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tomPSGcinema
749 abonnés
3 323 critiques
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3,0
Publiée le 21 juillet 2010
Suite du mythique New York 1997, Los Angeles 2013 est vraiment un long métrage très divertissant même s'il n'atteint jamais les sommets du précédent opus. Réaliser en 1995, toujours par John Carpenter, soit Quinze ans après New York 1997, ce long métrage possède tout de même le savoir faire indéniable du metteur en scène. L'histoire commence en 1998 où un gigantesque tremblement de terre s'abat sur Los Angeles et en fait une ville complétement couper du reste du pays. Ensuite, l'action se situe en 2013, où un mercenaire ( Snake Plissken ) est contacter par le président des Etats-Unis pour récuperer un système qui peut alterer l'énergie de la planète et que possède un dangereux terroriste nommer Cuervo Jones. L'homme, à qui on a inoculé un virus mortel pour qu'il accepte la mission, ne possède que quelques heures pour mener à bien sa mission et recevoir l'antidote. Voilà un film qui posséde de très bons moments d'actions et de suspense et où l'on retrouve un casting vraiment très intéressant. Kurt Russell, de son côte, campe de nouveau un Plissken vraiment excellent, je ne vois pas d'ailleurs quel acteur pourrait le remplacer sur ce rôle tellement il s'investit totalement dans son personnage. Parmi les autres excellents interprètes nous retrouvons Steve Buscemi, George Corraface ( dans le rôle du méchant Cuervo Jones), Stacy Keach, Valeria Golino, Pam Grier, Peter Fonda ou encore Cliff Robertson dans le rôle du président. Sur le plan technique, le film possède des décors vraiment très bien faits et une très belle photographie, je tiens a préciser, d'aileurs, que la scène du tremblement de terre en introduction est vraiment très bien faite. Le film est vraiment prenant du début, jusqu'à une fin qui en surprendra plus d'un et qui laisse surtout a réflechir. En tout les cas, il s'agit d'une suite que je vous conseille fortement de voir ou de revoir, car le long métrage possède vraiment des qualités indéniables. SNAKE PLISSKEN AND CARPENTER FOREVER!!!!!!!!!!!!!
Plus desabusé que jamais,carpenter nous livre cette suite remake,etats des lieux d'un changement secretement esperé mais jamais survenu. Plus les choses changes et plus elles restent les memes...tu l'as dit bouffi!
Une suite du New York avec ici un côté beaucoup plus moderne, (plus de gadgets...), le scénario du film est d'une force sidérant. Pointant le doigt sur les mauvais côtés des Etats-Unis, dénonçant grosso-modo que ceci mènerait à la dictature (déportation, président à vie, interdiction de fumer et autres...) pour un futur proche, un monde sans liberté. Jtrouve le discours très intéressant et provocateur, on ajoute ici la touche Carpenter avec notre Plissken adoré et on a un pur film d'action. Dommage que les effets-spéciaux aient carrément mal vieillis.
Si le premier est opus était bien pour l’époque, Los Angeles 2013 est une sacrée bouse, mais elle a le mérite de faire rire ! Donc 1 étoile pour la franche rigolade liée à la nullité de tout ce qui compose ce film. Mais zéro en soit!
Suite du culte et incontournable New York 1997, Los Angeles 2013 est à la fois une suite et un remake du premier avec un plus grops budget. L'histoire est sensiblement la même et l'idée narrative suit ce qui a fait le succès du premier volet : Snake obligé d'agir pour lutter contre un virus qui lui a été injecté, rechercher un objet indispensable pour le gouvernement, etc. Un bon film d'action, avec un final pessismiste mais jouissif, dommage que les effets spéciaux soient si en deçà de la qualité de l'ensemble. Mention spéciale à Bruce Campbell toujours à contre emploi.
Snake Plisken revient pour de nouvelles aventures laissant à Carpenter la possibilité de pisser encore sur la société américaine.Plus direct,il n'hésite pas à critique tout ce qu'il deteste avec l'aide de scénes parfois à coté de la plaque.Même s'il est carrément jouissif ne laissant jamais le spectateur s'endormir,la mayonnaise ne prend jamais.Trop de bourrinage et de n'importe quoi,deception pour les puristes du premier.
Mais c'est quoi ma BEUH... dans mes souvenirs, le film se déroulait à New York, et Snake devait libérer le président pas sa fille... à part ça le film est le même mais en moins bon. Rendez-vous dans dix ans pour "nouvelle orléans 2036"
Et voici que 15 ans après l'échec de New York 1997, Johnny décide de refaire un remake de son propre film. Si au moins, le réalisateur avait su tirer les conséquences de ses précédentes erreurs, mais non! Il réalise une copie quasi identique d'un film déjà plus que mauvais ! On retrouve un scénario écrit sur un sous-verre, des acteurs sans charisme, même Kurtie semble se prendre au sérieux dans cette improbable série B. Contrairement aux films d'action hollywoodiens du même genre, type films à la Stallone ou Schwarzenegger qui, même s'ils ne sont pas transcendant, savent divertir un minimum et remplir leur contrat avec le public. Ici, on se fait ouvertement ch***, primo car on connaît l'histoire et le dénouement, deusio, parce qu'aucun des acteurs n'arrive à attirer notre regard, capter notre attention. La réalisation mollassonne et sans rythme de Carpenter sera l'occasion d'un gros dodo pour le commun des mortels (j'ai moi-même surfé sur le web pendant la quasi-totalité du film passé le premier 1/4 d'heure...). Comme le disait une critique sur un autre film : "apportez votre mp3, ça passe le temps...".
Un vrai régal. Surtout ne pas chercher du premier degré dans cette suite du déja trés bon "New York 1997", car elle est encore plus décomplexée que l'opus précédent. La preuve : les effets spéciaux totalement baclés (la société responsable des sfx a fait faillite au début de la post-prod) ne font qu'accentuer l'esprit bande-dessinée qui imprègne l'ensemble du film. Un film d'aventure génial, bourré d'humour, d'action fun, de répliques cultissimes ("Qui êtes vous?" "Je suis votre Président"), et bien sûr de la présence réjouissante de l'anti-héros Snake Plissken, incarné par un Kurt Russel survolté. La vision de Los Angeles par Carpenter est encore plus délirante que dans NY 1997, remplie de seconds rôles inoubliables (Bruce Campbell en chirurgien fou!!!). Et bien sûr, que serait LA 2013 sans son arrière-plan politique, et surtout sa fin dantesque? Le film se clôt par un gigantesque bras d'honneur anarchiste de la part de Carpenter, comme on aimerait en voir beaucoup plus souvent dans un cinéma actuel où la dénonciation se fait surtout (trop?) en filigrane. L'un des meilleurs films de Carpenter. A voir et à revoir.
15 ans plus tard, le monde réel devient de plus en plus schtarbé, et Big John ne le supporte plus. Que faire pour se défouler, à nouveau, sur l'Amerique dite Idéale de Clinton, Bush et consorts ? Appeller Snake Plissken à la rescousse, évidemment.
On retrouve ainsi notre Borgne adoré au plein coeur d'un Los Angeles chaud bouillant (à l'opposé du New-York froid qui nous était dépeint dans le précedant opus), lieu de déportation pour ceux qui ne rentrent pas dans les critères de la Sainte Amerique (autrement dit, une majoritée de la population), et dans lequel la fi-fille fofolle du Président s'est réfugié aux bras d'un Che Guevara (bien evidemment plus cruel) voulant s'emparer du monde entier... Tout comme le Président des USA. On est donc dans un univers visuel démentiel, multipliant les réfèrences avec une ironie mordante, dans lequel evolue un Kurt Russell plus cool que jamais, et des personnages plus cinglés (et parfois attachants) les uns que les autres (le toujours aussi bavard mais excellent Steve Buscemi, l'inattendue Pam Grier ou encore un Bruce Campbell méconnaissable). Malgré une mise en scène inventive et énergique (exactement le contraire de New-York 1997 je vous dit !!), on remarque évidemment que la grande faiblesse du film sont les Effets Speciaux malheureusement pas finalisés, mais rendant malgré tout un aspect encore plus sympathique à ce qui pourrait s'apparenter à un Comic Books filmé.
En gros, ouais c'est ça. L.A 2013 est une bande dessinée ambulante dont les idées sont plus déjantées, anarchiques, à l'image du metteur en scène... Ce qui n'empêche pas le fait qu'il n'égale en rien le premier volet d'une saga culte, en proie à un remake désolant. Snake, tu me manqueras.
Là je dis NON!!! Tout commence avec le générique du début : c'est la même BO que le premier opus (on peut se permettre ce genre de chose quand on film un Bond lol) puis là, la réplique qui tu "appele moi Snake..." si vous regarder NY 1997 juste avant vous aller encore plus en rire. Le décor est donc planté ce film va être un bon navet. D'ailleurs en parlant de décor... des mecs toujours propre sur eux, des rues d'une ville dévastée qui donne envie de manger sur le bitume tellement c'est propre, bref comme d'hab chez Carpenter, du carton pâte, une musique de merde, des répliques débiles, etc...
Une repassette bien rythmée pour ce film qui arrive à peine aux genoux du premier opus. D’excellents effets spéciaux et un scénario à peine relooké pour ce film commercial (ou de faignant, c’est au choix), car tout est pompé sur l’original. Kurt Russel en fait des kilos, mais ça passe plutôt bien. Des scènes d’action plus spectaculaires que dans le premier mais moins de suspens. De plus on ne retrouve pas le climat dans lequel baignait « New York 1997 » et qui en faisait son point fort. Le film exacerbe ce puritanisme US aussi affiché qu’hypocrite, et qui est ici poussé à l’excès. Un Chef rebelle sosie ou presque de Che Guevara et un Président US faux-cul à souhait qui fait étrangement penser à l’actuel (bien que le film date de 1996). A voir pour passer un bon moment avec ce bon film d’anticipation/action.
On reprend le même Duo : Russel en anti héros bagareur et "j'men foutiste" et Carpenter derrière les caméras. Le résultat est aussi bon que le premier opus "New York 1997" : Action, Bagare et scène de Western à la sauce science fiction, avec la petite musique qui va bien, la bande son est d'ailleur fort bien choisie. A voir en soirée, avec des amis et la famille.
Une suite dans la continuité mais pas exceptionnelle non plus avec des instants aux limites de la nanardise (le coup du surf sur le tsunami c'était quand même osé!). Mais bon, ça reste du John Carpenter avec un bon Kurt Russel...