Que dire ,malgré ses 3 heures l’on ne s’ennuie pas ,un des meilleurs films que j’ai pus voir ,d’ailleurs il s’agit de mon film préféré (vue au moins 5 Foix)
Pour un film de 1959, on peut admirer les magnifiques décors et un tournage impeccable avec des centaines de figurants apportant un sentiment de grandiosité à ce péplum. Après, même s'il semble que cet imparable succès cinématographique ait bien vieilli, on peut toutefois déplorer un scénario un peu léger basé sur une vengeance moyennement justifiée, et l'intervention du Christ qui parait un peu hors sujet. La scène de courses de chars remonte toutefois le niveau en restant un moment incontournable apportant toute sa grandiloquence à ce film unique et prestigieux.
Un chef d'oeuvre : Film qui plaira beaucoup aux personnes de religion catholique , mais aussi aux personnes d'autres religions et meme aux personnes athées . Fidéle au roman Best Seller . Le plus grand film avec Charlton Eston ( Quoi que " La planéte des singes " est également un chef d'oeuvre ) . Beaucoup d'émotions intense .
Pour faire un très bon film il faut : une belle histoire, une bonne mise en scène, un bon dialogue, une bonne musique, de bons acteurs. Ben Hur coche toutes les cases, en mieux, c'est un pur chef-d'oeuvre.
Ben-Hur à l'instar d'autres grands péplums de son époque comme "Les Dix Commandements" ou "Barrabas" est résolument épique. Cependant, contrairement à son contemporain Cecil B.De Mil, William Wyler propose une réalisation bien plus moderne et mobile des actions. Cela nous parait acquis 65 ans plus tard mais nombre de récits mythologiques étaient filmés tels des pièces de théatre.
Ben-Hur propose un récit, certes un peu verbeux et longuet par moment, mais avec une réalisation dynamique entre champ-contre champ sur différentes valeurs de plans, travellings, vue subjective,... Ce n'était pas révolutionnaire mais cela renforce l'aura de certaines scènes mythiques. Des séquences aujourd'hui légendaires comme la course de char, les galères, ou les scènes avec Nazareth (son nom ni son visage n'apparaissent jamais).
spoiler: Petit aparté, ma scène préférée est celle du puit lorsque Ben-Hur est envoyé aux galères en passant par le désert.
Le film de Wyler est profondément novateur et doté d'un casting, l'indéboulonable Charlton Heston en tête, impeccable ainsi que d'une bande-son mémorable. Un classique résolument moderne.
Difficile de trouver le moindre reproche à faire à Ben Hur, tant ce film, sa production et sa postérité sont cultissimes. Ben Hur est probablement un si ce n’est des meilleurs péplums de l’histoire, une forteresse d’histoire gravé dans les mémoires et dans le panthéon du 7ème art.
Péplum immortel, Ben Hur est un des grands films du septième art. Incontournable, il a établi un grand nombre des standards de référence utilisés à ce jour.
Ce qui est excessif étant insignifiant, on n’a aucun mal à négliger les avis à une, voire une demi-étoile pour ce monument du cinéma où tout, de la mise en scène aux dialogues, en passant par la musique, est grandiose. Ils sont formidables ces gens qui pestent contre une « propagande ou morale religieuse » imprégnée dans le film. Le générique mentionne pourtant bien qu’il est tiré d’un roman intitulé « Une histoire du Christ », alors il ne va quand même pas s’interdire d’en parler ! La seule critique qu’on pourrait faire à ce propos est d’en avoir ajouté un peu par rapport au roman et même par rapport aux textes évangéliques (la scène avec l’officier faisant face au Christ est un peu trop appuyée). Car les textes n’ont jamais relaté d’épisode où le Christ apporterait à boire à un assoiffé ni même se comporter en bon Samaritain, apportant son aide à tous les affligés. Sans doute a-t-il été amené à le faire comme tout un chacun en présence d’un blessé ou d’un mourant mais les évangélistes n’ont en ce cas pas cru devoir rapporter un événement aussi banal qui n’entrait pas dans la mission essentielle du Christ : celle de propager la foi en son père, qu’il incarne, en vue d’être sauvé et ce, en accomplissant des miracles. Et on voit bien, à la fin du film, que la mission est réussie. Alors, ceux qui ne voient d’intérêt dans ce film qu’une course de chars – laquelle dure 7 minutes bien suffisantes – n’ont qu’à se tourner vers Mad-Max ou autres productions du genre pour se procurer leur adrénaline.
Je viens de revoir, pour la nième fois, ce monument du cinéma retraçant le début de l’histoire du christianisme et, pour moi, c’est toujours un chef d’œuvre. D’abord Charlton Heston, absolument habité par son rôle, puis les scènes dans les galères et enfin la célébrissime course de chars (j’ai lu qu’il,y aurait eu 100 chevaux morts sur le tournage : les inconséquents qui lancent ce genre d’info, alors qu’il y avait 32 chevaux engagés dans la course, et que les Américains adorent les chevaux, devraient un peu réfléchir). Un film, qu’on soit croyant ou non, dont on se souvient toute sa vie, contrairement à la daube tournée en 2016. Une rigueur dans tous les aspects image, bande son qu’on ne retrouve quasiment pas de nos jours.
Tout le savoir-faire hollywoodien dans cette fresque beaucoup trop longue comme l'histoire du monde... Ceci dit, la course de char, qui arrive au bout de deux heures et demie, donne un vrai coup de sang au film. Cette course, furieusement immersive par sa flamboyance et sa violence, préfigure avec vingt ans d'avance la sauvagerie d'un « Rollerball » par exemple... Bref, « Ben Hur », c'est la bannière du péplum, illustration XXL de l'âge d'or d'Hollywood et des studios. Et Charlton Heston a bien du charisme.
Un monument de mise en scène (comme le suggère l’affiche) au scénario solide, une grosse production de qualité. Tourné à Cinecittà, le film débute par la naissance du Christ (carrément !), avec crèche, rois mages et charpentier Joseph, puis passe à l’an 26 et à la soumission de la Judée par les Romains. Reconstitutions haut de gamme et habileté d’un scénario ambitieux et solide qui intègre la Bible dans un péplum. On assiste ainsi à des scènes très belles (Jésus donnant à boire), très spectaculaires (combat naval de galères, splendeur romaine) et/ou d’anthologie (course de chars). Le film ne tombe jamais dans le pathos même quand il nous emmène dans la Vallée des Lépreux. Il se termine par la crucifixion au mont des Oliviers. Un monument.
Je viens de revoir avec plaisir ce chef d’œuvre de la Metro Goldwin Mayer et il s'en dégage toujours autant d'émerveillement et d'émotion. Que de fastes avec son nombre incroyable de figurants et ses décors somptueux !. Et que dire de l'interprétation de Charlton Helston dans le rôle principal de Ben Hur ou de la course de chars qui donne le frisson. Film qui marque son époque et ne se démode pas.
Bon rythme, grandas acteurs, decors et cascades spectaculaires. Dialogie et histoire profonde. Du grand Hollywood. Parmi le rares bemols, le traitement du marchand arabe est ridicule.