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    Assaut
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    153 critiques spectateurs

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    clarence bodicker
    clarence bodicker

    6 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2011
    Quand on est souvent déçu des derniers films de Maîtres encore en activités, on se replonge dans ce qui a fait leur gloires... et c'est souvent qu'on se dit que ça a mal vieilli mais qu'avec une poignée de dollars les mecs arrivaient à faire rêver ou effrayer pendant des décennies, pour Assault en tout cas version restaurée et remasterisée c'est un must et quel plaisir de retrouver les thèmes si chers de Carpenter : l'indicible, l'inconnue, le mal à l'état brut et l'ambiance... Là où on apprend que les gangs se servent de silencieux et ramassent les corps en se déplaçant en parfaite synchronisation, perso moi je vois ça pour de vrais....je meurs! Le film a mieux vieilli que new york 1997 ou Fog, la mise en place est parfaite, les rebondissements aussi. Ok pour les fringues, les morts parfois un peu d'amateurisme par ci par là, les acteurs sont bons, le héros black (1976 je vous le rappelle) joue très juste dommage jamais revu et l'ennemi public a tout d'un dean martin de Rio Bravo. Rien à dire Bravo John!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Après le bide de Dark Star John Carpenter réalise ce remake de Rio Bravo et invente le western urbain, tourné avec 2 balles 50 Assaut va pourtant devenir un chef d'oeuvre absolu du cinéma avec une atmosphère pesante et des personnages intéressants dont l'originalité est que Carpenter ne perd pas son temps à les développer mais on découvre justement leur personnalité pendant qu'ils se font attaquer. Le tout avec un sens hallucinant de la mise en scène ce qui est la principale qualité de ce film, mais en plus Carpenter a la bonne idée de ne jamais dévoiler pourquoi le comissariat est attaqué. Un chef d'oeuvre, le premier d'une longue série de John Carpenter.
    JeremGar
    JeremGar

    93 abonnés 1 568 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2008
    un commissariat sur le point d'être délogé est assiégé par de nombreux "truands". A l'intérieur il y a 3 prisonniers, des fonctionnaires et un civil. Débute alors un combat où chacun restera sur sa position. Un excellent film de John Carpenter, un très bon scénario et une excellente mise en scène, de plus la bande son est parfaite! à voir d'urgence!
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    88 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2012
    Dans un commissariat pris d’assaut par une bande de malfrat, policiers et détenus sont obligés de coopérer pour survivre. Ce remake moderne de Rio Bravo marque les esprits par sa tension omniprésente. La bande son stressante et la mise en scène sans concession compensent largement le manque de moyen. Avec le recul, il saute aux yeux que beaucoup de films modernes se sont inspirés de ce huis-clos pour instaurer un suspense haletant.
    Pascal
    Pascal

    158 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2021
    J 'avais vu ce film grand public, lors de sa premiere sortie en salle. Il venait sur les écrans en France avec une bonne réputation de la part de la critique et avait obtenu un grand succès aux Usa. Je dois reconnaître qu'à l'époque, j'avais trouvé ce film un peu survendu, même si je l'avais plutôt aimé. Il est intéressant de noter que la postérité à été favorable à John Carpenter, dont le statut est aujourd'hui celui d'un réalisateur particulièrement remarquable. Et c'est mérité. Je viens de revoir ce film en salle, quarante cinq ans après l'avoir découvert et je dois reconnaître qu'il est excellent et bien supérieur au souvenir qu'il m'avait laissé. Ce qui frappe c'est le résultat auquel il parvient avec une telle économie de moyen. Il y a certes des dialogues bien ciselés, les acteurs, dont aucun n 'a eu une grande carrière, sont tous excellents et leur direction est au cordeau. Toutefois n'exagérons rien, Assault est un film de genre et n'est pas un chef-d'oeuvre. Mais dans sa catégorie, c'est un modèle. Assault , aujourd'hui ,sous nos latitudes, prend des allures de contemporanéité. C'est sans doute ce qui constitue un autre aspect de son charme : son côté prédictif. Je n'ai pas vu l'ensemble de la filmographie de Carpenter ( j'en ai vu une grande partie), mais Assault me semble être est un des meilleurs films de ce réalisateur. A voir sans réserve
    peypino
    peypino

    48 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2011
    le cinéma de Carpenter est souvent précurseur, c'est le cas avec Assaut.
    Le film a vieilli mais n' a rien a envié a certaine production actuelles qui font moins bien avec pourtant plus de moyens. Et puis il' a cette ambiance si particuliere la musique les décors du bon gros divertissement ! culte come dirait l'autre
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    23 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2024
    Un scenario un peu classique, mais un réel suspense. Le rapport entre le flic et le truant condamné à mort à déjà était vu, mais là il est plutôt bien utilisé. On ne peut nier le plaisir à regarder ce film. Carpenter est un réalisateur plutôt efficace.
    Ryce753
    Ryce753

    21 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 décembre 2013
    Véritable film culte des années 70, "Assaut" de John Carpenter est un film que j'ai vu de nombreuses fois et que j'apprécie particulièrement. J'admets que le métrage est loin d'être parfait, avec quelques invraisemblances, une fin un peu ratée et des acteurs pas toujours crédibles et assez plats en ce qui concerne leurs réactions face à l'assaut du commissariat par tous ces voyous qui se multiplient comme des mouches autour d'un étron de cheval. Mais la musique géniale aux synthétiseurs, l'ambiance, les décors glauques ainsi que l'atmosphère claustrophobe de ce poste de police à l'abandon et la scène du marchand de glace sont des éléments qui font de ce film un classique d'action et de suspens des seventies.
    Matis H.
    Matis H.

    20 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 janvier 2018
    "Assault on Precinct 13" est à la fois un tribut cinéphilique vivant, et une œuvre décisive pour le cinéaste. L'héritage du western, notamment Hawks, est une évidence - la structure en reprenant tous les codes au sein d'un contexte contemporain - là où le personnage principal semble être un echo direct de "La Nuit des morts-vivants" de Romero.

    Mais, non content de s'approprier pleinement ses références, tout ce qui fait la singularité du cinéma de Carpenter s'articule ici avec maestria. Ainsi, la représentation du Mal préfigure celle de Michael Myers, dans un processus de déshumanisation passionnant car radical. Le gang passe de groupe aux rituels mystiques (scarifications, vœu de sang, drapeau etc.) à une masse de silhouettes anonyme, excluant une menace tangible et physique (allant même jusqu'à faire tirer le gang avec des silencieux) au profit du Mal comme mise à l'épreuve de l'Humanité.

    Il est alors logique, dans une œuvre qui traite l'affrontement non pas comme une recherche de spectaculaire, mais bien comme une nécessité narrative et thématique, de caractériser les protagonistes par leurs choix dans l'action. La mise en scène les icônise, mais en fait surtout des personnages complexes, que la mise en scène et le montage traite sur un pied d'égalité (stupéfiante alternance de coups de feu, dont l'accélération du montage traduit la cohésion naissante du groupe). Carpenter met en scène des héros, et non pas des figures héroïques.

    "Assault on Precinct 13" est un grand film scénographique, dont l'attention portée à la mise en scène de l'espace est capitale, aidée par un minimalisme, narratif et formel, qui crée un ensemble aussi réflexif que percutant. Le cinéaste oppose une représentation radicale du Mal, à un groupe de héros venant tout droit du cinéma classique et ce avec un premier degré nécessaire.
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    151 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 octobre 2007
    Pour son second long-métrage, le cinéaste (à l'époque tout jeune) John Carpenter réalisait "Assaut", oeuvre culte du cinéma d'action, brillante variation de classiques plus ou moins cités (essentiellement "Rio Bravo"). Produit avec des moyens dérisoires, il s'agit en fait d'une pure série B comme on en produisait dans les années 70, c'est-à-dire marquées d'une évidente et abondante cinéphilie, d'un ton ouvert et libre mais surtout reflets souvent métaphoriques des travers d'une société en pleine crise. Autrement dit, "Big" John, amoureux du Western, se charge de construire un univers décalé à partir de ce qu'il aime, privilégiant la relation frontale avec le spectateur sans ommettre de distiller plusieurs niveaux de lecture assez fins pour subvenir aux envies des plus pointilleux. La narration va dans "Assaut" à l'encontre des clichés du genre : énumération de petites histoires d'apparence banales qui vont toutes se croiser par hasard en un lieu précis que jamais plus elles ne quitteront, soit dit un scénario à première vue très large se recentrant petit à petit dans un huis-clos haletant, aux frontières de l'épouvante. L'ambiance est parfaitement maîtrisée, Carpenter maniant savamment la tension et le suspense, s'amusant constamment avec nos nerfs mis à rude épreuve malgré des rebondissements un brin prévisibles. Plusieurs grosses séquences s'avèrent impeccablement dilatées, dans un état d'esprit jouissif, analysant le comportement de l'homme lorsqu'il est pris dans ses derniers retranchements. On reste cloué à son siège malgré des défauts ou facilités sautant aux yeux : l'interprétation est inégale, les rôles féminins très réducteurs (merci au passage les habits moulants-transparents !), certains effets trop appuyés ou une crédibilité un peu bancale... Ce n'est pas ce qu'il y a de plus important, Carpenter proposant avec dextérité une rencontre de plusieurs genres classiques avec humour et un sens du cadrage absolument fascinant.
    jamesluctor
    jamesluctor

    133 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2011
    John Carpenter se frotte à l'action pure dépouillée de tout fantastique. Et on constate agréablement que ça marche. Plutôt réaliste sur la longueur (seul petit détail un peu dommageable : les fusils qui se rechargent tout seul durant la seconde fusillade). Carpenter joue la logique, en nous faisant vivre le siège pendant une nuit d'un commissariat en déménagement. Là où le film de Carpenter est appréciable, c'est qu'il s'écarte de toute thématique raciste auxquelles on est habitué (dès qu'on parle de guerre de gangs, avec justement ici plusieurs ethnies qui sont rassemblées, on nous ressort des personnages racistes ou intolérents), et préfère s'intéresser au dilemme entraide/survie individuelle. Un choix assez pertinent, et qui fait de ce film, plus de 30 ans après sa sortie, un divertissement d'action de choix.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 juillet 2012
    Pour son deuxième film, que je considérerais comme un bon film d'un réalisateur qui à l'époque affichait un très gros potentiel, Carpenter utilisait déja des thèmes et des procédés qui seront alors récurrents tout au long de sa filmographie : on ressent déja sa volonté d'apporter une touche nihiliste à l'histoire et à ses personnages, et leurs psychologies primitives face à la mort. Ce qui sera développé d'ailleurs dans The Thing quelques années plus tard. Le huis clos également, et tout ces procédés très astucieux du hors champs, qui rendent l'atmosphère et la paranoïa de l'invisible et de l'inconnu très pesantes. Du côté de la mise en scène et du développement de l'histoire c'est vraiment très réussi. Mais ce qui foire parfois dans ce film, c'est l'incohérence de certains personnages, et notamment des gangsters. C'est très juste de faire allusion à un mode "zombie invasion", parce parfois on tombe vraiment dans le burlesque tant l'intelligence des gangsters frise le néant. Entre les types qui entrent par la fenêtre la tête la première, sans se soucier qu'en face t'as un flic qui pointe son flingue à bout portant, et d'autres qui se font dominer par une nana sans armes, y a de quoi rire... Enfin je sais pas si la dose de burlesque était volontaire mais ça tombe parfois dans le ridicule, et ça plombe un peu l'ambiance censée être lourde, du film. Sans parler aussi des quelques erreurs de montages qui montrent que le film a un peu vieilli et aurait mérité quelques retouches.
    Je fais la fine bouche, mais globalement c'est sympa et y a des trouvailles intéressantes au niveau des relations personnages principaux par exemple, qui sont assez subtiles et plutôt bien traitées pour un film purement d'action il faut dire (et qui ne dure qu'1h25). Pas le meilleur Carpenter, mais plaisant à voir.
    cylon86
    cylon86

    2 495 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 août 2016
    Pour sa deuxième réalisation, John Carpenter décide de ne pas faire les choses à moitié. Malgré un budget limité et un scénario de siège largement emprunté à "Rio Bravo" (film de Howard Hawks que Carpenter admire plus que tout), le cinéaste crée ici une véritable ambiance, créant une tension anxiogène au fur et à mesure qu'un gang (seulement des silhouettes dans la nuit) prend d'assaut un petit commissariat isolé dans lequel s'est réfugié un homme ayant abattu un de leurs membres. Le huis-clos force Carpenter à concentrer sa mise en scène sur l'essentiel : les relations entre les personnages, les balles qui fusent et la mort qui rôde. Le réalisateur maîtrise parfaitement l'espace et livre un découpage appliqué au sein d'une ambiance glaçante dans laquelle même une fillette n'est pas à l'abri des balles (dans une scène qu'on ne verrait plus aujourd'hui). C'est dans ce commissariat désuet menacé par l'inconnu au dehors que des liens se nouent entre policiers et prisonniers en transfert simplement venus faire un arrêt. L'occasion pour Carpenter de célébrer l'amitié masculine si chère à Hawks (entre un policier noir et un dangereux prisonnier nommé Napoleon) et de laisser aux femmes un rôle de poigne, le personnage incarné par Laurie Zimmer ayant un regard perçant et la détente facile. C'est donc dans toute sa simplicité que le film trouve son efficacité, bercé par une partition musicale entêtante composée par Carpenter en personne.
    Max Rss
    Max Rss

    196 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2019
    Dans un quartier difficile de Los Angeles. Une nuit. Un ancien commissariat de police est pris d’assaut par tout une horde de voyous sans foi ni lois. Les quelques occupants du bâtiment vont devoir lutter pour assurer leur survie. Pour sa deuxième réalisation et avec peu de moyens entre les mains, John Carpenter signe ce qui sera plus tard l’un des fleurons du cinéma d’action et qui inspirera bien d’autres productions. Je dis bien sera, car lors de sa sortie, le film fut accueilli, aussi bien par la presse que par les spectateurs avec une certaine réserve. Si « Assaut » a servi de chef de ligne et de modèle pour de futurs films, il est évident que lui aussi a été influencé. Notamment par deux classiques du cinéma: « Rio Bravo » et « La Nuit des morts-vivants ». En quoi Big John s’est-il inspiré du film d’Howard Hawks? En reprenant le concept de l’homme étant la cible d’une horde de tueurs. En quoi Big John s’est-il inspiré du film de George A. Romero? En faisant de son film un quasi huis-clos en mettant en scène des personnages confrontés à des adversaires qui n’ont aucune autre motivation que celle de tuer. Quoi d’autre? C’est un homme noir qui organise la résistance ! Un fait comme celui-là peut paraître anecdotique mais à l’époque (années 70) cela signifiait beaucoup. Pierre angulaire de la carrière de Carpenter, « Assaut » contient tout de mêmes quelques défauts: une interprétation qui ne tient pas toujours la route, quelques passages à vide pour ne citer que ceux-ci. Tout cela a vieilli (le manque de budget aidant) mais reste tout de même une série B plutôt bien troussée.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2021
    On peut considérer ‘Assaut’ comme le premier “véritable” film de John Carpenter, ‘Dark star’ n’ayant été, au mieux, qu’un projet de fin d’étude monté en graine, tourné rapidement et sans budget, sans acteurs professionnels, sans succès critique ou retour commercial immédiat. Western qui n’est déjà plus un western, et pas encore autre chose, ‘Assaut’ annonce le cinéma d’action des années 80 tout en déroutant le spectateur qui aurait grandi avec ce cinéma et ses successeurs, tout en démesure et en héroïsme mégalo. ‘Assaut’ n’impressionne et ne surprend jamais (sauf dans la scène où une fillette est abattue à bout portant, ce que Carpenter reconnaîtra plus tard comme une faute de goût), l’assaut n’est pas une apothéose : des coups de feu s’échangent, des gens tombent, la mort passe et repasse sur le commissariat, impassible et indifférent, à l’image du spectateur contemporain gavé d’images spectaculaires qui va probablement trouver le temps sacrément long. En terme de pur spectacle, ‘Assaut’ a fort mal vieilli mais, à l’instar de sa bande son synthétique datée de Big John mais qui conserve certaines vertus hypnotiques, quelques uns de ses motifs, qui singularisaient déjà le film en 1976, continuent à susciter un intérêt persistant. Il faut dire aussi qu’une bonne partie du cinéma postérieur de Carpenter s’y trouve déjà. Commissariat ou pas, on est clairement dans ce qui deviendrait un jour du “Home-invasion” ; l’anti-héros qui ne trouvera aucune rédemption pour ses exploits annonce Snake Plissken mais ce sont surtout les assaillants qui s’écartent de toutes les normes communément admises à l’époque. Comme dans ‘La chose’, ils sont “informes”, c’est à dire privés de tout potentiel iconique. Malgré leur nombre, ils agissent comme une entité collective primale et aveugle, tournée vers la destruction. On ne sait pas avec certitude ce qu’ils pensent, ni pourquoi ils agissent comme ils le font, à l’image de ce qu’était Michael Meyers dans le ‘Halloween’ fondateur. Comme en contrepoids à son approche sèche et réaliste, Carpenter avait demandé à ses figurants de ne pas prononcer une seule parole durant l’assaut, et d’adopter consciemment des mouvements lents et anti-naturels. : en lieu et place des membres d’un gang, on a peut-être affaire aux premiers et derniers zombies armés de l’histoire du film de genre.
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