Le desirs est chose étrange. Caché au fin fond de notre être, il est surprenant. Trouver le stimuli qui fera réagir notre corp n'est pas chose mince, il peut même parraitre parfois désaxé. À la base, l'homme est fait pour profiter physiquement de tout les plaisirs, de se satisfaire. Depuis la nuit des temps les plaisirs autorisés sont limités. Quelles en sont les causes ? Principalement les moeurs, les religions. Ces privations on inscrit dans les esprits des désirs peu communs. En prenant notre support comme exemple, dans Crash de David Cronenberg, notre réalisateur nous montre à quel point le rapport sexuel est misterieux. Dans un scénario imprécis, on nous dresse le portrait de plusieurs personnages tout aussi énigmatiques. Nous ne connaissons rien de leur vie, ni de leur famille.
Le personnage principal subit un choc psychologique qui révèle une sorte de psychopathie (psychopathologie ?) moderne visant à démontrer que nous sommes loin d'avoir découvers tout les secrets du cerveau humain. En perpetuel décadance onirique, la musique, singlante, nous plonge dans un univers très personnel à Cronenberg cherchant à nous décrocher de la réalité tout en restant proche d'un sentiment humain. Aucune maladresse de mise en scène, les cadrages sont judicieusement choisis, pour répresenter la sensualité le plus précisément possible.
Nous pouvons noter que chaque scène sont extremement provocatrices, se qui nous montre qu'ils sont, eux détachés du monde qui les entour. Oeuvre principalement incompris, Cronenberg a surement cherché à représenter la folie en mettant le plus grand mal à l'aise possible. Avec quel procédés ? Les dialogues, aussi rare qu'ils sont, restent sans réponse, lents, articulés, précis : Le spéctateur se pose plusieurs questions dans les 30 premières minutes du film. Puis avec la réccurence des scènes érotiques, nous nous dégoutons, sommes proche de la frayeur. Car le rythme va en Creshendo, la fascination de James ne fais que s'accroitre, le pousse à d'autres experiences homosexuelles.
La vision fantasmagorique du danger, du manque d'adrédaline, de la volonté à servir à quelque chose dans se vaste monde, d'avoir des cicatrices poussent les protagonistes à admirer notre éffrayant personnage Vaughan. Qui ne peut d'ailleur attenuer le sentiment de regarder un film sans scénario, ni but particulier.
Les deux première scènes aussi insolites quelle soient, présente Rosanna Arquette et James Spader . Le spéctateur est directement avertie de se qu'il va voir. L'obstination pour les voitures se déclanche donc après l'accident : impression d'être submergé de voiture, désirs sexuel dans une voiture après un accident.
Il y a, à mon gout deux manières de regarder se film : avec un profond dégout bien entendu ou avec une certaine fascination. Quand j'emploie le mot fascination je ne prône en aucun cas que j'approuve ces pratiques la mais plutôt que je suis fasciné par se type d'art moderne qui pousse vraiment à la réflexion et se que le monde peut encore nous reserver. Le monde ? Non, se que le " nous même " peut nous reserver.
Thibaut M.