement réussie
    L'interprétation de Donald Sutherland est sobre et même impressionnante physiquement dans la scène de l'échafaudage tournée sans doublure.
    Les personnages sont inquiétants, notamment la voyante aveugle et le prêtre, ce qui aide à tenir cette atmosphère mystique.
    Toutefois il ne ce passe pas grand chose, surtout dans la première partie qui ce consentre sur la relation du couple pendant le deuil de leur fille.
    Il faut réellement attendre la fin du film pour voir quelques choses d'effrayant mais ça vaut la peine d'être vu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 octobre 2008
    "Ne vous retournez pas" est un bon petit thriller bordé de fantastique, adapté d'un roman de Daphné du Maurier. Un final surprenant, des acteurs plutôt bon (nottamment Donald Sutherland) et une Venise très humide, très sombre font le charme du film. Malgré cela, le film reste un peu mou (Il ne parvient pas à faire peur). Dommage.
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 juillet 2022
    Casse pas trois pattes à un canard.
    Les acteurs sont excellent, le doublages aussi.
    L'intrigue est pas trop mal, la fin m'a un peu déçu mais n'est pas catastrophique.
    Thibaud Il Capitano
    Thibaud Il Capitano

    5 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    film angoissant (trop ?) qui en a évidemment inspiré plus d'un ! ce n'est pas un venise de carte postale qu'on nous montre, mais on contraire un vrai labyrinthe, tortueux, dangereux et crasseux, où les personnages et le spectateur se perdent comme ils peuvent se perdre aussi entre deuil et espoir, et surtout entre visions et réalité... c'est bourré de bonnes idées (entre autres l'utilisation de la couleur rouge, la scène de sexe) mais j'ai trouvé ça parfois étouffant, voire boursouflé (les ralentis par exemple... mais c'était sans doute l'effet recherché)
    bref, film évidemment marquant, à voir mais il faut avoir le bon état d'esprit !
    Arnaud S
    Arnaud S

    4 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 octobre 2013
    C'est incroyable que des gens puissent apprécier ce film. Dommage qu'on ne puisse pas mettre une note inférieure à zéro. Je l'aurais fait immédiatement.
    LucienLaurent
    LucienLaurent

    5 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 février 2013
    Un couple perd accidentellement son enfant, et se retrouve à Venise où il se passe des choses bien étranges ... L'histoire ne m'a pas convaincu et le film pas plus, malgré la bonne volonté des acteurs.
    Eskape Eskape
    Eskape Eskape

    5 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juin 2014
    Film très déstabilisant par son ambiance et la justesse de sa direction d'acteur.
    La photographie est remarquable et les sentiments traversent l'écran.
    Un film sur le sentiment de culpabilité et la tristesse du deuil.
    Est-ce un Thriller? Un Drame? Un Film fantastique ?
    Tout à la fois.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    "Ne vous retournez pas" est certainement l'un des films les plus zarbs que j'ai vus, à ranger aux côtés d'Eraserhead. On a le droit à une sublime scène d'introduction, poétique et mystérieuse, laissant présager un film purement axé sur le fantastique. Mais par la suite, j'ai été déçu. Le film doit vouloir appeler à la libre interprétation, je suppose, car il accumule pendant 1h45 un certain nombre de scènes qui ne semblent pas avoir de rapport. A l'arrivée d'une voyant aveugle (paradoxe un peu classique d'ailleurs), le récit retombe dans le fantastique, pour en échapper à nouveau (je ne sais pas si je me fais bien comprendre) et s'attarder sur le couple du film. ainsi, on a le droit à leur dîner, leur toilette, une (beaucoup trop) longue scène de sexe qui n'a pas grand chose à faire là,etc... et le côté fantastique reviendra ensuite, de temps à autres, dnas le film, notamment dans un final très, très troublant. Peu structuré donc. ça doit servir le film, mais j'avoue que je ne comrends pas vraiment l'intérêt de faire cela.
    Mais il ne faut pas crâcher pour autant sur "Ne vous retournez pas" qui propose quelques beaux plans et un montage assez original. Les deux acteurs principaux, Donald Sutherland et Julie Christie, sont convaincants, snas être géniaux non plus, mais ce flou qui règne dans tout le film m'a empêcher de comprendre leurs relations. Il faut sûrement voir plusieurs fois "Ne Vous retournez pas" pour en saisir tout le contenu. J'avoue ne pas en avoir le courage.
    pirotte o
    pirotte o

    56 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 juin 2024
    Un des films qui m'a fait le plus frissonner. Hybride, entre un certain classicisme anglais et le giallo italien, on est emmené dans une Venise à rebours, brumeuse, serpentée et inquiétante jusqu'un glacial dénouement final.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 juin 2014
    Un film singulier, à ne pas mettre entre toutes les mains. Le film peut paraitre décevant pour certains, envoutant pour d'autres. Moi, j'ai vraiment apprécié, car j'ai senti que le réalisateur a réussi le film qu'il a voulu faire. Certains films ont des fins ouvertes, mais ici, c'est vraiment le "film" qui est ouvert, nous sommes plongés dans une incompréhension totale tout au long du metrage, comme si nous étions a la place du protagoniste. La mise en scène est brillante, malgré quelques lourdeurs ( SPOILER : a la fin du film, quand on voit la vie de Sutherland défiler devant nous, chose dont laquelle nous aurions pu nous passer. Le film peut s'avérer parfois angoissant, voire effrayant.
    Voila un thriller sujet a controverse auquel nous pouvons accrocher ou non, mais qui ne laisse pas indifferent. Du très bon cinéma selon moi.

    Ps: autre bemol, une musiquette pas toujours très adéquate, et un peu vieillote.
    poneyexpress10
    poneyexpress10

    2 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2013
    Le film joue sur le temps. Le montage croise les scènes. La fin renvoie au début. A vouloir poursuivre le fantôme de sa fille, le père la rejoint dans la mort. Venise est la ville idéale pour situer l’action du film. Elle menace de s’enfoncer dans les eaux, le père joue le rôle d’un restaurateur, et comme sa fille qui s’est noyée, dont la silhouette apparaît dans une diapositive qui représente l’église qu’il doit restaurer, la diapositive est cet image fixe, qui concentre toutes les temporalités, une photo, il y a tous les types d’images, la peinture, le croquis, le vitrail, la mosaïque, je pensais en le regardant qu’un film n’a pas de rythme, c’est peut-être un non sens de parler de rythme pour un film, parce que c’est le découpage qui crée ce « rythme », et le découpage c’est ce qui fait sens, c’est de la pensée, pas une chose objective, évidemment, un film dure une certaine durée, mais il se situe en-dehors de cette durée. Que ce film puisse faire réfléchir sur le temps, c’est peut-être là son argument premier, en plus de la beauté plastique, il y a un autre film proche « Obsession » de Brian de Palma, avec son flash back, que les personnages ou l’intrigue ne soient pas passionnants en eux-mêmes, il y a beaucoup d’ellipse, ou plutôt un découpage qui nous fait aller d’un temps ou d’un lieu à un autre, l’histoire pourrait être mélodramatique, mais elle relève aussi du domaine du fantastique.
    Jacques Paganel
    Jacques Paganel

    1 abonné 59 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 octobre 2014
    Bon, disons en préambule que ce film date, de par sa réalisation et par le jeu des acteurs. Le scénario est des plus confus, mais ce qui est le plus énervant est cette réalisation avec de pseudo effets artistiques (?) ou créatifs (?).

    Par exemple la scène où les parents sont au lit à se faire plein de mamours entrecoupée de plans où ils ont fini et s'habillent, et ça dure....

    Ça dure, ça dure, ça dure toutes ces séquences où on croit que c'est fini, et puis non.... ce qui nuit à la compréhension du scénario (mais il y a-t'il quelque chose à comprendre ?

    Bref, une prestation très soporifique...
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    2 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 décembre 2020
    Le cinéma d'horreur "moderne" aura pris son essor en 1968 grâce à deux oeuvres majeures. Il y eut d'abord La Nuit des morts-vivants, huis-clos oppressant et séminal confrontant un groupe de protagonistes à une horde d'agresseurs de nature à priori surnaturelle. Puis le célèbre Rosemary's baby qui jouait habilement de la suggestion et du doute quant à la santé mentale de sa protagoniste. Le fantastique (au sens littéraire) se situant dans un fragile équilibre du doute entre explication rationnelle et possible manifestation surnaturelle, chacun de ces deux films d'horreur s'orientait vers une réponse plus ou moins explicite.

    En 1973, le cinéaste Nicolas Roeg offrait à son tour un autre parfait représentant du fantastique littéraire au cinéma, le célèbre Ne vous retournez pas.
    Ce dernier raconte le traumatisme vécu par un couple d'Anglais suite à la noyade accidentelle de leur fille dans un étang. Quelques mois plus tard, le couple se reconstruit tant bien que mal et séjourne à Venise où le mari, architecte, restaure une vieille église. Au cours d'un déjeuner dans un restaurant, l'épouse tombe sur une voyante aveugle qui lui décrit avec moult détails sa petite fille disparue et lui affirme qu'elle est toujours là auprès d'elle. Bouleversée, la jeune femme finit par croire les dires de la voyante et tente de convaincre son époux de la véracité de ses visions, lequel sceptique et encore endeuillé se refuse d'en croire un seul mot. Peu à peu alors que le couple d'Anglais doit faire face à des événements troublants, la ville de Venise est secouée par une série de meurtres étranges dont la police repêche les victimes dans les canaux.

    Rarement film aura été aussi intriguant que ce Don't look now. Nimbé d'une aura de mystère, entretenue à merveille par le décor mélancolique et baroque d'une cité des doges maussade et sinistre, le film entretient savamment la nature fantastique de son récit en se concentrant essentiellement sur la descente aux enfers de ce jeune couple endeuillé par la perte de leur enfant.
    Dès la séquence d'ouverture, Roeg se complaît à semer les indices troublants quant à la finalité de son récit. Ainsi de la première prémonition de John à sa dernière plus traumatisante encore, le doute n'est plus permis, son personnage est un médium qui s'ignore et qui ne comprend pas tous les signes du destin qui s'offrent à lui. La prémonition, l'intuition d'une fatalité inéluctable et indéterminée hante ainsi l'essentiel du film jusqu'à réveiller des personnages secondaires dans leur sommeil, la caméra de Roeg s'invitant ainsi à l'omniscience immédiate des événements. Progressivement, l'histoire s'enfonce dans une atmosphère délétère et oppose le jeune couple à une succession de personnages étranges et troublants dont le spectateur en vient toujours très vite à douter de l'honnêteté. Chaque personnage croisé par le couple de héros incarne ainsi la potentielle menace annoncée par le réalisateur, une manière comme une autre de mieux nous perdre en vaines spéculations.

    A son efficace traitement narratif s'ajoute la singulière approche formelle du réalisateur. Roeg dynamise son récit par une mise en scène audacieuse et avant-gardiste, confrontant habilement les points de vue et filmant parfois deux séquences en parallèles (la fameuse scène d'amour juxtaposée aux préparatifs du couple après leurs ébats). Plus encore, il exploite à merveille la beauté mystérieuse de son cadre en prenant le contre-pied de la vision classique de la Cité des Doges.
    Dans Ne vous retournez pas, Nicolas Roeg ne sublime jamais Venise en tant que ville romantique mais la magnifie comme une cité baroque, dépeuplée et labyrinthique, un dédale sordide de rues et de canaux. Venise prend ainsi une dimension intemporelle, figée entre deux époques, ses sous-sols obscurs, ses volutes de fumée opaque ne servant qu'à dérober à la vue des vivants la sinistre réalité des fantômes et des créatures qui la peuplent.

    Roeg véhicule ici une imagerie angoissante et impose Venise comme un cadre idéal à son récit, lequel s'articule autour d'une menace sourde, une terreur latente dont on n'arrive jamais à deviner la nature et l'objet. Le scénario est ainsi ponctué d'éléments déstabilisants appelant le sentiment anxiogène tels cette aveugle au sourire inquiétant, cette série de crimes à priori sans rapport avec l'intrigue, cette petite silhouette enfantine vêtu d'un ciré rouge apparaissant régulièrement et évoquant la défunte enfant du couple. Malin jusqu'au bout de ses focales, Roeg distille la couleur rouge avec parcimonie tout au long de son film, afin d'insister sur la résurgence du fantôme de la défunte, le rouge étant la couleur la plus vive du cadre terne et dépressif de l'ensemble.

    Le suspense ne faiblit jamais mais monte crescendo en s'appuyant sur le doute des protagonistes quant à la véracité des affirmations de la dite voyante, véritable catalyseur de l'intrigue. Le malaise devient omniprésent, Roeg orientant son récit vers une sorte de déterminisme latent et irrévocable qui finit de situer le film dans son contexte fantastique.
    Dès lors, il est indéniable que le film se pose comme un parfait exemple de terreur suggestive, jouant plus de la psychologie de ses personnages, de son décorum et des hors-champs que des effets tape à l'oeil rédhibitoires devenus aujourd'hui monnaie courante.
    Ne vous retournez pas est donc un authentique chef d'oeuvre du film d'angoisse dont la rémanence de certaines scènes hante longtemps le spectateur après son visionnage.
    Cloduar
    Cloduar

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mars 2020
    Le scénario promettait beaucoup, la déception est au rendez-vous. Trop de longueurs, d'incompréhensions. Même la fin est trop improbable pour être crédible.
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