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Un visiteur
2,5
Publiée le 26 juillet 2007
On prends les mêmes et on recommence.Voilà la recette de Los Angeles 2013 largement infèrieur à son ainé New York 1997, mais ce film vaut le coup d'oeil. La scène de fin est excellente par contre.
une pure merveille de la part de john carpenter. kurt russell est exelent dans ce film, surtout avec ses répliques et son "j'me branle de tout". l'histoire est la meme qu'a new york mais c'est différent voir presque mieux. a voir absolument
John Carpenter a bien déconcerté son public en livrant avec LOS ANGELES 2013... l'exact opposé de NEW YORK 1997 ! Changement de ville, de couleur, de rythme, de mission... On peut aussi noter que le ton satirique est moins important que dans l'original, quelque peu sacrifié au profit d'une bonne dose d'action qui contribue à assoir un peu plus la légende de Snake Plissken au détour de scènes instantanément anthologiques comme le repère des chirurgiens, le jeu de la cannette westernien en diable, la partie de basket ou le surf dans les égoûts. C'est en ce sens que LOS ANGELES 2013 est moins une suite qu'un remake, reprenant les principales étapes de la narration pour les remettre au goût du jour, ce qui se voit dès le trajet vers la ville des bannis. Le seul qui reste le même, c'est Snake Plissken, toujours avec un Kurt Russell parfait. Comme si Plissken, dans tout son cynisme, était l'essence de ce film. C'est sûr, Snake est de retour et dans ses aventures les plus jouissives !
Un bon film d'action trés bien réalisé avec un Kurt Russell au top ! Une bonne critique de l'amérique puritaine dissimulé dans ce film qui montre Los Angeles dans l'ombre du crime On prends plaisir à voir évoluer le personnage de Snake, le anti-héros parfait Trés bon divertissement donc
La suite du grand New York 1997 toujours de Carpenter et toujours avec Kurt Russel en anti-hero. Carpenter nous fait ici un remake de son film 20 ans apres mais ne se laisse pas faire par la simplicité de copier coller son film car ici l'univers s'etoffe l'histoire est differente ansi que les personnage par contre carpenter reprend le deroulement du premier mais mettant en scene des developpement different (le nouveau "vieil ami" de Plissken, l'amie qui mort, le jeux pour se sauver la vie) donc on a un nouveau film a part entiere. Kurt Russel est toujours aussi excellent et nous campe un anti-hero plus que charismatique. Le background est genial avec des etats unis ultra puritaine et un mechant au fort accent de Che Guevara et au milieu de tout sa un Snakke Plissken au replique culte et a la vanne rapide on y trouvera aussi Bruce Campbell en Medecin en chaine de psychopate de la chirurgie. La grande difference entre New York 1997 et Los Angeles 2013 est le budget qui est ici beaucoup plus imposant et permet de corriger tous les petits defauts de decors du premier, pour ce qui est des CGI, tout comme dans le premier, elle sont assez mal integré mais toujours assez peux presente. Encore une foix un excellent film aidé par un meilleur budget et un background evoluant vraiment tout en restant excellent, on regrette vraiment le fait que le 3eme volet "Escape fromEarth" n'est ete qu'une rumeur.
Suite (plutôt un remake inavoué avec changement de lieu et d'année d'action) de "New York 1997". Largement inférieure au premier film, qui reste un must-have total du cinéma d'action et d'anticipation. Cependant, rien que pour John Carpenter et Kurt Russell, on peut le regarder. Pas un bon film, mais regardable. Il faut juste oublier le premier film.
Tout simplement énorme, on ne peut pas trouver meilleur anti-héros. Le nombre de répliques cultes est impressionants, on pourrais en faire un dico entier si l'on voulait. Mais regarder moi ce charisme, personne ne peut nier qu'il en jette! Ce mec à un sens de la répartie innée, jouissif tout simplement, à regarder sans modérations!
Nayant pas vu New York 1997 (ce film étant dailleurs mon premier visionnage dun Carpenter), je ne peux faire de comparaison entre ces 2 films. Malgré tout, ça ne ma pas empêché daimer ce « Los Angeles 2013 ». Jai découvert un film comique, provacateur, fortement critique de la société actuelle américaine et particulièrement dHollywood. Le terrible Big One tant redouté se déclare et fait de Los Angeles une île. Celle-ci servira désormais à lEtat américain de refuge pour tous les délinquants et les hors-la-loi des Etats Unis. Seulement, une boîte noire, objet de haute importance, a été volée par la fille du Président qui est maintenant alliée avec des bandits de Los Angeles. Le film est ironique, il ridiculise le président américain qui veut assassiner sa fille. Carpenter réussit à tourner en dérision le pouvoir de la « plus grande » nation du monde. Malgré ce côté critique bien plaisant, des passages sont un peu lourds et ridicules notamment dans les passages daction. Laction nest pas du tout là pour être sérieuse, cest encore de lironie mais cest pas toujours plaisant. Kurt Russel a, malgré tout, la classe dans son personnage de Snake Plissken et il remonte bien le caractère des fois plutôt risibles de certaines scènes. Le scénario est simplet mais plaisant car il est intégré à des environnements futuristes visionnaires. On imagine bien comment Los Angeles pourrait être après la catastrophe que pourrait provoquer la faille de San Andreas. Cest du pur divertissement, Carpenter ne se prend pas au sérieux du tout. Il ironise tout et ridiculise fortement cette amérique puritaine quil ne doit pas beaucoup apprécié. Un film marrant mais pas plus.
Après une incursion dans la prison de Manhattan dans l'excellent non moins cultissime à mes yeux "New York 1997", John Carpenter, en 1996 soit pratiquement 20 ans après, revient avec l'anti-héros Snake Plissken dans un vrai-faux remake de "New York 1997". Cette fois-ci après moult relation avec les studios le réalisateur va régler ses comptes avec "la cité des anges" et Hollwyood avec dès le début un tremblement de terre, le Big One que tout californien attend et redoute. Los Angeles, alors devenu l'île des bannis de la société américaine très morale, John Carpenter en profite pour aussi régler ses comptes avec une certaine Amérique, la "puritaine". Dans un climat western mais surtout très anarchiste, le film baigne autour de ce qui rend célèbre cette ville comme Beverly Hills, avec la communeauté des fanatiques de la chirurgie avec en guest-star Bruce Campbell en chirurgien en chef dingue. Ainsi des scènes aussi fun et délirantes s'enchaînent comme le défi du "10 points au basket ou la mort" (à comparer au combat à mort dans New York 1997), la remontée d'Hollywwod en surf ou même le combat final arrivant en deltaplane, ce dernier se passant dans un parc Disney, où l'impéccable Steve Buscemi place une petite phrase rigolote en clin d'oeil au français comme quoi "le truc à Paris les a perdus (Disney)... Et comment ne pas voir en Cuervos un Ché Guevara Carpentérien, mais où dans ce film finalement aucun n'est là pour rattraper l'autre. De la bouche même de Plissken, l'un ou l'autre, ça change rien d'où le final dès plus pessimiste et anarchite. Pas la qualité du premier mais aussi fun...
Suite sympa de "New-York 1997"... Le grand plaisir de retrouver Snake et les seconds couteaux tous plus forts les uns que les autres. Cependant moins réussi que le premier opus. Plus de facilités otyamment dans certains scènes "cheveux sur la soupe". Reste que c'est un bon divertissement et que JOhn Carpenter a le talent pour limiter la casse.
Il a réalisé une oeuvre devenue culte comme beaucoup de ses films et il revient cette fois-ci avec une suite,pardon un remake.Et oui!Los Angeles 2013 est un remake coloré de New York 1997.J'avoue avoir du mal à comprendre les intentions de Carpenter envers ce film.Car il faut le dire,l'évasion de LA est bien moins exceptionnelle que celle de NY,surtout que Carpenter déteste New York,c'est un comble.C'est d'ailleurs pour cela qu'il s'est aventuré à Los Angeles.Parce qu'il accorde une grande affection.En voulant créer un contraste entre les deux villes,John s'est planté.L'idée de départ,à savoir de reproduire les mêmes événements mais de façon différente était bonne,mais le film prêche par un énorme sentiment de déjà vu.L'ombre de New York plane durant tout le film et c'est bien ce qui est dérengeant.Pourtant Carpenter avait réuni tous les ingrédients favorables:un bon casting(tout de même inférieur au précédent),un budget supérieur,... Mais malgré cela,le film sombre parfois dans le ridicule et on déccroche rapidement.On ne s'ennuie pas,il est vrai que c'est divertissant,pour beaucoup totalement jouissif mais pour moi ce n'est pas le cas.On a tué en quelque sorte la franchise Plissken.Dommage,les intentions était bonne,le potentiel était présent. Une "suite" qui ne s'imposait pas et qui ne provoque à aucun moment le même enthousiasme que son prédécesseur.Je me demande si ce n'est pas le contraste entre les deu films que Carpenter a voulu représenter.
Snake Plissken est enfin de retour après 16 ans d'absence. Kurt russel est toujours autant à son aise dans la peau du personnage qui l'a rendu célèbre et la mise en scène de john Carpenter est toujours aussi énergique. Les seconds rôles y sont interprètés avec beaucoup d'ironie par des pointures telles Peter fonda ou encore Steve Buscemi et carpenter se moque comme à son abitude des dirigeants de son pays. Un formidable film d'action! Culte!!!
Vous souffrez d'insomnie, un seul reméde Los angeles 2013.Trés trés efficace, on dort comme un bébé. Melangeant navet et choux de bruxelles et tout a fait merdique. Comment la chance peut-elle sauver de la mort en une seule nuit un homme. De l'irrealisme absolue. Perdre une heure et demie pour ça que des regrets.
Une suite bien moins réussie que le premier. Dans une Amérique devenue plus que puritaine Snake Plissken ( que tout le monde croyait plus grand ) fait son retour dans la désormais île de LA. Le film est fait sur les mêmes bases que le premier avec des références notoires à celui-çi et on s'amuse toujours autant avec un Plissken déchaîné. Cependant quelques problèmes entachent le film : des dialogues d'une niaiserie importante et des effets spéciaux d'une piètre qualité comme la scène du surf. Le film reste tout de même une bonne série B à voir.