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Bienheureuse miss France puis Europe, Lucienne, modeste secrétaire, devra peut-être renoncer à son soudain vedettariat et à une existence merveilleuse à cause de la jalousie et de l'hostilité de l'homme qu'elle aime.
Le film d'Auguste Genina est un film sonore, c'est-à-dire initialement muet , sur lequel se greffent, plus ou moins adroitement, différents bruitages et quelques bribes de dialogues. "Prix de beauté" est également un film médiocre et pas loin d'être insignifiant (en dépit que l'idée du sujet est attribuée à René Clair), une curiosité dont l'unique intérêt est la présence de la mythique Louise Brooks, dont le charme et la photogénie souvent vantés sont bien réels.
Il reste que l'histoire dont elle est l'héroine ne porte pas bien loin, que le scénario, très simple, ne contient aucune idée valable et que, par conséquent, les personnnages demeurent rudimentaires. D'autant que Genina fait un metteur en scène passable, sans inspiration, s'attardant sur des scènes (défilé de mode, visite d'une fête foraine) sans intérêt, comme extasié par l'invention du cinéma sonore et parlant.
Le film d'Auguste Genina est un film sonore, c'est-à-dire initialement muet , sur lequel se greffent, plus ou moins adroitement, différents bruitages et quelques bribes de dialogues. "Prix de beauté" est également un film médiocre et pas loin d'être insignifiant (en dépit que l'idée du sujet est attribuée à René Clair), une curiosité dont l'unique intérêt est la présence de la mythique Louise Brooks, dont le charme et la photogénie souvent vantés sont bien réels.
Il reste que l'histoire dont elle est l'héroine ne porte pas bien loin, que le scénario, très simple, ne contient aucune idée valable et que, par conséquent, les personnnages demeurent rudimentaires. D'autant que Genina fait un metteur en scène passable, sans inspiration, s'attardant sur des scènes (défilé de mode, visite d'une fête foraine) sans intérêt, comme extasié par l'invention du cinéma sonore et parlant.
Film marquant, fait de justesse, et de simplicité. Transcendé par les deux acteurs principaux, Prix de Beauté mérite la note maximal pour son réalisme.
traversay1
Petite dactylo, Lucienne envoie sa photo pour le concours de Miss France. Elue, elle devient Miss Europe dans la foulée. Sera t-elle fidèle à son fiancé ou se laissera t-elle griser par la gloire ? Telle est la question. Le scénario a été écrit d'après une idée de René Clair qui, hélas, se retira du projet et laissa les rênes au médiocre Augusto Genina. Tourné comme un film muet, Prix de beauté fut ensuite post-synchronisé. Et c'est une catastrophe ! Louise, doublée par une actrice française non créditée, s'exprime avec un accent parisien assez crevant, comme on disait à l'époque. L'histoire ne vaut pas grand chose, avec sa fin mélodramatique, symbolique d'ailleurs, puisque Louise brooks ne retrouvera plus le haut de l'affiche, la mise en scène est faible et Louise n'a rien à faire. Il parait que la version muette est bien meilleure. Ce n'est pas bien difficile.
Je vais être plus généreux que les autres commentaires. Le film ne prend que toute sa dimension à la fin ou on comprend enfin jusqu'où le réalisateur à voulu nous emmener. C'est la le problème du film : une très bonne fin mais on s'ennuie vraiment pendant tout le déroulement du film en disant "oui et donc ?".
Bref j'ai été bluffé par les deux dernières minutes qui vraiment valent le coup, ça mérite d'être débattu en tout cas...
Bref j'ai été bluffé par les deux dernières minutes qui vraiment valent le coup, ça mérite d'être débattu en tout cas...
Un film qui ne m'a vraiment pas emballée. Pas brillant, même pour l'époque.
Seul intêret de ce " Prix de beauté " il s'agit de la présence de la très belle Louise Brooks dans le rôle principale. Malgré une fin très réussi, l'histoire n'est guère passionnante, la mise en scène de Augusta Gemina fait souvent mal au crâne, et le doublage en français de Louise Brooks est un véritable désastre, ce qui n'est guère étonnant quand on pense que le film à commencer à être tourné en muet.
Le long métrage possède aussi une musique assez sympathique à écouter, mais l'ensemble de l'oeuvre est tout de même assez affligeant, et on est loin des deux grosses réussites que Louise Brooks aura tournée auparavant, à savoir " Loulou " et " Le journal d'une fille perdue ".
Le long métrage possède aussi une musique assez sympathique à écouter, mais l'ensemble de l'oeuvre est tout de même assez affligeant, et on est loin des deux grosses réussites que Louise Brooks aura tournée auparavant, à savoir " Loulou " et " Le journal d'une fille perdue ".
selenie
Scénario de René Clair pour un film français avec Louise Brooks. Après les deux très grands films "Loulou" et "Journal d'une fille perdue" Brooks se retrouve dans un film parlant mais sans la voix de l'actrice (tourné en muet et doublé ensuite mode oblige, tout le monde n'a pas les choix de Chaplin !). L'histoire n'a rien d'exceptionnelle, une jeune fille rêve de luxe et de gloire ce que ne peut lui apporter son ami. Le scénario est simple mais heureusement la relation dans le couple est plutôt intéressante ; elle est plutôt superficielle lui est très macho et jaloux maladif. Malgré le doublage médiocre ça reste un drame bien filmé (jolies scènes de plages qui rappellent que les français allaient à la plage avant le Front populaire de 36 !) avec de bons acteurs.
Dernier film européen de Louise Brooks, "Prix de beauté" fut tourné en France après sa mémorable collaboration avec Pabst dans l'inoubliable "Loulou" et "Journal d'une fille perdue". Tourné en muet en 1930 le film dut être doublé à la hate pour s'adapter au succès du cinéma sonore lors de sa sortie. Très mal doublé par une actrice française, Louise Brooks en perd presque son charme dans cette comédie dramatique. Génina tente de prolongé l'image qu'avait forgé Pabst de Louise Brooks à savoir une fille attirée par le feu des projecteurs qui la perdra au final. Mais le scénario (pourtant signé René Clair) est d'une médiocrité affigeante et toute la beauté et le charme de Louise Brooks ne suffise pas à sauver ce film.
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