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vivaBFG
13 abonnés
1 291 critiques
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3,0
Publiée le 7 octobre 2020
Bon, on ne va pas se mentir, là, on a droit a du "bourrin". Ce film, le scénario sont construit pour créer de l'action, action menée par Schwarzy. Alors c'est du lourd. On ne fait pas dans la dentelle. Des blessures il en aura, mais à chaque fois il repartira. Peut-être un préquelle de "terminator"? Vous aurez compris qu'ici il n'y a pas trop de finesse, que les incohérences scénaristiques ne sont pas rares, comme les cascades complètement impossible. Mais tout cela n'est pas très grave. On met son cerveau en mode"sommeil", et on se mate ce film. Çà bouge, ça remue et ça fait du bien. A voir par les amateurs de film d'action bien bourrin
L'Effaceur est peut-être le dernier bon film de Schwarzenegger avant sa période de déclin puis le début de sa carrière politique. On y retrouve tout ce qui fait qu'on aime le chêne autrichien. De l'action à gogo (le voir tirer avec les deux gros fusils à particules à la fin est jouissif), un festival de bons mots ("ils ont pris le train en marche"), des méchants vraiment méchants comme dans la pure tradition du film d'action américain des années 90. Et vas-y qu'on enchaîne des rebondissements, du traître, du politicard corrompu, des moments de bravoure exagérés (Schwarzenegger dans les airs arrivant à rattraper en pleine chute son parachute. Dans la vie, essayez de faire pareil !). C'est n'importe quoi de voir tous ces grandes pontes mêlées à ce trafic d'armes mais c'est ça que j'aime dans ce cinéma-là de l'époque. Fallait profiter du charisme de Schwarzy, son sourire aux lèvres quand il balançait une vanne ou un coup de poing dans une histoire complètement invraisemblable où il est seul (ou presque) contre tout le monde voulant le tuer. Je donnerai cher pour retrouver ça.
Un bon film d'action des années 90. Sur certains passages, le film a quelque peu vieilli. On retrouve Arnold Schwarzenegger dans le rôle d'un Marshal qui est chargé de la protection de témoin. Il doit protéger Ly Cullen qui travaille pour entreprise de fabrication d'armes. Elle découvre que cette dernière fait du traffic d'armes. Schwarzenegger est charismatique, un toujours dans l'humour au second degrés, un peu moins le colosse indestructible comme on a pu voir dans Commando. On a de bonnes scènes d'action avec un James Caan magistral. On notera la présence de James Coburn , pour un petit rôle. Action, fusillade et trahison sont au rendez vous. Un bon divertissement efficace
L'effaceur n'est ni plus ni moins qu'un film d'action comme on les aime. Le scénario tient sur une feuille de papier toilette mais le rythme est suffisamment réussi et le personnage de Schwarzenegger qui tient le rôle d'un marshal chargé de protéger des témoins est intéressant. De fait, le film bascule lorsque celui-ci doit protéger une jeune femme prise dans une affaire impliquant de hauts responsables du gouvernement. De nombreuses scènes feront rires mais voilà on aime Schwarzenegger pour ce genre de rôle. Bref : un film à ne pas effacer de sa filmothèque.
«L'effaceur» est un film d'action typique des années 90, avec un Schwarzenegger en pleine forme. Au menu, des scènes d'action dantesque en nombre, des gros flingues, de l'altitude, un James Caan en salopard fini… Bon film qui, cela dit, n'est pas le meilleur dans le genre et dans son époque.
« L'effaceur » est un « pop corn movie » bête et sans envergure, comme il s'en tournait malheureusement à la pelle dans le Hollywood des années 90. On peut toujours trouver un plaisir (largement coupable) au visionnage de cette avalanche de scènes d'action sans âme, mais il faut reconnaître que l'ensemble a mal vieilli et manque vraiment trop de subtilité pour convaincre. Arnold Schwartzenegger, monolithique à souhait, court dans tous les sens en distribuant moult baffes à des méchants imbéciles qui n'ont pas une once de charisme et qui tirent comme des pieds. Du coup, involontairement drôle, il perd toute crédibilité... à l'instar de cette intrigue bidon qui sert de trame à un film lourdingue. Le résultat est totalement rédhibitoire, fuyez !
Film d'action. Que dire de plus ... il y a de l'action. On ne s'ennuie pas, mais c'est simpliste et sans surprise : Terminator-Schwarzenegger est super fort et super efficace. De l'humour dans ce film ... ? Il y en a un peu (vers la fin) ; mais cet assaisonnement de dernières minutes dénote avec le reste du scénario.
Scénario inintéressant et déjà vu 100x. Scènes d'action et de fusillade lassante. Trucage bas de gamme (les crocodiles, la scène en parachute). Si jamais vous n'êtes pas fan de Schwarzy ça sera dur d'en arriver au bout ! Comme ce n'est pas mon cas et que j'ai débranché mon cerveau durant le visionnage, ca reste regardable.
Un film d'action avec tous les codes et clichés des années 80-90. Le résultat est donc assez drôle aujourd'hui avec un soupçon de mal-vieillissement. John Krugger est un marshal chargé de faire mettre à l'abri les témoins protégés et de s'occuper de leur protection. Il doit protéger le docteur Lee Cullen, qui a découvert que ses employeurs s'apprêtaient à vendre des armes terriblement puissantes à des trafiquants... La réalisation est très banale: la mise en scène laisse un peu à désirer, le cadrage est simple, les prises de vues sans grande originalité, les mouvements fluides et la profondeur de champ est agréable. Le scénario, lui aussi, est très banal: le héros fort et viril qui va massacrer des méchants très méchants dans des séquences d'actions explosives. Ces dernières fonctionnent encore assez bien et sont le point fort du film. On ne s'ennuie pas, le rythme est bon, on se laisse entraîner dans tout ce déluge de testostérone. Mais comme souvent dans ces films, il y a des clichés vraiment débiles et de très très grosses incohérences. Les acteurs ne sont pas très crédibles sans pour autant surjouer. Les personnages ne sont pas vraiment attachants et certains très stéréotypés. Les dialogues sont constitués de punch-lines assez bêtes mais savoureuses. La photographie n'est pas très bonne: la lumière aurait mérité d'être mieux travaillée (la nuit américaine est assez faible) et les couleurs ne sont pas géniales. Le montage est basique mais bien rythmé. Les décors sont un peu pauvres, les costumes plutôt bien réussis, les effets spéciaux ont vieilli et la musique n'est pas marquante. "L'Effaceur" est un film d'action efficace, mais pas un grand film.
Sorti en août 1996 en France, "L'effaceur" était déjà dépassé. Le film méta "Last Action Hero" était sorti trois ans auparavant et le cinéma d'action 80s devenait ringard à côté des films clinquants de Michael Bay. Ne boudons pas notre plaisir régressif: on kiffe voir Schwarzenegger buter des bad guys avec explosions et cascades improbables. Mais le film vieillit mal, l'intrigue est bateau, un poil trop long, spectaculaire et c'est tout.
Voici donc le dernier film à succès d'Arnold Schwarzenegger avant sa longue et progressive chute au box-office. « L'effaceur », c'est l'archétype de l'action movie broyé par la machine hollywoodienne et qui n'a qu'un seul et unique but : en foutre plein la vue. Le problème, c'est qu'un film d'action qui en fout plein la vue n'est pas forcément un bon film. Il vaut mieux éviter les temps morts. Malheureusement, dans le cas présent, les temps morts ne manquent pas. On s'ennuie quand même pas mal. C'est simple, à part la scène d'introduction et celle se déroulant dans la maison de la gonzesse à protéger, les cinquante premières minutes ne proposent rien. Il faut attendre quasi l'heure de film pour que ça commence à se remuer. Et l'on débouche sur cette séquence spoiler: de l'avion improbable mais foutrement spectaculaire et remarquablement filmée. Ensuite, ça retombe un petit moment et l'on débouche sur cette scène spoiler: du zoo avec les alligators . Et encore une fois, on se tape des temps morts. Et l'on arrive à la fin, toujours bien mise en scène, mais qui n'envoie pas tellement le pâté en croûte, même si voir notre pote Schwarzy pulvériser du blaireau avec un railgun dans chaque pogne a quelque chose de jouissif. D'ailleurs, le roc autrichien est fidèle à ce qu'il sait faire et donne de sa personne. Mais cet « Effaceur » est un film bien trop irrégulier. Ça ne pardonne pas.
L'Effaceur est le film qui marque vraiment le début de la traversée du désert cinématographique pour Schwarzy. Si l'idée de base est bonne, elle est très mal exploité. Les scénaristes devaient avoir huit ans car les dialogues sont pauvres et vraiment nuls. La direction est acteurs est minables. Même le pauvre James Caan fait un très piètre et fade méchant?
L'EFFACEUR suinte les années 90 par toutes les scènes. D'abord il y a Arnold, presque caricatural dans le rôle du grand gentil sans peur et sans reproche toujours sérieux, ensuite, il y a le scénario simple mais efficace avec tout ce qu'il faut comme clichés tels que la jolie fille à secourir, le vilain traître, les méchants vraiment méchants avec des hommes de main jetables... le tout saupoudré d'action énergique et de punch line qui ... manquent de punch justement. Le film n'a pas de défauts majeurs ni l'ambition d'être un chef-d'œuvre. Il se laisse regarder et se laisse presque aussitôt oublier. spoiler: Méfiez-vous cependant des crocodiles!
Un film d’action typique des années 90 avec tous les ingrédients du genre agencés plus ou mois maladroitement. Dans celui-ci, le brave Arnold va devoir protéger une donzelle ayant découvert que ses vilains patrons faisaient dans le trafic d’armes. Le héros solitaire va donc voler efficacement au secours de la demoiselle en détresse le long d’une série de séquences toutes plus abracadabrantesques les unes que les autres, tout en débitant ses punchlines.
Très bon film d'action sans fioriture, avec un scénario efficace. Je ne comprends la note finale si basse, certes ce n'est pas un film d'auteur mais si on veut déconnecter son cerveau pour une soirée ciné "l'effaceur" rempli la mission haut la main.