Avis : Double Dragon - Page 2

En 1994, année de tournage du film, on se fout de savoir si un jeu vidéo est adaptable ou pas. Ce qui compte c'est ameuter les ados et faire de la thune.
Résultat ici: une catastrophe. Scénario: nul. Acteurs: nuls. Effets spéciaux: nuls. Le personnage de la méchante ne sert à rien.
Pour l'avoir vu au cinéma à l'époque de sa sortie en plein juillet 1996 c'était déjà kitsch à l'époque. Le revoir est toujours aussi pénible. Et ce n'est même pas drôle à regarder.

Une adaptation nanardesque du jeu vidéo culte !
Des bastons à la Jackie Chan (en jouant avec l'environnement, mais sans pour autant en trouver le même résultat), un trait comique ringard, des ennemis et autres monstres ridicules, un scénario en carton, des dialogues épuisants, un jeu d'acteurs douteux, ce "Double dragon" revêt la belle panoplie du nanar. En même temps, quelle idée d'avoir voulu adapter ce jeu vidéo...

Double Dragon est un nanar mais que l'on se plait à regarder. Comment ça se fait?
Ptet pour son ambiance conviviale très agréable qui s'en dégage, ou ptet l'effet nostalgie qui nous remémore un moment de notre jeunesse.

En clair c'est du n'importe quoi le scénar tient sur un post it, la mise en scène quant à elle repose sur un château de cartes et les charismes d'Alyssa Milano, Robert Patrick et Mark Dacascos ont été injustement spoliés.

Et vous savez quoi? On arrive malgré tout à le voir jusqu'au bout...

En général je crie au scandale lorsqu'une adaptation film tirée d'un jeu vidéo est ratée mais là non! Le pire dans tout ça ce que l'on peu y revenir sans problème! Enfin seulement si on l'a connu à l'époque C'est à n'y rien comprendre ...

un film tre mediocre a eviter sai une perte de temp

Un scénario bidon, l’humour affligeant, des acteurs pas terrible, il y a eu pire que « Mortal Kombat », un cran en dessous de « Street fighter », des films plus potable à mon humble avis, l’adaptation est médiocre dont je ne connais que de nom d’après mes souvenirs du jeux vidéo sur arcade, en revoyant ces effets visuels bien moches et horribles maquillages de mon enfance. L’histoire folklorique du médaillon au pouvoir magique illimitée et destructrice en de mauvaise main fut jadis scindée en deux entités est une intéressante intrigue, rare point positif et un vrai gâchis mal exploité. Les combats et acrobaties surfaits avec des incohérences survoltés, c’est du fantastique qui n’a pas l’air crédible, un film de série B non mémorable.

Adapté de la célèbre série de jeux vidéo, Double Dragon est un film d’action axé sur les combats de série B et à la fois humoristique tellement les gags si chers aux années 90 ne cessent de pleuvoir. Billy et Jimmy Lee sont respectivement incarnés par Scott Wolf (Sauvé par le gong, Go) et Mark Dacascos (La loi du samouraï, Streetfighter la rage de vaincre, Kickboxer 5), dont la carrière a vite été freinée par la médiocrité des critiques. Le scénario part dans une autre direction avec une Los Angeles dévastée par un séisme en 2007 et un couvre-feu chaque soir à cause des gangs qui sévissent, dirigés le mégalomane Koga Shuko, assez peu charismatique du haut de sa coupe de cheveux relevée avec des mèches blondes, et tristement joué par le talentueux Robert Patrick (essentiellement connu pour le terrible T-1000 de Terminator 2), qui a également vu sa carrière chuter suite à son rôle dérisoire.

Un médaillon antique est au cœur de l’action, Koga Shuko en possédant une moitié tandis que l’autre est gardée par Satori, la fille qui accompagne les deux frères. Interprétée par Alyssa Milano (Madame est servie, Commando, Charmed), Marian est ainsi pendant un instant reléguée au second rang, en portant une perruque dont le petite frère menace de parler à leur père, le flic du quartier joué par Leon Russom (le Général dans la saison 4 de Prison Break). On trouve également Linda Lash représentant les ennemies qui attaquent avec leur fouet, un loubard à moitié défiguré finement joué par Michael Berryman (Vol au-dessus d’un nid de coucou, La colline a des yeux), un jeune punk insupportable joué par le personnage principal de la série Code Lisa et surtout Abobo, interprété par deux acteurs dont Nils Allen Stewart (The Mask, Ken le survivant, Bloodsport 2). Ce dernier symbolise à lui seul le ridicule qui pèse sur les personnages, avec sa crête d’une mocheté sans nom, sans attitude d’attardé profond et la mutation ratée qu’il subit pour essayer de ressembler au tas de muscles du jeu.

Si le film se regarde, c’est en évitant de le prendre au sérieux tellement les combats sont chorégraphiés par des amateurs (avec des attaques à vélo et des pneus lancés en arrière-plan) et l’humour de bas étage omniprésent, entre les jeux de mots plus ou moins jouissifs (les deux frères Démo et Dégueu Lee, la poste qui n’est jamais allée aussi vite car un facteur est tombé d’un immeuble), les pièges sortis tout droit de Maman j’ai raté l’avion (glissade sur des boules de chewing-gum, poutre dans la figure), les voix françaises tordantes et les nombreux plans faciaux montrant des personnages crier de peur avant de s’enfuir, à la Casper et Junior le terrible. Bourré de références à la pop-culture, le film en fait parfois un peu trop avec la course-poursuite à la Mad Max et les déchets qui servent de carburant comme dans Retour vers le futur, le combat aux côtés de bornes d’arcade (dont celle du premier Double Dragon de 1987) et le dédoublement du méchant en deux immondices ressemblant de loin à Dark Sidious.

Le seul passage sérieux vraiment réussi est ce qui suit spoiler: la mort de Satori dans l’explosion
, pour vainement tenter de redonner un peu de crédibilité au tout. Les frères Lee n’obtiennent leurs costumes flashy que sur les dernières minutes et le combat final est d’un ridicule sans nom spoiler: avec Jimmy qui prend possession du corps de Koga Shuko
, mais sans l’effet spécial aplatissant qu’il y avait quand c’est ce dernier qui le faisait. Si on ne peut pas réellement parler d’adaptation réussie, Double Dragon reste un bon divertissement dans un style très série B frisant parfois le nanardesque !

Un film d'art martiaux et d'action avec l'acteur Marc dacascos représenté ici avec un frère qui devront se battre contre un chef qui veux le médaillon du dragon. Un film certes qui ne casse pas la baraque mais auquel personnellement je me suis bien marré avec des scenes drôles de combat , un géant aux testostérone plutôt bien fait , un film a prendre avec du recul et qui se regarde pour passer une soirée d'action pas très intensive certes mais sympathique.. Alissa Milano dans ses début fait ce qu'elle peux pour donner de la prestation , on vas pas trop lui en vouloir si elle n'y arrive guère... Seul Dacascos nous crédibilise le film pour le regarder dans son ensemble.

• Actions / Effets Spéciaux: 4.1/ 10
• Scénario : 2 /10
• Crédibilité des Acteurs: 3.2 /10
• Bluraythèque: Oui

Les adaptations de jeu vidéo bien kitsch et ridicules peuvent parfois donner lieu à des moments de franche rigolade mais dans celle-là rien ne fonctionne : les répliques connes et les bastons pourries sont ici justes navrantes et terriblement ennuyeuses.

Je viens de revoir ce film et il est vraiment décevant! De toute façon il fallait s'y attendre l'époque à laquelle le film a été réalisé était au début des adaptations de jeux vidéos au ciné et donc destiné aux "teenagers". Si le film avait été entre les mains d'un réalisateur soucieux du détails il en aurait été autrement vu les énormes différences entre les personnages du jeux et ceux du film. A éviter.

Un film de mon enfance, dans un style d action fantastique c est spécial. c est pas désagréable faut le regarder simplement sans prise de tête avec les enfants. assez drôle comme scénario, pas très bien jouer, mise en scène de série b, bref moyen car c est plutôt marrant et m à fait replonger à mes 10 ans. 2.5/5

Le considérant aujourd'hui une série B à force de comparaison et de jugements assez évidents.
Double Dragon reste un des films qui m'avaient tant imressionné dans ma jeunesse et qui reste un bon souvenir.
Humour et action sont au rendez-vous.

Le jeu original etait plutôt sympa et cela m'a inciter à voir ce film. Les adaptations de jeux video sont souvent de beaux nanards et bien là c'est le cas. Entre des decors et des effets speciaux incroyablement laids, un humour tres cretins ( à l'image de scott wolf ) et des acteurs pitoyables ( j'ai eu pitié de Robert patric tant il est ridicule). Enfin il vaut mieux resortir sa nintendo pour se faire une partie que d'aller voir ce truc.

Des répliques ridicules, un scénario navrant... Mais les acteurs tentent tout de même de relever le niveau, en particulier Robert Patrick, même avec son look...
http://tempslibre.forumr.net

Aie Aie Aie, le temps est rude... quand j'avais 10 ans et que je m'intéressais aux films d'action (ceux de Bruce Lee notamment), un film de ce genre, avec Mark Dacascos qui plus est, ne manquait pas de me plaire. Mais il faut voir les choses en face : passé cette âge, le film n'a aucun intérêt... sauf pour en rire entre potes peut-être, tant le jeu des acteurs et les décors et costumes sont pitoyables.

Vous pensez que Street Fighter est une daube en matière d'adaptation de jeux vidéos?Ben, regardez Double Dragon une fois, vous décernerez l'Oscar du meilleur film à Street Fighter.
Une daube comme c'est pas permis avec des acteurs nuls au possible (que sont allés faire Mark Dacascos et Alyssa Milano là-dedans? O_O), des décors bien pourris (en gros, béton, béton, et encore béton, avec 2-3 machines pour dire que y a de la technologie), un ennemi avec le charisme d'un champignon anémique...
Seules les scènes de combats sauvent un peu le truc (et encore, ça reste mollasson -__-).Bref, une m**** (y a pas d'autre terme) qui ne fait VRAIMENT PAS honneur à la licence...