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Uncertainregard
117 abonnés
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1,0
Publiée le 14 décembre 2009
Le début de Carpenter est vraiment bon apportant plein de bonnes idées mais hélas, sa mise en scène manque de rythme par la suite et de nombreuses actions sombrent dans le ridicule...
On est trèèèèèèèèèèès loin du chef d'oeuvre visuel, sombre et sèrieux qu'était "New York 1997" avec sa suite "Los angeles 2013". Mais aussi moche peut il être, voir débile, cette suite est fun, et Snake Plissken toujours incarné par un Kurt Russel ravi de reprendre le rôle de sa vie, assure grave en envoyant chier tout le monde, et en niquant le monde entier en beauté. Pas sur que si j'avais vu le film à sa sortie en l'attendant comme un fou, je dirais la même chose.
Un remake déguisé en suite qui se contente de décaler l’intrigue de 16 ans et quelques milliers de km. La plupart des idées sont pompées sur l’original, les autres sont complètement stupides (du surf sur un tsunami sans déconner…). En plus, la réalisation n’a rien de transcendante. A quand Melun 2029?
Après "New York 1997", quoi de mieux pour continuer que "Los Angeles 2013" ? Suite de l'histoire démarrée quelques années auparavant par l'un des maîtres de l'horreur, ce nouvel opus se révèle d'un qualité quasi égale à celle de son prédécesseur. On y retrouve un Kurt Russell toujours aussi classe en compagnie en revanche d'une troupe d'acteurs peu inspirés qui renvoient une image à la limite de la parodie d'action. Tantôt sérieux, tantôt comique, "Los Angeles 2013" peut se vanter de dire qu'il aura fourni au cinéma certaines des scènes les plus irréalistes qui aient été projetées sur grand écran. Ce dernier élément, bien que ridicule et minable dans le fond, se montre miraculeusement plaisant et créer davantage de fous rires que de crises colériques. Côté scénario on est plutôt mal servi avec la banalité habituel de John Carpenter qui n'est bien heureusement pas dénué de charme en compagnie de belles ou plutôt sombres mélodies très prenantes. En clair, "Los Angeles 2013" peut se savourer à plusieurs en souvenir de ce style propre aux années 90. Divertissant et léger, il ne faut surtout pas s'attendre à trouver quelques message d'ordre divin dans cette poésie noyée de phrases profondes et de beaux sentiments.
Film quand même meilleur que New York 1997 qui était selon moi pas terrible du tout. Ici on a plus d'action, une meilleur réalisation (même si c'est pas le top). Les effets spéciaux restent moyen mais bon c'est 1996 aussi. Le scénario c'est un peu du copié / collé du 1er mais il reste globalement + efficace. Bonne fin aussi. Bref, pas mal, 3/5
"Los Angeles 2013" est encore plus jouissif que "New York 1997". Snake Plissken est plus dangereux et déjanté que jamais. On sent que le réalisateur a voulu s'éclater avec des idées inédites : notre héros profite d'un tsunami pour surfer sur Wilshire Boulevard, l'épreuve de basket mortelle dans le grand stade, le gang des ratés de la chirurgie esthétique à Beverly Hills etc. D'ailleurs, tout est surmultiplié dans le film : plus de rythme, d'humour et d'action, sans oublier la réflexion. Le gouvernement des USA, très puritain, exile tous les bannis de la société à Los Angeles devenue une île suite à un terrible tremblement de terre. Quand on sait qu'il est interdit de fumer et de baiser mais seulement de prier, ça en fait des candidats à la déportation (ou à la chaise électrique, c'est au choix). Le président US est ici un intégriste religieux effrayant. Mais les ennemis des USA prônant l'anarchie et la violence ne valent pas mieux. C'est pourquoi Snake a sa solution. spoiler: A la fin du film, il "éteint la Terre" renvoyant l'humanité cinq cents ans en arrière, rien de moins ! Pas de gagnant, pas de perdant. spoiler: La dernière image montre un Snake, libre, savourant une cigarette...
John Carpenter est un réalisateur stupéfiant, qui signe en 1981 " Escape from N-Y " ( communément appelé " New-York 1997 " ) . En 1996, il signe une suite encore plus époustouflante. Le résultat est jouissif. " Los Angeles 2013 " est aussi réussit que l'original, apportant encore plus d'efficacité aux scènes d'actions. Un très grand film dans lequel l'esprit fantaisiste de Carpenter raisonne encore. Humours noires et insolente et ,et esprit rebelle de ses personnages. Kurt Russell endosse une dernière fois la peau de Snake Plissken dans cette suite spectaculaire est superbement efficace. Et le travail de mise en scène est impeccable. Un chef-d’œuvre, signé par le mythique John Carpenter.
Mais c'est quoi ma BEUH... dans mes souvenirs, le film se déroulait à New York, et Snake devait libérer le président pas sa fille... à part ça le film est le même mais en moins bon. Rendez-vous dans dix ans pour "nouvelle orléans 2036"
J'ai mieux aimé "New York 1997". Ce que j'aime moins dans ce deuxième volet sont les scènes ironiques: Snake Plisken qui joue au basket, qui fait du surf etc... On y retrouve quand même l'atmosphère du premier opus et, bien sûr Snake Plisken, qui n'a pas changé: toujours aussi fort et révolté par la politique du gouvernement. Bonne musique de John Carpenter.
Carpenter déçoit, même si on comprends très bien son intention en faisant ce film. Un film qui ressemble à une vielle série B, tout les clichés y sont et les effets spéciaux sont aussi mauvais que les dialogues et le scénario. Bref préférez The Thing à LA 2013. On y voit de suite la différence.
Kurt Russell est encore plus sombre que dans New York 1997. Décidément, John Carpenter a bien fait de remettre l'"escape" (cf les titres en anglais). Mêmes concepts, même atmosphère, mais cela reste détonnant ! Le rôle de Snake Plissken était destiné dès sa création à Kurt, c'est obligé : il incarne tellement bien ce personnage... De l'action du début à la fin, du suspens, on ne décroche pas, bravo Carpenter, et bravo à Kurt Russell, pour l'un des meilleurs rôles de sa carrière. Los Angeles 2013 et New York 1997 sont des films cultes pour moi. Je trouve à la limite honteux que ce film n'ait qu'une moyenne de 2,8 sur 5.
Le film qui a fait remonter comme une grande nostalgie du premier de ce héros déjà fatigué... Et quel cast pour les cinéphiles : Peter fonda, Cliff Robertson, Stacy Keach (inoubliable dans Fat City). J'aime tellement, j'ai tellement d'affection pour son cinéma que je ne erai pas objectif. Mais quoi qu'il en soit, rien que pour cette dénonciation sans partage du puritatisme US et pour ce parfum de Saudade qui flotte sur le film, il faut le voir... /Sympathique, attachant honnête, et puis on parle de Snake merde !
Un magnifique retour du personnage de John Carpenter, Snake Plissken dans une nouvelle aventure d'évasion à Los Angeles après Manhattan. Le scénario a un point en commun avec le précédent, c'est qu'il s'agit de Los Angeles qui est une île avec un autre contexte qu'un sauvetage d'un président. Un scénario bien écrit avec une belle exploitation du personnage principal et de sa manière d'agir ou de parler. Kurt Russel est excellent dans son rôle qui lui va bien. Le reste du casting est bien. De l'action bien fun et déjanté. On ne s'ennuie pas avec les différents situations. Un Los Angeles reconnaissable dans un milieu très hostile. Des costumes très stylés dont particulièrement celui de Snake. Une fin totalement inattendue et originale. Un des meilleurs film de John Carpenter dont j'ai pris un tel plaisir à le regarder.
Suite du culte et incontournable New York 1997, Los Angeles 2013 est à la fois une suite et un remake du premier avec un plus grops budget. L'histoire est sensiblement la même et l'idée narrative suit ce qui a fait le succès du premier volet : Snake obligé d'agir pour lutter contre un virus qui lui a été injecté, rechercher un objet indispensable pour le gouvernement, etc. Un bon film d'action, avec un final pessismiste mais jouissif, dommage que les effets spéciaux soient si en deçà de la qualité de l'ensemble. Mention spéciale à Bruce Campbell toujours à contre emploi.