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    Los Angeles 2013
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 531 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 avril 2021
    J'ai eu le déplaisir de regarder Los Angeles 2013 récemment et malgré le fait que je regardais un film étonnamment mauvais je devais continuer à regarder pour savoir si le film continuerait à dégringoler dans sa spirale descendante et rassurez-vous il l'a fait. Il est vrai que je ne suis pas un fan de l'original mais l'original était sombre et quelque peu crédible avec un travail d'acteur admirable de Lee Van Cleef. Ce même film déplacé sur la côte ouest et avec les effets spéciaux possibles de son époque. Un dernier mot sur ce film je pense qu'il a l'une des pires scènes de tous les films que j'ai jamais vus. Je pensais que Jean Claude van Damme frappant un serpent et le rendant inconscient dans Hard Target était mauvais mais voir Snake chevaucher un tsunami sur une planche de surf puis sauter à l'arrière d'une voiture roulant à toute vitesse est peut-être pire...
    Le Guerrier
    Le Guerrier

    76 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 avril 2021
    Le film a énormément et bien mal vieilli. En gros, on est là dans une atmosphère opposant une sorte de Reagan fantasmé (dans le mauvais sens du terme et par la gauche) s'opposant à des zadistes qui ont pris le contrôle de Los Angeles. Ce n'est pas vraiment ce qui m'embête dans ce film, qui pourrait y compris sur la base de ce postulat être plutôt "fun". Le problème est que le film oppose et met sur un pied d'équivalence l'Etat américain et ces zadistes y compris en terme de force militaire. C'est une impossibilité complète, les zadistes ou leur équivalent étant en général plus ou moins tolérés par l'Etat qui les héberge. je veux dire, même un pays fauché comme l'Ukraine a pu déployer une force d'élite de plusieurs milliers de soldats contre les rebelles... L'atmosphère, crade, ne m'a par ailleurs pas plu. Donc un film médiocre, partant d'un postulat de départ erroné.
    ApacheBoy LT®
    ApacheBoy LT®

    2 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2021
    Voilà un film qu'il serait grand temps de réévaluer à la hausse! Je dirais même qu'il s'agit là du dernier bon film de Carpenter! Non ce n'est pas une suite d'Escape from New York, mais plutôt un remake de son propre film, ou une version revue et améliorée. C'est ce qui a déçu certains fans qui s'attendaient à découvrir une nouvelle histoire originale de Snake Plissken. Moi-même je me souviens avoir boudé ce film au premier visionnage (certainement parce que j'avais enchaîné les 2 NY & LA, et que les redondances/ressemblances étaient trop fraiches...), mais en le revoyant récemment, je me rends compte que ce palimpseste est encore plus riche que son original (la satyre sur la chirurgie, Peter spoiler: Fonda qui attend la vague
    , etc.). Alors malgré une ambiance (notamment les décors et CGI) très kitchos, le parie est réussi devant cet excellent divertissement
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 954 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2021
    Une suite de New-York 1997 qui sent le réchauffé mais qui reste divertissante pour son cocktail action et humour caustique dans un LA chaotique, avec comme chef d'orchestre un superbe Snake Plissken/Kurt Russel.
    stallonefan62
    stallonefan62

    285 abonnés 2 552 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    Retour de Snake Plissken incarné par un Kurt Russel bien bad-ass et convaincant !! Ca déménage pas mal, on ne s'ennuie pas avec des fusillades, des punchlines et des combats !! pour le reste, le scénario est très simpliste et tordu, le casting moyen et au niveau des FX, c'est quand même pas terrible pourtant le film date de 1996 et à cette époque il y a un paquet de film avec des FX nettement meilleur
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2020
    Une des thématiques communes des films de Carpenter est l'aliénation de l'individu, son oppression par une puissance supérieure, qu'elle soit fascisante (Los Angeles 2013, Invasion Los Angeles), d'origine extra-terrestre (Invasion Los Angeles, The Thing) ou surnaturelle (Prince des ténèbres).
    Suite à l'anéantissement de son identité, l'individu se voit contraint d'obéir et devient le jouet des puissants. Face à cette oppression, les anti-héros carpenterien se révoltent jusqu'à triompher contre l'oppresseur, souvent au prix de leur propre sacrifice.
    Snake Plissken est un cas à part dans la filmographie de Big John car il incarne la figure incorruptible majeure de son cinéma, et aussi le meilleur porte-parole de ses idées (ce qui est ironique vu que le personnage se borne à parler le moins possible). De plus, de tous ses héros, Plissken est l'un des rares à arriver à vaincre l'oppresseur sans avoir à sacrifier son humanité et sa vie.
    Snake Plissken, c'est le dernier cowboy, comme l'Harmonica dans Il était une fois dans l'ouest, solitaire, taciturne, déterminé mais archaïque, dépassé. Il promène sa silhouette dans une époque qui n'est pas la sienne.
    Plissken est la relique d'une ère de libertés à jamais révolue, au point qu'il en devient légendaire (Carpenter en joue d'ailleurs beaucoup à travers les dialogues de ses personnages), vivant uniquement dans l'instant présent et n'aspirant qu'à la liberté. Pas foncièrement mauvais, il se limite à sa seule vision des choses, à sa seule opinion qui, dans une société future de plus en plus liberticide et déshumanisée, reste encore la vision la plus humaine qui soit.

    Un personnage aussi charismatique se devait de revenir dans une suite tardive au film culte de 1981 New York 1997. De suite ici, il n'en est pourtant pas vraiment question, Carpenter et Russell (acteur et scénariste) s'étant accordés sur le besoin de réactualiser le personnage et l'intrigue initiale à l'aune du cinéma consensuel des années 90.
    Nanti d'un budget plus conséquent que l'opus original, Carpenter sait très bien que cette suite va s'adresser à un plus large public, d'où la nécessité de réintroduire son anti-héros dans un contexte quasi-similaire.
    En faisant le choix du remake à peine déguisé, Carpenter brûle les étapes en vue de dresser quasiment le même constat critique que celui d'Escape from New York. Le rêve américain menace toujours de s'écrouler et le réalisateur prophétise les années 2000 en la figure détestable du président du film (incarné par Cliff Robertson), un intégriste chrétien couard et illuminé, parfait sosie moral et politique d'un W. Bush.

    A travers Los Angeles 2013, Carpenter poursuit donc la satire entamée par le premier film tout en la modernisant, brocardant les dangers du politiquement correct et les travers d'une société américaine repliée sur elle-même, fondamentaliste, élitiste et xénophobe, déportant tous les indésirables sur une île de non-droit, l'ancienne Cité des Anges, coupée du continent à la suite d'un séisme sans précédent.
    Sur la base d'un MacGuffin similaire au premier film, une mallette contenant une mystérieuse boite noire convoitée par tous les partis, Carpenter esquisse rapidement le danger d'une guerre imminente pour mieux se consacrer au traitement réservé aux derniers rebuts d'une société dystopique. Et au monde dans lequel ils vivent désormais, la fameuse Cité des Anges, libérée de toute loi punitive et de politique hypocrite mais aussi territoire de tous les dangers, divisé en fiefs régis par nombre de gangs plus ou moins redoutables.
    Paradoxalement, le chef incontesté de cette nouvelle terre de libertés, règne sans partage tel un tyran grotesque aux allures de Che Guevara et réinstaure les jeux du cirque dans un stade de football. Plissken lui-même sera contraint de surmonter une épreuve tout aussi absurde qu'impossible à surmonter comme le gladiateur et "fantassin" usé qu'il est devenu. Et alors que contre toute attente, il réussit l'impensable, le public dans les tribunes se met à scander son nom comme celui d'une authentique légende.
    Et comme on le sait, le propre d'une légende est qu'elle ne meurt jamais.

    Los Angeles 2013 est globalement un bon film, porté par le charisme de son interprète principal (le génial Kurt Russell) lequel traverse une succession de décors désolés et rencontre une multitude de personnages hauts en couleur, reliques d'une société décadente et révolue.
    Certes, le scénario de ce second film n'innove en rien et reprend les grandes lignes de l'original. Carpenter recycle ici l'essentiel des éléments narratifs du premier film et n'apporte rien de neuf. Les personnages occupent quasiment les mêmes rôles que leurs prédécesseurs new-yorkais, Eddy est Brain, Cuervo est le duc de New York, Malloy est Bob Hawk. Les étapes narratives et les péripéties sont globalement les mêmes, (l'intro explicative en voix-off monocorde, le chantage fait à Plissken par ses geôliers, le débarquement sur l'île, l'épreuve du stade, la parade du bad guy, le bras d'honneur final) mais remaniés de manière à faire illusion non sans y apporter plus d'ampleur et de dynamisme.
    Les enjeux restent toutefois plus importants ici et le discours de Carpenter est différent à l'aune de cette fin de millénaire. Car si le premier film prenait bien les atours d'une dystopie sans jamais révéler le moindre élément critique de la société américaine "extérieure", dans Escape from L.A. il ne fait plus aucun doute que le pays de l'autre côté du mur est bel et bien devenu une dictature en proie à la folie biblique et à la censure morale. Au point que la terre de déportation de Los Angeles semble bel et bien devenue la dernière véritable terre de libertés, mais à quel prix...

    La trame de cette séquelle gagne donc dans sa vision critique, l'ampleur de ses enjeux et le traitement de ses personnages, ce qu'elle perd en originalité narrative. Et puis si l'essentiel du métrage se contente de ressasser le scénario du premier film, le rythme de cette suite y est plus haletant, le périple de Plissken s'acheminant dans l'urgence vers un climax des plus surprenants où Snake dans un ultime face-à-face avec son président et le système que ce dernier a engendré (via les caméras de télévision rediffusant la confrontation) se contente de condamner le monde à une ère de ténèbres en moins de temps qu'il n'en faut pour appuyer sur un bouton. Plissken apparaît alors comme l'ultime et improbable redresseur de tords, remettant les compteurs à zéro et condamnant le monde entier sur sa seule humeur vengeresse et sentencieuse.
    Carpenter s'offre alors en bout de course une conclusion plus subtile qu'elle n'y parait, permettant à son personnage de briser le quatrième mur via une dernière phrase ironique résonnant comme une ultime sentence à l'encontre d'une société qui a trop exclure la différence et à prêcher la censure, en a perdu toute son humanité.

    Mais qu'on ne s'y trompe pas pour autant, Escape from L.A. apparaît en fin de compte plus comme un agréable divertissement qu'un authentique brûlot contestataire. Idéal pour ceux qui n'auraient encore jamais vu le premier opus, bien que je recommande de découvrir Snake Plissken à travers son odyssée new-yorkaise initiale.
    bobmorane63
    bobmorane63

    187 abonnés 1 962 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 décembre 2020
    Après l'emblématique "New York 1997" qui marque les esprits des cinéphiles, John Carpenter retrouve un de ses acteurs fétiches Kurt Russell pour le role du héros célèbre futuriste apocalyptique Snake Plisskenn pour une suite en demi-teinte !! L'acteur principal est l'un des atouts de ce long métrage incarnant parfaitement le personnage mythique de la science fiction. Il y a quelques bonnes trouvailles scénaristiques dans les dialogues par exemple mais coté mise en scène, notamment dans les effets spéciaux qui sont montrés très laids à l'écran, John Carpenter ne le maitrise pas assez bien. On peux toutefois reconnaitre dans les seconds roles les présences de bons comédiens comme Stacy Keach, Cliff Robertson, Steve Buscemi, Pam Grier , George Corraface le sosie de Che Guevara dans la peau du méchant ou encore Bruce Campbell entre autres mais la sauce est à peine relevée pour faire aussi bien que l'original, c'est bien dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 décembre 2020
    Le navet total. Comment se faite du fric facile ? C'est ce qu'ont du penser Russel et Carpenter. On fait une suite d'un film qui a eu du succès ! Se sont-ils dit ! Sauf que la c'est baclé et vraiment mauvais. Circulez...
    Yetcha
    Yetcha

    875 abonnés 4 386 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2020
    Suite au mythique New-York 1997, Kurt Russell a insisté auprès de Carpenter pour reprendre son personnage si charismatique de Snake Plissken. Malheureusement la recette est la même et les effets spéciaux piquent sérieusement les yeux. Pourtant, on ne boude pas son plaisir devant les aventures de Snake et la brochette d'acteurs de qualité. Une suite moins géniale mais qui possède parfois des fulgurances indéniables.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    135 abonnés 3 065 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2020
    Un film d'aventure musclé un peu un classique d'une forme de pseudo science fiction de la fin du millénaire. Kurt Russell est un habitué du genre, tenir tête à des bandes de dégénérés et se faire rouler dans la farine pas les politiciens. Mais c'est lui le héros alors il s'en tire à chaque fois. S'il n'y a pas vraiment de suspense il y a du divertissement et une certaine forme d'humour barbare.
    Ezhirel
    Ezhirel

    53 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 avril 2020
    Autant Escape from New York a très bien vieilli, grâce à une réalisation assez épurée qui lui a permis de passer les frontières du temps.

    Autant Escape from Los Angeles, c'est tout l'inverse.

    Ce film est moche, mais moche… J'ai rarement vu un film avec des CGI aussi laborieux. Mentions spéciales à la scène du sous-marin et à la scène de surf, dignes d'un téléfilm des années 90. Non seulement c'est moche, mais en plus, y'a une espèce de surenchère du mauvais goût que je croyais uniquement possible dans les productions The Asylum. Au moins, ça a le mérite de prêter à sourire.

    Les matte painting sont hideux, indignes d'un blockbuster Américain des années 90. Les incrustations des personnages sur fond vert sont certainement les pires que j'ai pu voir, on voit carrément l'aliasing. J'ai envie de dire du boulot d'amateur, mais même un amateur ferait certainement mieux avec un fond vert à 40€.

    Puis le scénario… un quasi copié / collé de son prédécesseur, mais sans la fraicheur de ce dernier, et en plus grotesque. C'est simple, Escape from Los Angeles ressemble davantage à une parodie de Escape from New York, qu'à une véritable suite.

    Finalement, seul le charisme de Kurt Russel en Snake Plissken sauve ce nanar de la noyade totale.

    Avant de visionner le film, je pensais que les mauvaises critiques étaient bien trop virulentes, connaissant la propension des fans de la première heure à être hermétiques au changement, mais elles sont plus légitimes que jamais. Ce n'est pas juste une mauvaise suite. Tout à l'heure, je parlais de The Asylum. Pour vous donner un ordre d'idées, Escape From Los Angeles ressemble à un mockbuster The Asylum plagié sur Escape from New York. C'est divertissant (encore que…) uniquement si on le regarde sous le prisme du nanar.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2020
    Carpenter assume apparemment le coté "nanar" de son film, on aurait préféré qu'il fasse une suite sérieuse en évitant tout un tas de scènes stupides et grossières (l'arrivée de Plissken en sous-marin, la scène de surf ou bien encore la captivité du héros par un chirurgien fou.)
    Ce n'est pas un mauvais film en soi, il est même plutôt plaisant, mais comparé au chef-d'oeuvre qu'est "New-York 97) il fait vraiment tache. C'est comme si Carpenter avait perdu tout son génie passé les années 80.
    Caine78
    Caine78

    6 691 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Cela fait maintenant plusieurs mois que je prends plaisir à redécouvrir la filmographie de John Carpenter, aujourd'hui avec « Los Angeles 2013 », suite (ou plutôt remake!) de son « New York 1997 ». Il faut être clair : tout ça est à prendre au second degré. Je peux également comprendre que l'on voit le résultat comme une vaste plaisanterie tant le réalisateur copie presque à la scène près la structure du modèle original et son développement, poussant parfois le mimétisme assez loin spoiler: (je pense au combat de « catch » sur le ring remplacé ici par un hallucinant (et vraiment drôle) tir au panier sur un terrain de basket)
    . Pourtant, ce serait à mon sens passer à côté d'un vrai plaisir cinéphile. Carpenter assume évidemment ce côté « je fais ce que je veux », proposer quelque chose de résolument différent ne l'intéressant pas. En revanche, on peut quand même observer des changements. Plus de moyens, déjà, qu'il exploite assez habilement, gardant cette logique d'univers apocalyptique de série B tout en lui offrant plus de décors, plus de possibilités, d'autant que niveau effets spéciaux (bon, à part sur la fin où ça part pas mal en vrille), il y a également de gros progrès. On a ainsi beau être en terrain connu, le réalisateur d' « Invasion Los Angeles » tente pas mal de choses insolites, à l'image de ce personnage spoiler: de surfeur totalement inutile à l'intrigue mais assez savoureux, semblant se moquer ouvertement du Bodhi de « Point Break »
    . Les quelques variantes amusent par leur capacité, notamment lors de l'introduction, à tourner en dérision le premier volet. Enfin, en quinze ans, Carpenter ne s'est pas franchement réconcilié avec l'humanité, faire du mercenaire qu'est Snake Plissken quasiment le plus « intègre » ou le moins dangereux en disant long sur son état d'esprit, à l'image d'un dénouement spoiler: encore plus nihiliste que le précédent où la « meilleure » solution serait de plonger le monde dans les ténèbres
    , ou encore son choix de renvoyer dos à dos spoiler: extrémistes religieux et révolutionnaires sud-américains
    : franchement, qui oserait aujourd'hui un truc pareil ? J'en oublierais presque le casting : Kurt Russell, fidèle au poste, Stacy Keach, Steve Buscemi, Cliff Robertson, Valeria Golino, Pam Grier spoiler: (en transsexuel!!)
    , Peter Fonda, Bruce Campbell ou la beaucoup trop rare Michelle Forbes, aussi « bad ass » et réjouissant que son homologue new-yorkais... Du cinéma de genre, se fichant pas mal des modes et du politiquement correct, que certains jugeront inutiles vis-à-vis de l'original, mais qui saura se faire une jolie place dans la filmographie de son auteur pour ceux sachant aller au-delà des apparences. Réjouissant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 août 2019
    Je n’étais déjà pas fan du premier volet, mais il y avait un petit charme 80’s de série B fauchée et inventive. Pour cette suite, Carpenter a plus de budget, mais ses effets spéciaux sont plus ringards que jamais, avec des scènes tout droit sorties d’un vieux jeu vidéo sur CD-ROM. Côté scénario, on n’y comprend pas grand-chose, l’intérêt étant surtout de retrouver le personnage de Snake. Et de ce côté-là, on est servi jusqu’à l’overdose: Snake fait du basket, Snake fait du surf, Snake fait du deltaplane... Le second degré vire au grand n’importe quoi et c’est visuellement de plus en plus laid. Je sauverais une très efficace scène de poursuite à moto, un face-à-face au sommet Kurt Russell/Pam Grier et un arrière-plan politique joyeusement iconoclaste et libertaire qui est à peu près le seul vestige de la patte Carpenter dans ce sommet de kitsch.
    benitoberlon
    benitoberlon

    55 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2019
    Un ton légèrement en dessous du NY 97 (le surf sur le Tsunami, non mais sérieux? :D) ...mais tout de même, on y retrouve ses principales qualités : John Carpenter....Kurt Russell...une BO aux petits oignons (comme d'hab avec Carpenter), des FX qui ne vieillissent pas trop mal (comme d'hab avec Carpenter), une histoire futuriste bien sympa, quelques répliques Badass...Bref, c'est cool!
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