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Akamaru
3 092 abonnés
4 339 critiques
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1,0
Publiée le 18 mars 2011
Paradoxalement,les films d'action d'Arnold Schwarzenegger dans les années 90,ont moins bien vieillis que ceux de la décennie précédente(excepté "True Lies")."L'Effaceur"(1996)en est l'illustration parfaite.A un scénario complètement invraisemblable,avec en toile de fond prétexte une vente d'armes projectiles d'agents ripoux à l'ennemi communiste,se répond des scènes d'action cheap et has-been.Comment qualifier autrement un saut en chute libre qui ne fait pas réel une seconde,ou des crocodiles échappés d'un zoo,plus mal numérisés que jamais?Malgré tout,on peut y éprouver du plaisir coupable au long de fusillades incessantes efficaces et de castagnes enlevées.Schwarzy fait dans sa routine habituelle,sans déserrer les dents,et on voit bien qu'il est fréquemment doublé pour les cascades.James Caan cachetonne en méchant grandiloquent,et James Coburn ne fait qu'une apparition symbolique.Crétin et mal truqué,ce film n'a que 15 ans,mais en paraît 30 dans l'esprit.
Un film d'action efficace et bien mené. Bon scénario sur l'histoire d'un trafic de disquettes avec la mafia Russe. Le nettoyeur Swartzy est obligé d'intervenir pour mettre de l'ordre là dedans. Du suspense , des bagarres, un film d'aventure pour passer le temps.
« L'effaceur » est un « pop corn movie » bête et sans envergure, comme il s'en tournait malheureusement à la pelle dans le Hollywood des années 90. On peut toujours trouver un plaisir (largement coupable) au visionnage de cette avalanche de scènes d'action sans âme, mais il faut reconnaître que l'ensemble a mal vieilli et manque vraiment trop de subtilité pour convaincre. Arnold Schwartzenegger, monolithique à souhait, court dans tous les sens en distribuant moult baffes à des méchants imbéciles qui n'ont pas une once de charisme et qui tirent comme des pieds. Du coup, involontairement drôle, il perd toute crédibilité... à l'instar de cette intrigue bidon qui sert de trame à un film lourdingue. Le résultat est totalement rédhibitoire, fuyez !
Voici donc le dernier film à succès d'Arnold Schwarzenegger avant sa longue et progressive chute au box-office. « L'effaceur », c'est l'archétype de l'action movie broyé par la machine hollywoodienne et qui n'a qu'un seul et unique but : en foutre plein la vue. Le problème, c'est qu'un film d'action qui en fout plein la vue n'est pas forcément un bon film. Il vaut mieux éviter les temps morts. Malheureusement, dans le cas présent, les temps morts ne manquent pas. On s'ennuie quand même pas mal. C'est simple, à part la scène d'introduction et celle se déroulant dans la maison de la gonzesse à protéger, les cinquante premières minutes ne proposent rien. Il faut attendre quasi l'heure de film pour que ça commence à se remuer. Et l'on débouche sur cette séquence spoiler: de l'avion improbable mais foutrement spectaculaire et remarquablement filmée. Ensuite, ça retombe un petit moment et l'on débouche sur cette scène spoiler: du zoo avec les alligators . Et encore une fois, on se tape des temps morts. Et l'on arrive à la fin, toujours bien mise en scène, mais qui n'envoie pas tellement le pâté en croûte, même si voir notre pote Schwarzy pulvériser du blaireau avec un railgun dans chaque pogne a quelque chose de jouissif. D'ailleurs, le roc autrichien est fidèle à ce qu'il sait faire et donne de sa personne. Mais cet « Effaceur » est un film bien trop irrégulier. Ça ne pardonne pas.
Mettre en scène Shwarzy, c'est devenu "faire un film d'action qui ait de la classe et des moyens et des armes et de l'action, et pis si on pousse ça au ridicule". Ridicule, ce film l'est de certaines scènes désastreuses. N'oublions pas le trait d'esprit balourd et devenu un standard signé Arnold pour conclure.
Un bon gros film bourrin, porté par un Arnold Schwarzenegger tout en muscles et en munitions. Un scénario bien ficelé (mais prévisible), de l’actions, des explosions, des gun-fight, bref, un film d’action qui divertit sans le moindre problème et ce, sans faire travailler vos neurones, que demander de plus ? Chuck Russell, le réalisateur du cultissime The Blob (1988) offre là l’un des plus célèbre rôle à Arnold Schwarzenegger, celui de « l’effaceur » ! Un rôle qui lui va à la perfection, surtout après avoir incarné Terminator trois ans plus tôt.
Un film d'action efficace qui ne perd pas son temps à chercher la vraisemblance pour aller droit au but : l'action, l'action et encore l'action. Le scénario n'est qu'un prétexte mais le film a quand même la qualité de ne pas trop se prendre au sérieux ce qui assure de bons moments entre pure adrénaline et pure marrade (la scène avec les crocodiles). Et puis voir James Caan cabotiner en méchant, ça ne se refuse pas.
On ne peut pas trop épiloguer sur ce genre de films, où Charles Russell, réalisateur du déjanté "The mask" rempli à merveille son contrat des charges, action, violence, cascades et héros au grand coeur. Faut avouer que cela fait bizarre de savoir notre Arnold Schwarzenegger, castagneur et défenseur de la veuve et de l'orphelin botter le cul des ennemies de la nation, jouer ses rôles alors qu'actuellement (en 2005), il ait dans la peau du gouverneur de la Californie avec à la clé de très grandes resposabilités (Il ya qu'aux USA que l'on peut voir ça lol). Sinon pour en revenir à "L'effaceur", l'histoire de départ, parlant des témoins que l'on cache, dérive rapidement en un film d'action totalement prévisible mais regorgeant de suffisemment de scènes explosives pour passer un agréable moment de divertissement...
Typique des action movie des années 90, "L’Effaceur" emmené par un Arnold Schwarzenegger qui ne desserre toujours pas les dents met en scène un marshal chargé de la protection des témoins qui va se retrouver accusé de haute trahison contre le gouvernement américain. Un pitch haut en couleur mais qui cache un scénario bien creux et cousu de fil blanc. Heureusement les scènes d’action sont nombreuses et des plus spectaculaires que ce soit dans les airs ou dans un zoo les scénaristes regorge d’imagination mais le plus souvent les cascades sont mal orchestrées tout comme les effets-spéciaux pas toujours crédibles cependant cela fait également parti du charme de ce genre de films. Au casting James Caan est impeccable en ripoux dénué de moralité tout comme le regretté James Coburn qui fait une apparition presque clin d’œil. Vanessa Williams quant à elle incarne le dispensable témoin qui se retrouve mêlé à tout ça. Si on est pas trop regardant le film de Chuck Russell est une série B qui se laisse facilement regarder.
Ca vieillit certes mais ca n'en reste pas moins un Trés bon film d'action avec un "méchant" plus que convainquant ! De l'action pure et dure qui fonctionne bien.
Symbole de la consommation cinématographique de masse, le produit que nous propose sur les étalages Chuck Russell est très représentatif d'un cinéma qui ne revendique que le divertissement pur et dur, sans le scrupule de nous assommer par la bêtise, portant dignement le mérite d'être franc avec son entourage. Il n'y a donc pas de surprise à voir Arnold Schwarzenegger en très grand forme, fusillant à la mitraillette dix hommes à la seconde, résistant aux pieux et aux métaux enfoncés dans son corps; véritable surhomme, John Kruger est une sorte de bulldozer qui détruit tout sur son passage. On vous aura prévenu. Mais l'ensemble ne serait pas aussi croustillant sans une bonne conspiration politique qui se doit de jouer un rôle majeur pour crédibiliser ce carnaval de bruit. Bref, la séance n'est pas à prendre au premier degré, sous peine d'être scandalisé par tant d'absurdité, mais comme une récréation qui nous éloigne de toute pensée intellectuelle pour un film qui n'a décidément rien à dire. Reconnaissons-le, les scènes d'actions sont époustouflantes et la charpente scénaristique est assez solide pour éviter trop d'invraisemblances, un problème qui nuit aussi au plaisir que l'on prend dans ce genre de blockbuster. Ainsi, Eraser s'adresse à une population peu exigeante, ne cherchant rien d'autre que l'évasion par l'action et les effets spéciaux. Les autres, car cela reste regardable, pourront trouver dans ce long-métrage un objet de bonne facture si on le considère dans la description que nous avons fait auparavant. Enfin, admettons que L'Effaceur est tout à fait efficace et qu'il séduira un bonne partie de la population visée. Certes, nous n'avons pas affaire à du grand art, bien que définir une notion telle qu'elle n'est pas aussi évidente et si simple. Il n'y a ni mensonges, ni même de surprises; on voit ce qu'on s'attendait à voir et tout est programmé dans les règles habituelles, millimétré comme une horloge suisse. Pour les amateurs de pop-corns.
un SCHWARZZENEGGER de bon niveau, ce n'est certes pas son meilleur film mais il est très à l'aise dans ce role de protecteur de témoin. On suit le film sans ennuis, même si certains passages sont très voir trop gros
Du bon gros "action movie" garantie 0% cervelle mais 100 % muscle où le futur gouvernator nous rejoue ce qui a fait sa gloire même si question réalisation on est trés loin d'un McTiernan ou d'un Cameron. Il n'empêche que le divertissement s'assume et que 2-3 scènes d'actions sont franchement fun même si le scènario et les dialogues ont dû être écrit en 2 jours. On retrouve aussi un casting sympathique avec l'immense James Coburn et un James Caan cabotin qui en fait des tonnes comme tout méchant de série b bourrines.