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    Ben-Hur
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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 septembre 2010
    une course de char d'une demi heure,Charlton Heston en minijupe et des tonnes d'oscars,un blockbuster à prendre au second degré
    caro18
    caro18

    143 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 août 2010
    Très long, des figurants qui paraissent perdus et des scènes qui auraient meritées d'être plus impressionantes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 juillet 2011
    Le péplum par excellence.
    Samuel S.
    Samuel S.

    11 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 août 2013
    "Ben-Hur" est peut être un chef d'œuvre du cinéma et la référence du péplum avec "Gladiator" mais je n'ai pas accroché une seconde. C'est terriblement long, je me suis vraiment fait chier, et je n'ai pas tenu les 3h a l'instar de "Lawrence d'Arabie".
    haciol
    haciol

    7 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2009
    Un film certes grandiose, certes épique, certes poignant... mais on sent déjà poindre les travers d'Holywood et de ces grosses productions...
    Hotinhere
    Hotinhere

    435 abonnés 4 774 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mai 2020
    Récompensé par onze oscar, un péplum somptueux, spectaculaire et passionnant porté par un Charlton Heston grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    Un chef d'œuvre tout simplement. Je ne me lasse pas de le voir et le revoir. Un jeu d'acteur de Charlton Heston incroyable
    eldarkstone
    eldarkstone

    188 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2023
    Mais quel chef-d'oeuvre ! Quel grand film ! Un Péplum historique immortel et intemporel, avec des scènes mythiques et de très grands acteurs !
    Philcroc
    Philcroc

    39 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 avril 2023
    Comme tout chef d'oeuvre, Ben Hur n'a ps pris une ride. Éblouissant. Tout est réussi : scénario , interprétation magistrale avec un charlton Heston au top. Décors grandioses avec une armée de figurants...On est littéralement ebloui par ce grand cinema .
    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2020
    Chef d’œuvre épique intemporel dont quelques passages figurent au panthéon de l'Histoire du cinéma.
    dougray
    dougray

    215 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2014
    Superproduction hollywoodienne comme on n’en fait plus et, surtout, incontestable classique du 7e art, "Ben-Hur" est, pour autant, un film qui peut effrayer le spectateur d’aujourd’hui, et ce pour plusieurs raisons. Sa durée de 3h30, tout d’abord, qui n’est plus du tout adaptée aux habitudes du public. Sa mise en scène, en suite, qui ne brille pas forcément par son efficacité mais qui, surtout, collectionne les effets sans doute très tendance à l’époque, mais qui vieillissent terriblement le film aujourd’hui. On a, ainsi, droit, à une interminable introduction (avec un plan sur les doigts de la fresque bien connue de Michel-Ange) qu’on retrouve à mi-bobine au moment de l’entracte (ce qui est encore plus désuet !), un rythme très incertain plombé par des scènes qui s’allongent de façon particulièrement déraisonnable, une surexploitation de la musique (signée Miklos Rosza) d’un style tellement "pompier" qu’elle réussit l’exploit de ne pas marquer les esprits (il manque un thème reconnaissable) ainsi qu’à des effets spéciaux particulièrement datées qui trouvent leur apogée lors de la bataille navale (les maquettes y sont assez ridicules). Quant à la direction d’acteurs, on ne peut qu’être amusé devant certains tics de jeu typiques de l’époque (ah le mouvement de tête sur le côté pour mimer le désarroi). Pour autant, on ne pouvait guère imaginer qu’une superproduction du calibre de ce "Ben-Hur" puisse faire l’économie de ces défauts, si représentatifs du cinéma à grand spectacle de l’époque. Dès lors, il convient d’être indulgent et de regarder le spectacle proposé avec un œil bienveillant sur le plan formel. Et force est de reconnaître que, sur un plan purement scénaristique, "Ben-Hur" est une réussite tant il brasse des thèmes au potentiel terriblement évocateur. La première grande idée réside dans la confrontation entre le Juif Ben-Hur (Charlton Heston, très bien dès lors qu’on excuse ses débordements théâtraux) et le Romain Messala (excellent Stephen Boyd), amis d’enfance devenus adversaires en raison des circonstances et du climat politique en Judée. Leur opposition inéluctable (et ses conséquences) est l’un des moteurs du film… au moins dans son premier tiers. En effet, on ne peut que regretter que le réalisateur William Wyler n’ait pas davantage creusé la relation entre ces deux personnages et ait préféré radicaliser sans grande nuance le méchant Messala, plutôt que d’exploiter ses motivations politiciennes ou le passé des deux anciens amis. Résultat, après une entame prometteuse (les retrouvailles, la rupture puis l’exil), Wyler s’intéresse quasi-exclusivement au parcours de Ben-Hur pour ne lui faire retrouver son ennemi que tardivement et, surtout, sans grand sentiment. Il faut dire que ce brave Ben-Hur a fort à faire pour se relever après son exil forcé (avec un parcours initiatique qui n’est pas sans rappeler "Gladiator") et son aventure est, incontestablement un autre point fort du film. Les scènes dans les galères, le sauvetage de son futur père adoptif Quintus Arrius (Jack Hawkins), sa rencontre avec l’affable Cheik Ilderim (amusant Hugh Griffiths) et, bien évidemment, la légendaire course de chars comptent parmi les grands moments du film. Enfin, "Ben-Hur" a su se distinguer par une grandiose idée de mise en scène, à savoir la représentation du Christ sur grand écran. En effet, il est rappelé que le film est adapté du roman "Ben-Hur : a tale of the Christ", de sorte que Wyler ne pouvait pas faire l’impasse sur les nombreuses scènes mettant en scène Jésus, distribuant la bonne parole en Judée sous l’œil inquiet des Romains. Et le risque était grand que le Christ fasse pâle figure, surtout à côté d’une star comme Charlton Heston. C’est sans doute la raison pour laquelle Wyler a fait le choix de le filmer toujours de dos et de lui faire adopter une gestuelle très iconographique, ce qui renforce la figure christique. Malheureusement, aussi audacieuse soit-elle, cette touche religieuse s’avère être le principal défaut de la fin du film qui se perd un peu dans une ambiance mystique au les longueurs se multiplient à mesure que l’intérêt du scénario vacille. En effet, si on a pu s’enthousiasmer pour sa rivalité avec Messala et les épreuves qu’il a dû affronter pour revenir auprès des siens, difficile de se passionner autant pour ses retrouvailles contrariées avec sa mère et sa sœur, devenues lépreuses, tant les personnages semblent, alors, tous habités par une foi béate envers le prophète qui prêche sur la colline… surtout après 3 heures de film ! Plus que le rythme bien trop lent de cette conclusion (les allers-retours dans la vallée des lépreux, le calvaire du Christ, la crucifixion…), c’est bien le prosélytisme ambiant et, surtout, la façon dont les scénaristes résolvent tous les problèmes du héros, en un orage miraculeux, qui ne manquera pas d’interloquer tant ce final était attendu. D’ailleurs, comment douter, dès lors que Jésus fait partie intégrante de l’intrigue, que les lépreuses vont succomber ? Cette dernière partie manque, donc, de surprise mais, également, de souffle… et ce n’est pas la bien molle histoire d’amour entre Ben-Hur et Esther (Haya Harareet un peu monolithique) qui vient arranger l’affaire. Néanmoins, pour peu qu’on ne soit pas rebuter par les péplums de années 50-60, il me parait difficile de na pas apprécier ce "Ben-Hur" qui, malgré ses défauts de productions, évoque un passé hollywoodien glorieux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mars 2020
    Le film épique du cinéma hollywoodien, multi récompense à Oscar, spoiler: 11 statuettes avant que le record soit battu par Titanic avec ses 14 statuettes, dont meilleur film, réalisateur, acteur principal et secondaire compris, direction artistique, photographie, création de costume, effets visuels, montage, musique, mixage de son.

    Et autres récompenses reçues pour cette fresque monumentale judéo-romaine chrétienne d’une durée de 3h40, une semi-romance sur le personnage Judas de la famille juif Ben Hur de Judée, en pleine apogée expansionniste du plus grand existant dans l’antiquité.

    L’empire impérialiste Romain s’étendant de l’Europe jusqu’au Moyen-Orient au temps de l’an Zéro, avant et après Jésus-Christ, le messie fit des miracles que nous conte son co-religionnaire apatride Judas de Judée, accusé à tort d’avoir intenté à la vie du gouverneur de la province impérial Judéen.
    A cause d’une construction et des briques mal manipulées, par son ami d’enfance fidèle, retrouvailles si chaleureuses malheureusement de courte durée, Messala, l’intrigant général de cette romance philosophie politique antique juive et romain.

    Une production faramineuse propagandiste à l’image des 10 commandements, la Torah du judaïsme suivi de la Bible, le christianisme prend le chemin salutaire prophétique des galères pour l’esclave réduit Ben Hur, prisonnier politique ne peut que préparer sa vengeance contre l’injustice.
    En attendant, il galère pour trouver son bon maître romain qui lui donnera bénédiction, afin de retrouver sa liberté perdue par l’innocence acquittée pour fait d’armes en temps de navire de guerre antique, joué par l’interprète de la planète des Singes.

    Charlton Heston de Soleil Vert convaincant, l’acteur du théâtre Shakespearien américain, nous délivre une prestation fastueuse dans cette réalisation que nous met en scène la tragédie de l’antiquité, l’emprisonnement de toute une famille s’enchaîne dramatiquement.
    spoiler: Au fil des connaissances médicales par la science, des maladies bactériennes affectent mères et sœurs, ce fut la lèpre, envoyées dans la vallée des lépreux et des femmes majoritairement
    , la miséricorde condition poussera l’émotion jusqu’à son paroxysme.

    Pendant cette durée du film, le spectacle garanti à l’hippodrome de Caesar III par sa musique récompensée romaine, des jeux spartiates que participera le héros juif contre son ex-ami officier militaire devenu traître ennemi opposition.
    Ce spectacle distrayant de l'antiquité, des arènes de combats de gladiateurs où il avait autant foule réjoui immémorial intemporel, pour se distraire de la réalité sociale romaine loi du talion, de l’esclavage, du sang et des morts.

    Par pure vengeance haine pour le sort réservé à sa famille miséreuse, le culte de ses scènes de course de chars à chevaux palpitants et haletants, novateurs, millimétrés, géniaux, très bien entraînés les chevaux arabesques.
    Au palais du Roi d’Antioche et de la Mésopotamie, la crucifixion pour en finir avec ce tableau cinéma monumental, exécuté par Rome, pas les chrétiens et leur religion du désert monothéiste, le challenge polythéiste mais l’ennemi en lui-même.

    Après avoir civilisé les barbares par sa politique empirique, l’empereur des népotes despotes marque l'histoire des religions qui deviendront destinées européennes antiques, la décadence et récupération des reste de chute des monuments romains 🏛italiens.
    Le fils du Dieu du ciel et roi des juifs Jesus et sa sainte mère Marie, fait des miracles et ses fidèles croyants lui accorderont volontiers le chef-d’œuvre, 4 étoiles critique suffira parce qu’on y croira fort aux miracles.

    Marcher sur l’eau, la transformer en vin, rendre à l’aveugle mendiant sa dignité, guérir des maux terrestres par le don divin, les lépreuses se convertiront, c’est sur et certain.
    bobmorane63
    bobmorane63

    158 abonnés 1 902 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2008
    Un chef d'oeuvre!!!! Un des sommets du genre Péplum auquel le nombre d'Oscars qui lui étaient décernés ne sont pas volés. Je viens de découvrir ce film qui est connu dans la légende du cinéma pour la spectaculaire course de chariots (qui est une réussite) et je m'attendais à un genre de duel de prince, Judas Ben Hur devenant esclave aprés un accident maladroit et qui voit sa mère et sa soeur emprisonné, jure vengeance auprés de son fidèle ami traitre comme le récent "Gladiator" de Ridley Scott. Il ya de cela mais dans la deuxième partie, des évenements surprenants surgissent comme des thèmes traités comme la maladie de lèpre ou cette homme mystérieux auquel on devine qui c'est, donne de l'eau à Judas alors esclave. Un film remarquable, puissant, magnifique, somptueux, beaucoup d'adjectifs prositifs qualifient "Ben Hur" signé par le grand cinéaste William Wyler. Charlton Heston livre une composition magistrale dans le role titre et le reste du casting l'est tout autant. Le plus surprenant, c'est que le film date de 1960 et parlait de religion alors qu'aujourd'hui, on massacre des films comme "La passion du Christ" de Mel Gibson traitant le meme sujet. En tout cas, "Ben Hur" est un grand classique à voir et à conserver sur le devant de votre étagère.
    Davidhem
    Davidhem

    89 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 janvier 2011
    "Ben-Hur"! Grand, épique, violent, intéressant, critique de l'époque, le film de William Wyler vous transporte deux mille ans en arrière au temps de Jésus de Nazareth et de l'empire romain gouverné par Tibère. Le film relate le conflit entre les Romains et les Juifs, ceux-ci envahis et soumis au régime de ce qui était à l'époque la plus grande armée du monde. Judas Ben-Hur est dans le film un prince juif très riche, ami d'un Romain puissant qui devient son ennemi dès lors que ce dernier lui ordonne d'espionner et de livrer des rebelles de sa religion. Charlton Heston use de son physique impressionnant et de son regard perçant pour que le spectateur sache que le héros qu'il incarne n'est pas une demi-portion. Lorsque sa famille est jetée en prison et lui-même envoyé aux galères, il jure de revenir en Judée pour se venger. La vengeance résulte de la haine et c'est cette haine qui va lui permettre de survivre à de terribles épreuves. Le film montre les Romains comme des tortionnaires, comme des juges arbitraires car il faut le préciser, Judas Ben-Hur n'a jamais été jugé. Ce dernier va utiliser son courage et son intelligence pour échapper aux galères, le réalisateur veut ainsi montrer que même un général romain à qui on sauve la vie peut être redevable même à un esclave. Prince, esclave, libre, revanchard, amoureux, le personnage incarné par Charlton Heston est habité par la puissance des passions sentimentales et c'est cette profonde humanité qui le rend si crédible aux yeux du spectateur. Le film est bien évidemment resté célèbre pour sa course de chars meurtrière où Judas Ben-Hur règle ses comptes avec celui qui l'avait trahi et qui avait humilié son nom et sa famille. Le final de ce film semblait se tourner vers la tristesse et le pessimisme mais il ne faut pas oublier que Jésus auto-proclamé le roi des Juifs existait à cette époque. La scène finale signifie que Judas Ben-Hur devient le premier de sa religion à la renier et à se convertir au christianisme. Au final, "Ben-Hur", avec plus de cinquante ans d'âge est resté un classique et demeure un chef-d'oeuvre étonnant de modernité qui traverse les années en conservant sa puissance.
    gamorreen
    gamorreen

    15 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    Long et lent (à part la course de char), beaucoup de blabla.... Peut-être étais-je trop jeune et je devrais le revoir? (vu fin des années 80)
    Je l'ai revu depuis cette critique et le film a gagné 2 étoiles dans mon avis : effectivement ce n'est pas si mal, l'histoire intéressante finalement, j'étais sans doute trop jeune et fan d'action rapide, ce que n'est pas Ben-Hur (qui 'avait été "vendu" comme un Indiana Jones avec la course de char et la course de char et la course de char :-) ).
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