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vivaBFG
13 abonnés
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3,0
Publiée le 1 janvier 2021
C'est un peu long à démarrer, certaines scènes font trainer en longueur mais paraissent nécessaire pour montrer le système d'approche. La fin est plutôt réussi mais pas très "juste". A voir par les amateurs de comédie teintées de policier
"La Panthère rose" est une formidable comédie de situation qui permet à Peter Sellers, pourtant moins présent à l'écran que David Niven, de faire le spectacle grâce à son incroyable sens du timing. Blake Edwards nous livre aussi quelques scènes d'anthologie et dans l'ensemble, signe une réalisation élégante, le tout accompagné de la légendaire musique d'Henry Mancini. Un must de la comédie!!
« La Panthère Rose », premier film de la célèbre et longue franchise, est devenu un classique de la comédie américaine au même titre que « The party ». Mais force est de constater que tout ne repose finalement que sur les épaules de Peter Sellers, formidable de maladresse et sur les gags bien cocasses et bien huilés qui se succèdent (les deux gorilles qui se font face, la course-poursuite des différentes automobiles ou encore la magnifique madame Clouseau, obligée de « jongler » avec trois hommes dans sa chambre…). Pour le reste, l’ensemble a un peu vieilli, il n’y a pas vraiment de scénario et certaines longueur viennent ternir l’ensemble (cf. la scène entre le séduisant David Niven et la sublime Claudia Cardinale en train de boire du champagne pendant une éternité !). Bref, si le rythme est inégal, on rit tout de même pas mal et de bon cœur devant ce spectacle très « sixties » tout à fait plaisant !
Excellent film burlesque, cette comédie policière possède en effet de nombreux atouts à son actif. D'une part, nous avons le droit à une interprétation vraiment rigolote de la part du casting, l'histoire est très bien écrite, les dialogues sont drôles et la musique d'Henry Mancini est rester gravée dans les mémoires. A noter également la présence d'un générique culte et qui donnera naissance à de très jolies dessins animés.
La Panthère Rose est un monument de la comédie à côté duquel je suis passé. L'humour reposant en grande partie sur son personnage principal ne m'a pas vraiment séduit. Le personnage de Clouzot ne m'a pas du tout emballé. La caricature du Français est vraiment cliché. Je ne comprends pas d'ailleurs la nécessité d'avoir fait de ce personnage un Français. J'ai trouvé que beaucoup de ses clowneries ont bien mal vieilli (d'ailleurs la version plus récente avec Steve Martin reprenant ce type de gag fera un bide complet). Toutefois, il y a quelques scènes qui marchent plutôt bien, surtout celles dignes de comédie de boulevard : celle où plusieurs amants sont cachés dans la chambre ou celle des gorilles cambrioleurs. Cette dernière scène est d'ailleurs très bien filmée.spoiler:
Le final est plutôt drôle (Clouzot inculpé pour être la Panthère Rose).
Peter Sellers est très convaincant en Clouzot (dommage que son personnage ne m'ait pas plu). David Niven est parfait en gentlemen séducteur, on ne peut mieux caster pour ce rôle. Claudia Cardinale est impeccable dans le rôle de la princesse Dala. La musique d'Henry Mancini (comment ne pas en parler) a immortalisé ce film : extrêmement smooth et lancinante. Le générique du film est lui aussi mémorable. Mais au-delà de certaines vertus, j'ai trouvé le ton du film bien vieux.
"La panthère rose, est un personnage de dessin animé à l'allure dégingandée et au tempérament lunaire, provoquant des mini catastrophes en série sur une musique jazzy signée Henry Mancini (The Pink Panther Theme)". Voilà certainement la réponse faite par ceux nés avant 1970 à qui l'on poserait la question des origines de la couleur bizarre accolée à un félin surtout réputé pour la noirceur de son pelage. La petite panthère, vedette de plus de 120 courts dessins animés est en réalité apparue pour la première fois dans le générique d'une comédie éponyme de Blake Edwards sortie sur les écrans en 1963. Ce drôle de personnage marqua tellement les esprits à l'époque que vint rapidement l'idée de lui inventer un destin autonome. Dans le film de Blake Edwards, la Panthère rose est en réalité un précieux diamant dont a hérité la princesse Dala (Claudia Cardinale) fille d'un Maharajah que convoite "Le Fantôme", sorte de nouvel Arsène Lupin qui s'avère être un playboy anglais interprété par le flegmatique David Niven. Le scénario écrit en commun par Blake Edwards et Maurice Richlin, une fois le décor planté, transporte l'action dans la station de skis huppée de Cortina d'Ampezzo où va démarrer un jeu du chat et de la souris paresseusement nonsensique, jouant essentiellement sur des retournements téléphonés et des quiproquos éventés. Le huis clos de l'hôtel n'aère malheureusement en rien le traitement du sujet. Indigeste en raison de son manque de rythme pour le jeune public du XXIème siècle, le film malgré ou peut-être grâce à son air désuet dégage une sympathie que l'on ne saurait expliquer si ce n'est par la présence de l'acteur de second rôle anglais Peter Sellers incarnant l'inspecteur Clouzot qui bien qu'assez peu présent à l'écran se trouve bien malgré lui être le nœud gordien de l'intrigue, son épouse (Capucine) étant la complice et la maîtresse du "Fantôme" puis celle de son neveu (Robert Wagner) venu jouer les trouble-fête. Pas étonnant en revoyant le film que la petite panthère du générique qui n'est en fait que la copie animale de l'inspecteur Clouzot ait retenu toute l'attention. Par ricochet Peter Sellers deviendra dès "La panthère rose s'emmêle" entrepris un an plus tard une star mondiale prenant désormais le leadership de tous les épisodes de la série jusqu'à son décès en 1980 (il y aura sept suites de 1964 à 1993). Si "La panthère rose" demeure l'un des films emblématiques de la carrière touffue de Blake Edwards, il faut bien reconnaître que son talent ne s'est peut-être pas exprimé le mieux dans le domaine de la comédie loufoque auquel il doit sa popularité. "Le jour du vin et des roses" (1962) avec l'immense Jack Lemmon, "Victor, Victoria" (1982) avec la virevoltante Julie Andrews (épouse de Blake Edwards) et surtout "Deux hommes dans l'Ouest" western crépusculaire avec William Holden et Ryan O'Neal font penser que la réussite commerciale de Blake Edwards dans le genre de la comédie l'a peut-être empêché, tyrannie des studios oblige, de se réaliser pleinement dans un éclectisme débridé à la manière d'un Richard Fleischer ou d'un Robert Wise.
Soi disant une comédie incontournable. Oh, c'est vrai qu'elle l'est de par sa réputation et de par le succès qui fut le sien. Mais, cinématographiquement, ça n'est que de l'ennui et de la lourdeur. Les deux étant symbolisés par des scènes s'étirant monstrueusement en longueur. Le pompon revenant haut la main à cette scène ultra gonflante où David Niven fait son numéro de séduction à une Claudia Cardinale complètement pétée au champagne. Il faut attendre la toute fin pour que ça s'anime un peu. A l'aide de ce "ballet" automobile. Restent donc cette séquence mécanique et les maladresses de Peter Sellers. Ce qui est bien trop maigre pour un film avoisinant les deux heures.
Il ne se passe pas grand chose de spécial dans cette comédie, la publicité autour de la célèbre mascotte rose qui chamboule les noms. Une panthère animée pour commencer à lever le rideau du théâtre afin de présenter cet inspecteur de la police française joué par un acteur anglais. C'est longuet, ennuyeux, de la maladresse, du vaudeville de cocu, des révélations d’une association de malfaiteur, oncle et maîtresse, l’intrus neveu vient faire la surprise en champagne. Tous à la pourchasse d’un trésor inestimable, pas n’importe lequel, un bijou de famille indienne diamanté appartenant à une princesse italienne habillée en Yves Saint Laurent. C’est moyen, pas très classe, les blagues miroirs sont asymétriques, l’amoralisme de l’histoire laisse filer la cible voleur fantôme entre les doigts. Un malchanceux traînant le boulet au tribunal en complément case prison, comme ça avait bien débuté, « la panthère rose » clôt le festival nominal en baissant le store théâtral.
Après un générique malicieux qui laisse présager une entrée en matière virevoltante, "La Panthère Rose" commence finalement sur un rythme tranquille, présente de manière classique ses personnages en faisant oublier le cœur de l'action : le vol d'un précieux diamant. Sans être désagréable, la première heure du film, construite comme un long moment d'observation, manque d'énergie et de moments forts, au point où l'on se demande parfois si c'est bien Blake Edwards qui est aux commandes. Interrogation évacuée lors d'une seconde partie tonitruante qui lâche les chevaux, plaçant le génial Peter Sellers au centre de la scène, ce dernier orchestrant malgré lui des situations hilarantes. Le comique de situation repose sur la maladresse inouïe de l'inspecteur Clouseau, capable de provoquer un incident par un geste anodin et de contrecarrer le plan des voleurs alors qu'il est dépassé par l'enquête qu'il mène. Sellers joue avec brio cette catastrophe ambulante qui sème la panique lors d'une séquence d'anthologie dans une chambre d'hôtel, puis dans la résidence de la princesse Dala (Claudia Cardinale) où éclate un imprévu feu d'artifices. Ainsi, "La Panthère Rose" fait résonner le calme avant la tempête, l'élégance avant le délire, les mots avant les actes et déploie un élan jubilatoire qui atteint son paroxysme lors de la scène des gorilles, à pleurer de rire.
Un chef d'oeuvre de Blake Edwards. Peter Sellers incarne l'inspecteur Clouseau à la recherche d'un diamant appelé "la panthère rose". En plus , il y a l'atrice française Claudia Cardinale dans le rôle de l'altesse. David Niven et Robert Wagnérien, de très bons acteurs.
Ce film réalisé par Blake Edwards et sorti en 1963 m'en avait laissé un meilleur souvenir les dernières fois où je l'ai vu. Ce n'est pas que cette fois, il me déçoit mais je ne le trouve plus si extraordinaire que ça. C'est l'histoire d'un inspecteur gaffeur dénommé Jacques Clouseau qui est chargé de protéger le diamant "La Panthère Rose" du grand cambrioleur connu sous le nom du "Fantôme" que Clouseau poursuit depuis des années. Le scénario est plutôt original et il possède de très bonnes choses et surtout de très bons gags mais malheureusement pas assez à mon goût. Le rythme n'est pas très bon, il y a quelques passages un peu longuet et on sent que le film se traîne quelques fois, il aurais pu être mieux rythmé par plus de scènes drôles même si, encore une fois, il y a des très bons gags et de très bonnes scènes où on se marre bien. Le film est aussi connu pour son célèbre thème musical un peu jazzy très intéressant et on oublie souvent que c'est ce film qui a lancé le dessin animée mettant en scène la panthère rose que l'on voit dans le générique. Du côté des acteurs, c'est une très bonne idée que d'avoir choisi Peter Sellers pour y interprété l'inspecteur Clouseau car ce rôle lui va tout simplement comme un gant, il le joue à la perfection. Nous avons également le charismatique Davis Niven dans le rôle de Charles Lytton où il joue également très bien et Capucine qui y interprète très bien la femme spoiler: manipulatrice de Clouseau. "La Panthère Rose" est donc un bon film qui n'en est pas extraordinaire mais qui reste tout de même très sympa et qui nous permet de passer une bonne soirée.
Voici une agréable comédie policière des années 60 de Blake Edwards, considérée à juste titre comme un classique. Un gentleman cambrioleur (David Niven), surnommé le Phantom, dépouille les riches personnalités de la jetset. Il décide de s'en prendre au diamant le plus célèbre du monde, la Panthère Rose, propriété de Dala,une princesse orientale (Claudia Cardinale). L'inspecteur Clouseau (Peter Sellers) est envoyé en renfort pour protéger la belle princesse en villégiature dans une station de sports d'hiver italienne, accompagné de sa femme (Capucine), qui n'est autre que la complice et la maîtresse du Phantom. La présence inopinée du neveu du Phantom (Robert Wagner) va encore compliquer la tâche du cambrioleur. Cette intrigue donne lieu a beaucoup de péripéties, de gags et de rebondissements. Pour ma part, pas très fan de Sellers, je trouve certains gags un peu lourds et répétitifs, plutôt nuisibles au déroulement de l'action. En revanche, David Niven et Capucine s'en tirent fort bien, ainsi que Claudia Cardinale. On retiendra quelques scènes célèbres, comme celle des deux gorilles ou la poursuite en voiture à la fin du film. La musique entraînante signée Henry Mancini est célébrissime et inséparable du film. En résumé la Panthère Rose est une comédie policière très drôle et bien interprétée devenue un classique incontournable pour tout cinéphile qui se respecte. C'est un film que j'aime beaucoup et que je me repasse une fois par an pour son ambiance sympathique et un peu nostalgique. Certains cependant pourront rester dubitatifs ...
Excellente et agréable comédie policière de 1963 réalisé par le cinéaste doué Blake Edwards !! Film que je n'avais pas revu depuis tout petit qui compte pas mal de suites, "La panthère rose" démarre par un générique animé avec une panthère qui s'interpose devant les noms d'un casting royal, je pensais que l'inspecteur Clouseau était la seule attractivité de ce long métrage par ses gaffes mais c'est plus un film choral réunissant plusieurs personnages énigmatiques les un les autres. "La panthère rose" est en faite un diamant de valeur d'une comtesse et l'histoire se passe dans une station de ski en hiver ou pas mal de personnes veulent voler cette objet et le plan est bien monté. C'est drole, c'est intriguant, on passe un bon moment devant une bonne réalisation de Blake Edwards, le scénario est malin et la musique est archi connue pour plusieurs générations. Le casting est exceptionnel comprenant Peter Sellers, David Niven, Capucine, Claudia Cardinale ou Robert Wagner entre autres. Amis cinéphiles, à vos classiques.
Énorme déception ! On m'en avait dit tellement de bien...
Comme dans toute comédie c'est un défaut de rythme avant tout : trop long , trop lent , limite statique avec des scènes qui s'étirent à l'infini & qui finissent par lasser du vaudeville de luxe par moment mais du vaudeville quand même Alors oui la distribution est hallucinante mais le charme ne fait pas tout & 2 gags (qui se répondent! Clouzot les mains dans la bière puis le porridge)n'ont pu sauver l'ennui profond que j'ai ressenti pendant ces 2 très longues heures