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Un visiteur
2,5
Publiée le 30 avril 2007
Nettement moins bon que le précédent, on a tout de même plaisir à revoir Snake Plissken ! Beaucoup moins Carpenter ! La suite (enfin prequel) est annoncé, avec Gerard Butler dans la peau de Snake ! Carpenter fait ça pour le pognon (il ne réalisera sans doute pas), Russel est dégouté ("il est Plissken" qu'il estime etre son personnage le plus aboutis), et Butler comme un cheveux sur la soupe après son incroyable performance dans 300, risque bien de s'en sortir avec les lauriers ! Wait and see !
Voici l'un des deux très mauvais films de Carpenter, avec le village des damnés. Il est bon, un fois le visionnage terminé de se replonger dans l'original (New York 1997) et d'oublier ce remake raté. Même S. Buscemi est mauvais, vous dire...
Ce film est tout simplement excellent! ^^ Je l'ai regardé 3 jours après avoir revisionné "Escape from NY" et je préfère largement "Los Angeles 2013"! D'abord, il fait moins vieillot (15 ans entre les 2 films quand même) et la fin est beaucoup plus explicite et jouissive. Certaines scènes pourront paraître un peu ridicule (je pense notamment à l'attaque en ailes volantes) mais j'ai adoré l'univers décadent et le côté anarchiste de ce film! Toutefois, je trouve qu'il manquait le côté un peu glauque du 1er film, mais ça ne l'empêche pas d'être assez sombre (tout en gardant quelques touches d'humour!) Quant aux effets spéciaux, je trouve qu'ils ont bien veilli même s'ils ne sont évidemment pas à la hauteur des dernieres super-productions.
John Carpenter n'est pas passé loin de son ultime chef d'oeuvre. Pourquoi ? Si les effets spéciaux n'avaient pas été confiés à une boite qui a coulé durant la postproduction et si la partie avec Pam Grier ne ronronnait pas tant, Los Angeles 2013 aurait été le film ultime du cinéaste. On a rarement vu un film aussi désabusé et il s'agit probablement du film le plus politique de son auteur. Snake Plissken est l'alter ego de John Carpenter et il n'a pas changé. "Plus les choses changent plus elles restent les mêmes" : Snake Plissken résume à la fois la situation politique des Etats-Unis ainsi que la position de John Carpenter vis à vis des studios. Carpenter aborde le monde artificiel d'Hollywood, l'extrême-droite, les faux révolutionnaires, le puritanisme exacerbé de ses compatriotes, les oppresseurs, les pacifistes. et même les chirurgiens esthétiques. Carpenter est fatigué, Plissken l'est aussi. Plissken a lui-même conscience d'être manipulé, de servir de pion aux hauts-dirigeants (=producteurs) pour une société qu'il ne reconnaît pas...et dans une histoire qu'il a déjà vécue ! Les studios ont demandé à Carpenter de "refaire son plus gros succès" ? Le cinéaste le prend au pied de la lettre, il reproduit New-York 1997 à l'image près. Carpenter se moque éperdument des studios et des conventions. Son discours n'a pas changer alors pourquoi faire un film différent ? Ce film donne l'occasion à Carpenter de réaliser son ultime pamphlet, ravageur, sans concession, grinçant, cynique, drôle, politiquement incorrect. Plissken (Carpenter) veut continuer son chemin sans qu'on l'emmerde. La réponse implacable de Plissken à tout ça se trouve dans le dernier quart d'heure, probablement le plus surréaliste du cinéaste et le plus engagé et nihiliste du cinéma américain. Plissken renvoit les USA rejoindre le Tiers-Monde. Plissken allume sa cigarette. Ecran noir. La voix de Plissken : "Bienvenue à la race humaine.". Carpenter et Plissken se barrent par la grande porte.
Un univers et des décors apocalyptiques et un personnage sombre, sorte de cowboy moderne qu'on a plaisir à retrouver. (Personnellement, je l'ai vu avant New York 1997, donc le fait que le scénario soit exactement le même ne m'a pas trop gêné...) Dommage tout de même que certains effets spéciaux ratés viennent un peu gâcher le tout. Ça reste un très bon film de science-fiction.
Franchement sur ce coup J.Carpenter s'est un peu foutu de ses fans(dont je ne fais pas partie même si je trouve Vampires très bon).Les effets spéciaux sont pitoyables,le scénario absent et certaine scènes (la mise à mort sur le terrain de basket) sont ridicules (a n'importe quel degré).Le pire reste le surjeu des acteurs(la "performance" de S.Buscemi me laisse sans voix) et les situations hyper-prévisibles lorsqu'elles ne sont pas hyper-loufoques.A ce niveau là ce n'est plus de la parodie mais du grand n'importe quoi.Je mets une étoile par respect pour Carpenter.
Le début aurait pû faire penser à une sorte de Mission Impossible, mais en fait, c'est pas du tout çà. C'est nul !! nul, nul !! Comme si le pouvoir de la vie sur Terre se résumait à une télécommande. Bien bêtes seraient encore une fois les américains pour laisser un objet si dangereux se laisser si facilement voler. Regarder pour le personnage principal ? Même pas non plus. Toutes les scènes ne sont presque que de circonstance, ridicules (ex: basket), sans nature ni sens. Le film est court : allez savoir pourquoi... «Il a éteint la planète...» et moi mon poste !
Jouissif oui c'est le mot. Excellent, pour moi supérieur au premier car plus divertissant, même si moins visionnaire. Tous les acteurs sont excellents, et le fait de reprendre toutes les composantes de l'esprit californien (surf, chirurgie esthetique, basket...) dans des scènes à la limite du surréalisme est vraiment bien trouvé.
Etrangement cette suite de New York 1997 a visuellement moins bien vieilli, pourtant il est moins vieux que le 1er et il a bénéficié d'un budget plus important. Los Angeles 2013 est donc moins réussi, je me rappelle que lors de ma première vision j'étais resté sur ma faim. Toutefois en le revoyant, je suis revenu sur mon avis initial et depuis à chaque fois que je le revois je prends plaisir à le regarder. C'est quasiment un remake de New York 1997, car Los Angeles 2013 reprend à quelques différences prêts la trame du scénario original notamment ce lieu connu devenu une prison à ciel ouvert, on passe de Manhattan à un morceau de la Californie séparé du continent suite à un séisme. John Carpenter est un réalisateur plus à l'aise avec la ville de L.A. (il n'aime pas la Grosse Pomme) or il ne tourne pas son meilleur long-métrage, pourtant j'aime ce film, on retrouve le ton cynique de l'original et surtout Kurt Russell réendosse avec aisance le rôle le plus marquant de sa carrière. Rien que revoir dans un autre film le personnage de Snake Plisslen suffit à lui seul la découverte de cette suite. L'histoire est sympa, quelques scènes sont amusantes d'autres moins heureuses, l'action présente même si cela manque parfois d'énergie, personnellement je regarde ce film sans jamais m'ennuyer. Outre la présence de Kurt Russell, on dispose d'un casting haut en couleur. Bien que ce soit une suite parfois maladroite, je trouve certains avis un peu vaches sur ce film qui est à mes yeux un divertissement, une série B assurément jouissive (certes pas autant que le premier).
Los Angeles 2013 est un film de John Carpenter qui m'a beaucoup marqué par son ambiance apocalyptique gigantesque et par son message politique toujours d'actualité. En outre, les scènes d'actions sont nombreuses et impressionantes avec un second degré toujours assumé (La partie de basket et la scène de surf en sont les exemples les plus frappants). Cela dit, il est un peu dommage de voir les scènes en images de synthèse qui sont vraiment dépassées d'un point de vue technologique mais qui font malgrès tout passées leurs messages. Avec les participations de Pam Grier en transexuelle, de Bruce Campbell en chirurgien sadique (Habillé comme dans Evil Dead, c'est dire la référence), de Steve Buscemi toujours aussi bon, de Stacy Keach, Michelle Forban et Georges Corraface en sosie de Che Guevara. Un grand film politique dans la lignée de ceux à Roméro...
Los Angeles 2013 est plus un remake de New York 1997 qu'une suite.Le film est moins sombre tout en étant plus accé sur l'action et sur la violence.Cette fois ci Snake Plissken(toujours admirablement bien intérpreté par Kurt Russel) ne dispose que de 10h pour retrouver une boîte noire et la fille du président.Dans Los Angeles, les personnages secondaires sont plus intéressants et plus fouillés que dans New York.Carpenter s'attaque ici encore plus violemment au système politique américain à travers le personnage du président qui n'est en fait qu'un cinglé.Au final,c'est un film qui tient ses promesses et qui parvient à égalé l'original avec en plus, une surprise de taille à la fin du film.On notera aussi que la BO est un peu moins bien soignée que dans New York 1997 mais elle reste quand même agréable à entendre.
Los Angeles 2013 est moins réussi que New York 1997 mais il a tous les ingrédients du bon divertissement. Un personnage principal qui a la classe, des scènes d'action originales, bourrées d'effets spéciaux (malheureusement ils ont mal vieilli) et une musique excellente.
Un des meilleurs films de Carpenter, on se marre bien, tout est à prendre au second degré. Sinon, on trouve le film complètement con, et c'est le acs d'ailleurs mais c'est tellment gros qu'on se fait plaisir et Kurt Russell est parfait en Snake Plisken. Beaucoup mieux que New York 97.