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Une histoire invraisemblable enrobée de guimauve.
Voilà ce qu'est ce petit film qui est tout sauf un phénomène.
Turteltaub aurait plutôt dû l'intituler peccadille (si ce mot a une traduction en anglais bien sur).
Voilà ce qu'est ce petit film qui est tout sauf un phénomène.
Turteltaub aurait plutôt dû l'intituler peccadille (si ce mot a une traduction en anglais bien sur).
Pas un nanar mais le genre de film parfaitement maîtrisé pour être une bonne petite pilule rose. Des larmes et du piano à la fin, des bons petits acteurs pour le rendre crédible. Le réalisateur est un habitué.
Pas étonnant que Phénomène, l'un des premiers films du très lucratif Jon Turteltaub, soit rapidement tombé dans l'oubli.
Le casting annonçait un échec, du moins partiel, mais la présence de Robert Duvall, acteur excellent s'il en est, avait de quoi laisser perplexe.
Après 120 (longues) minutes, une seule question vient à l'esprit : que venait faire le bougre dans cette galère ?
Sur un scénario aussi indigent que profondément demeuré, Turteltaub répond à l'outrance des situations par une constante mièvrerie, et un sens aigu du poncif. Mièvrerie assez ridicule pour être risible, et, dans sa première partie du moins, le Phénomène reste un nanar de choix, conforté par des interprétations absolument désastreuses et un recours SF abominable.
Dans la dernière demie-heure, le film tente d'opérer d'une manière doucereuse son virage vers le mélo. Peine perdue : il n'en devient qu'un pur produit larmoyant calibré pour faire pleurer dans les chaumières et de nanar appréciable, se change en gros navet sirupeux.
Le casting annonçait un échec, du moins partiel, mais la présence de Robert Duvall, acteur excellent s'il en est, avait de quoi laisser perplexe.
Après 120 (longues) minutes, une seule question vient à l'esprit : que venait faire le bougre dans cette galère ?
Sur un scénario aussi indigent que profondément demeuré, Turteltaub répond à l'outrance des situations par une constante mièvrerie, et un sens aigu du poncif. Mièvrerie assez ridicule pour être risible, et, dans sa première partie du moins, le Phénomène reste un nanar de choix, conforté par des interprétations absolument désastreuses et un recours SF abominable.
Dans la dernière demie-heure, le film tente d'opérer d'une manière doucereuse son virage vers le mélo. Peine perdue : il n'en devient qu'un pur produit larmoyant calibré pour faire pleurer dans les chaumières et de nanar appréciable, se change en gros navet sirupeux.
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