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    L'Elève
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    2,8
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    14 critiques spectateurs

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    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 août 2014
    Pas grand chose à tirer de ce "L'élèvé". L'histoire est assez bof, c'est très long, il y a ce gamin d'une froideur exemplaire et d'une grande intelligence, et Jean-Pierre Marielle toujours très bon, Caroline Cellier aussi d'ailleurs, mais à part ça, pas grand chose...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 octobre 2008
    Quelques grammes de finesse dans un monde de brutes. Cassel a laissé tomber le calibre un instant et c'est bien.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juin 2023
    Adapté du roman de Henry James, L’Élève représente la relation trouble qui unit un jeune artistocrate à son précepteur, Julien, d’abord inscrite dans un lieu délimité (le manoir que l’on pense domestique) puis décomposée dans l’espace et le temps. Ce qu’il manque à Morgan, enfant surdoué et maladif, n’est autre que ce qui ne s’écrit pas, à savoir le présent d’une histoire familiale dont il a honte (celle d’une « bande de canailles », dit-il) mais dont il incarne à lui seul les valeurs et la dignité sur le point de s’estomper. Le précepteur se fait le garant d’une amitié sinon impossible, comme le montre la scène naïve d’une bataille de neige en Pologne, en raison du caractère asocial de Morgan, enfant insupportable malgré lui en ce qu’il détonne par sa brillance naturelle au sein d’une famille qui doit, elle, se déguiser en permanence. Jean-Pierre Marielle a beau promettre un traitement de dix mille francs par an, le malheureux professeur n’aura que quelques billets, maigres au demeurant ; pour sa défense, le beau parleur pose la question suivante : « quel besoin avons-nous d’argent quand nous vivons si paisiblement ? »
    Le film compose ainsi deux extrêmes, deux rives entre lesquelles louvoie Julien dont la seule présence suffit à guérir l’enfant. Et le plus curieux là-dedans, le plus beau aussi, réside dans la relation qu’il nous avec lui, relation tout à la fois distante et fusionnelle qui, alors même qu’elle doit reposer sur l’enseignement, s’affranchit des mots et se raconte autrement. Le précepteur apparaît telle une promesse de liberté, moins par ses connaissances – le petit génie les a déjà – que par sa mobilité. Cette dimension est portée par la photographie qui désature l’image comme de multiples lavages font perdre leurs couleurs à un vêtement, comme la lumière naturelle ternit l’éclat d’une peinture. Il faut attendre la clausule pour voir filtrer un rayon de soleil, associé à la couleur blanche, page vierge sur laquelle tout continuer ou tout recommencer, au son des vagues et des mouettes.
    L’Élève témoigne alors des pouvoirs contradictoires de la fiction, porteuse d’espoir et de chimères – cette aristocratie décadente ne peut remonter le temps et retrouver le faste d’autrefois qu’au moyen de la fiction : le mensonge d’abord, les histoires ensuite, comme celle que l’on se raconte en chaîne le soir de Noël, réunis autour d’un sapin volé à un commerçant –, garante d’une unité familiale et de la solitude profonde des poètes nés poètes dans une maisonnée de précieux ridicules. Une œuvre intelligente et rigoureuse, portée par un Vincent Cassel convaincant tout en raideur et en retenue.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 350 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 juillet 2024
    Peut-on parler d'adaptation ratée? Ou bien une lecture du roman d'Henry James est-elle nécessaire? Toujours est-il que le sens même du sujet m'a echappé. En premier lieu parce qu'on ne perçoit pas les raisons de l'amitié profonde entre le précepteur interprété par Vincent Cassel et son jeune élève Morgan.
    Julien, jeune homme pauvre, arrive chez les parents de Morgan, bourgeois avancés et amis des arts, ruinés mais insouciants, et prend en charge l'éducation de leur fils, un enfant aussi étrange que génial.
    Dans ce film d'époque brillamment costumé, on cherche vainement la substance de l'idée dramatique, la signification d'une vie de famille délétère enveloppée dans un mystère sans nom. Surtout, je me suis demandé quelle fonction métaphorique, si tant est qu'il y en ait une, revêt l'enfant prodige et maladif, réciproquement lié à son précepteur et négligé par ses parents. Pour ces raisons, je ne suis jamais entré véritablement dans le film.
    Merytamon
    Merytamon

    21 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2011
    l'histoire est belle à la base, les acteurs sont convainquants notamment Vincent Cassel, Jean Pierre Marielle et Caroline Cellier, et les autres acteurs moins connus également. Maintenant le probléme c'est que c'est trés long, il ne se passe pas grand chose, au final on s'ennuie, alors que cela aurait pu donner quelque chose de bien !
    Captain fantastic
    Captain fantastic

    26 abonnés 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mars 2015
    Quel moment de solitude ce film !! Pourtant un synopsis ne peut pas être plus attirant mais alors quelle horreur !! Le rôle de l'enfant surdoué est tout bonnement insupportable et les dialogues sont tirés par les cheveux ! D'une longueur insoutenable ! On souffle quand le générique de fin débarque !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 août 2007
    Wow... j'ai adoré.. Beau, envoutant, excellemment bien interprété et filmé... bravo!
    thamnophile
    thamnophile

    12 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 octobre 2008
    Un de mes films préférés. Je l'ai enregistré voici une dizaine d'années en VHS et je le repiqurai en DVD dès que possible. L'histoire de ces nobles ruinés qui cachent leur infortune est originale. Jean-Pierre MARIELLE, Caroline CELLIER et Vincent CASSEL jouent leurs rôles avec justesse mais le plus étonnant est le jeune Caspar SALMON, sidérant dans le rôle de Morgan. On n'oublie pas de sitôt son regard tout comme celui de Cameron BRIGHT dans La peur au ventre ou de Léo LEGRAND dans Jacquou le Croquant. Ce sont en effet les 3 regards d'enfants-acteurs qui m'ont marqués le plus. Les dialogues entre Morgan et son précepteur sont très fouillés et démontrent que le premier est un surdoué qui veut montrer le meilleur de lui-même avant d'être jeté à terre par la maladie. Certaines scènes comme celle de la barque sont de véritables morceaux d'anthologie. En effet, cet enfant solitaire et chétif n'est vraiment compris et aimé que par son précepteur qui, lentement mais sûrement, s'attache à lui. Ses parents et ses soeurs n'ont apparamment rien à cirer de lui car il est en fait trop intelligent pour eux qui sont d'une vanité extrême. Avec la ruine, viendra l'exil à Cracovie dans une Pologne à l'époque sous la botte russe. C'est d'ailleurs là où la maladie le rattrapera et son dernier sourire sera alors pour son précepteur, le seul qui l'ait vraiment compris. Si ce film existe en DVD dans le commerce, achetez-le et vous comprendrez pourquoi qu'il a été un grand succès lors de sa sortie en 1996. Vous aurez plaisir à le voir et surtout à le revoir et, encore une fois, vous n'oublierez pas l'extraordinaire prestation de Caspar SALMON qui a tourné d'autres films remarquables mais malheureusement assez rares comme Le voleur d'enfants et surtout, à la même époque, Le Roi des Aulnes où il jouait le rôle pourtant difficile d'Abel TIFFAUGES enfant. Ce petit acteur alors âgé de 15 ans restera à jamais une légende du cinéma français des années 90.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 août 2010
    Un film relativement intéressant mais de facture assez académique et plutôt froid dans son esthétique.
    Mathéo Feray
    Mathéo Feray

    9 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2017
    Un joli film sans prétention qui retrace de façon quelque peu poétique la forte complicité qui unit un précepteur à son jeune élève. Vincent Cassel est bon, Caspar Salmon, excellent. Quant à Jean-Pierre Marielle et Caroline Cellier, ils incarnent à la perfection ce couple ruiné contraint aux pires bassesses pour survivre et garder la face. N'oublions pas enfin les somptueux décors et costumes qui nous plongent dans ce XIX ème siècle finissant. Une belle histoire pour une belle époque en somme. Je vous le conseille.
    calliphilus
    calliphilus

    8 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2011
    Je partage l'avis de Pivot qui trouve que la critique s'est montrée bien timide et réservée dans son jugement concernant "l'élève". Schatzky se révèle un vrai cinéaste qui soigne non seulement ses prises de vue mais aussi le scénario, le montage et les dialogue. C'est bien mieux que Luc Besson qui a bâti son succès et sa fortune sur l’esbroufe. Schatzky a signé également d'excellentes adaptations de Maupassant. La France tient là un metteur en image du même niveau que D. Lynch mais à qui, malheureusement, on ne confie pas les moyens qu'il faudrait.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juin 2007
    Ce film est un concentré de bonheur... les acteurs sont fantastiques, le scénario épattant, les images sublimes , la musique envoutante.... ce film est emprunt d'une poésie rare, qui ne vous laisse pas indiférant. Bravo
    Moncinocheàmoi
    Moncinocheàmoi

    4 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2020
    Ce film tourné en Rhône Alpes, notamment dans deux grands hôtels d'Aix les Bains est un bonheur. Un bonheur d'acteurs Jean-Pierre Marielle, Caroline Cellier et les débuts de Vincent Cassel. Un bonheur de film, un élève intellectuellement précoce se prend d'amitié pour son jeune précepteur. Les parents de l'élève ruinés ne peuvent plus payer le précepteur. Certes l'histoire est très simple mais l'amitié des plus jeunes personnages de ce récit rend ce dernier très plaisant. Un très bon film.
    Matt
    Matt

    2 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2023
    l un des premiers role de vincent cassel çase voit sa prestation est correct mais le film est un navet
    Les meilleurs films de tous les temps
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