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    Les Chiens de paille
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    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    314 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    Un film dans la même veine que "délivrance". En particulier dans les thèmes abordés (la violence, les bouseux violeurs et les citadins qui révèle leurs part de bestialités, toussa, toussa...). Mais ce que l'on retient surtout dans "Straw Dogs", c'est les 30 dernières minutes, absolument époustouflantes, dans lesquels le valeureux Dustin Hoffman va devoir faire face à une horde de britanniques imbibés de Guiness. Une leçon de mise en scène.
    Emilie C.
    Emilie C.

    16 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2013
    Thème original , film fort et brutal. Un classique à voir.
    Truman.
    Truman.

    217 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2013
    J'ai probablement pas été aussi captivé ou enthousiasmé par Les Chiens de paille pour plusieurs raisons, la première c'est que j'ai vu le remake avant celui ci, grossière erreur certes mais je ne savais pas que le remake était un remake et j'avais regardé le film comme ça, voir le remake avant m'a enlevé toute surprise, je savais donc tout ce qui allais se passer a l'avance .

    La seconde chose c'est que je trouve que le film a prit un petit coup de vieux, les habits, les coupes de cheveux et ajoutons a cela une photographie assez fade qui tire beaucoup sur le marron et le gris dans cette campagne anglaise, tout ça nous rappelles a chaque instant que le film sort clairement des années 70 .

    La tension monte petit a petit avec ces villageois pas vraiment accueillant mais cette tentions semble avoir un peu de mal a s'installer, on a l'impression que le film se lance vraiment dans les 30 derniers minutes car tout le reste est assez lent et plat, une dernière demie heure qui elle est vraiment intense il faut dire et là ça n'a vraiment pas prit la moindre ride .
    30 minutes ou l'on est plongé dans une ambiance oppressante, les villageois sont prêt a tout pour entrer, quelques effet sanglant ( très léger quand même ) sont présent et bien fait, de la violence et du sadisme .

    Les acteurs sont bon Dustin Hoffman excellent, une Susan George plus que correct même si elle surjoue dans la scène de viol , et des villageois qui m'ont fait penser au Droogies d'Orange Mécanique .
    Surtout ne faite pas l'erreur de voir le remake en premier sinon vous allez vous ennuyer, un film viscéral et violent mais qui a prit quelques ride, a remettre dans son contexte des années 70 ça devait être vraiment percutant .
    elriad
    elriad

    414 abonnés 1 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2013
    Il est certain que pour l'époque, le film a du enclencher un tas de polémiques n raison de sa violence et de sa justification de l'auto-défense. Il n'en demeure pas moins que l’œuvre de Peckinpah a bien vieilli, et qu'elle n'est pas exempte de défauts. La première moitié tire en longueur, le rapport entre le couple principal est difficile à concevoir (l'intellectuel un peu lâche et la blonde idiote provocante ont peu de chance de se rencontrer). En ce sens, "Orange Mécanique" a bien mieux résisté à l'âge que "les chiens de paille". ..
    carbone144
    carbone144

    80 abonnés 758 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2013
    C'est un film mayonnaise ! ça monte, ça monte, c'est parfois étouffant, puis ça finit par exploser dans un dernier tiers de film absolument fantastique ! Certains se diront que ça a inspiré Maman j'ai raté l'avion, dans un style ici beaucoup plus dur et sérieux. Ce type de film est toujours un peu risqué à voir car justement cet aspect crescendo peut en ennuyer plus d'un qui pourrait lâcher prise en cours de film. Heureusement, contrairement à taxi driver, le dénouement ne se fait pas sur une scène de deux minutes mais sur une partie bien plus conséquente du film, d'autant plus que la progression psychologique y est plus prenante. La "Longueur" est évitée de justesse, comme si c'était dosé à la minute près. On ne ressort finalement pas indemne d'un tel film si l'on a pris soin d'y goûter attentivement. C'est finalement un style récurrent chez Peckinpah, qui livre un véritable feu d'artifice sur ses fins de films. Étonnamment, ce n'est pas une trame qui se veut lente puis d'un coup explose, mais qui réussit à faire progresser de manière constante la tension jusqu'à un seuil que l'on n'attend pas nécessairement. Tout cela avec une interprétation absolument dingue de Dustin Hoffman capable vraiment de jouer tout type de rôle. A connaître impérativement !
    Louis Morel
    Louis Morel

    42 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2013
    L'une des clé de voûte du cinéma d'ultra-violence aux états-unis au début des années 7 (avec Orange mécanique et délivrance), le chef-d'oeuvre de Peckinpah est viscéral et transcendant, et surtout violent à souhait. Une peinture traumatisante de la violence présente en chacun de nous...
    Grouchy
    Grouchy

    114 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2013
    Comptant parmi les trois grands films qui propagèrent l'ultra-violence au cinéma américain des années 70, l'oeuvre de Peckinpah est une exception et une surprise parmi sa filmographie qui contenait beaucoup de westerns. Ici il traite de la montée de la violence dans un coin perdu d'Angleterre, où tout modernisme manque et où un aspect primitif et médiéval est présent : les paysans sont une horde de malades mentaux ivrognes, pulsionnels et stupides, et le couple semble être le seul à être doté de raison ( symbolisé par le métier de mathématicien ). Le mari est la première victime du film, subissant les moqueries des paysans et sa femme qui le pousse à agir. L'assaut final est un rappel de l'attaque d'un château-fort, par l'emploi de l'huile bouillante, les pièges ( Amy se cogne le genou contre une table : piège employé dans les murailles des forteresses plongées dans l'obscurité ) et le pillage de la basse-cour ( veranda, garage ) et les envois d'animaux malsains ( les rats ). On retrouve les aspects du cinéma de Peckinpah, à savoir le montage, qui traduit le traumatisme et les idées pulsionnelles en des plans d'un millième de seconde. Son film est très riche, symbolisateur, dérangeant même si on préfère ses westerns.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 avril 2013
    Avec Les Chiens de Paille, Sam Peckinpah s’éloigne du western et signe une des œuvres les plus marquantes de l’histoire de la violence au cinéma. Alors que sort Orange Mécanique (1971) de Stanley Kubrick, Peckinpah commence le tournage de son film avec en tête d’affiche Dustin Hoffman. Ce dernier porte le film sur ses épaules, son interprétation est tout à fait exceptionnelle. Tout comme le film de Kubrick, Les Chiens de Paille gagnera en notoriété grâce à la censure qui condamna la scène de viol.

    Le titre du film vient d’une citation de Lao Tseu « Rudes sont le ciel et la terre qui traitent en chiens de paille la multitude d’êtres. Rude est le sage qui traite le peuple en chien de paille. » L’histoire c’est celle de David (Dustin Hoffman) et de sa femme Amy Sumner (Susan George) qui décident de louer une maison à la campagne pour que David puisse se concentrer sur ses recherches en physique et mathématique. Pacifiste, le couple engage des ouvriers pour réparer la maison et faire les travaux d’entretiens. Peu à peu ces ouvriers vont tourmenter le couple jusqu’à les entraîner dans un véritable cauchemar.
    La suite de la critique ici:
    Gabriel B
    Gabriel B

    4 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2013
    Sam Peckinpah a vraiment un manière unique de dépeindre la violence sur le grand écran. Toutefois, malgré une bonne prestation de Dustin Hoffman, ce film met vraiment trop de temps à démarrer. On est loin du chef d'oeuvre annoncé...
    LUET M
    LUET M

    33 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 février 2013
    Sam Peckinpah, avec une intrigue simple, réussit subtilement à faire passer son message, à travers un thème qui lui est cher – la violence chez l'homme. Opposant l'Américain intellectualisé, civilisé, riche aux modestes autochtones des Cornouailles presque sauvages, Peckinpah montre à son spectateur que tout homme a un instinct de sauvagerie, une face cachée plus ou moins ancrée dans le subconscient et qui peut surgir à tout moment. Tout homme est à la base un animal. Mais le point commun qu'a l'homme avec l'animal, c'est la défense de son territoire. Ce thème est clair dans 'Les Chiens de paille'. Dans cette petite bourgade, les "chefs" ont pour objectif de "s'occuper des leurs" comme le dit un des membres de la bande – les autres ne sont que des intrus. Dustin Hoffman, qui joue l'intellectuel américain civilisé, endoctriné par des principes traditionnels, est confronté contre son gré aux pulsions primaires et aux bas instincts humains. Il devra même agir avec une violence qu'il n'aurait jamais estimée. Filmé avec brio, 'Les Chiens de paille' suit les grands films de Boorman et de Kubrick – à savoir 'Délivrance' et 'Orange mécanique' – tout en gardant une originalité dans la mise en scène (notamment par l'effet oppressant continu) mais aussi dans le thème abordé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 janvier 2013
    Sorti quelques mois avant "la Délivrance", Le film de Peckinpah fait partie de la vague de films du début des années 1970 qui prenait le parti de montrer la violence au cinéma. Quitte à l'exacerber. A peine un an avant trônait le "orange mécanique" de Kubrick comme sommet de la provocation et de l'insoutenable pour un monde cinéphile peu coutumier d'un tel degré d'horreur. Seulement, sauf à s'appeler Kubrick, force est de constater que ce genre de films a pris un sacré coup de vieux. Quand Stanley nous propose de l'intemporel (on peut ne pas aimer orange mécanique, mais difficile de soutenir qu'il est démodé), La délivrance ou les chiens de paille ont eux pris de sacrées rides.
    Tout particulièrement le dernier cité.
    Certains le qualifient de western moderne, considérant que c'est ce qui en fait la principale force. Pour ma part, si je valide la terminologie de western, je le trouve davantage perdu dans le temps que moderne. Il n'appartient pas tout à fait aux westerns contemporains comme Tarantino sait très bien faire. Mais il ne se range pas non plus dans les westerns "old school" façon spaghetti comme nous les servaient Leone (quel régal).
    Résultat: un peu désuet et, même remarque que pour Délivrance, l'étalage d'une violence qui est aujourd'hui banalisée perd de son effet. Il existe néanmoins une scène qui frappe encore aujourd'hui et qui a valu au film d'être censuré: un viol filmé longuement, de près, bref dérangeant. Une des rares fois où Sam atteint son but.
    Car pour ce qui est du reste, le sujet avait le mérite d'être intéressant, mais n'est pas des mieux traités: La sensation d'étouffement d'un couple américain qui débarque dans un village reculé du Royaume-Uni, dont les personnages nous font encore une fois penser à ceux de la Délivrance. Certainement à la limite de la consanguinité (c'est en tout cas l'impression qu'ils dégagent) et ouvertement alcooliques, le quasi huis-clos qui se dessinait avec ces "cas" pour uniques contacts humains avait de quoi accoucher d'une bonne petite torture psychologique et d'un grand film.
    Seulement, Peckinah n'a pour moi pas géré son affaire au mieux. Lié au fait qu'il se pointait sur le tournage bitturé du soir au matin? Certainement pas, après tout Steinbeck, Hemingway et Beigbeder (même si pour ce dernier l'influence positive est moins évidente...) écrivaient eux aussi sacrément imbibés, ce qui ne les a pas empêché de faire des chefs d'oeuvre. Toujours est-il que le film souffre de grosses longueurs, particulièrement dans ce qui se devait d'être la scène la plus intense film, la prise d'assaut de la maison. Une demi-douzaines de tarés qui cassent des vitres pendant 30 minutes, ça fait tout de même un peu léger..
    Côté acteurs, on est pas dans l’irréprochable non plus. On se demande ce que fait Hoffman, toujours excellent, avec Susan George qui pour le coup a un jeu beaucoup moins en finesse. Si l'on peut en attribuer une part à la nature du personnage, il y a quand même selon moi une erreur de casting. Un tout un peu lourdingue donc, aussi bien dans les temps des plans que dans les jeux d'acteur et dans le scénario.
    Le genre de film où l'on se dit: j'aurais voulu être en 1971 pour le voir et l'apprécier.
    cris11
    cris11

    50 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 décembre 2012
    Un grand film d'une grande violence (bien plus psychologique que physique). Le film est impressionnant et donne un peu le ton dès les premières secondes du film. C'est un film très prenant, et étouffant faisant également beaucoup réfléchir sur pas mal de sujet, et notamment le fond de violence existant en chaque être humain. C'est sur ce point que le film est extrêmement intéressant car Peckinpah met en scène un personnage qui est timide et pacifique, et il pousse jusque dans ses plus profonds retranchements jusqu'à l'explosion de violence qu'il ne soupçonnait pas lui-même. Le rôle de sa femme est également très ambiguë et c'est presque si on se demande si on doit avoir de l'empathie ou non pour elle, alors qu'elle est quand même la principale victime du film. La façon de montrer son personnage, de manière un peu misogyne, renforce ce sentiment. Concernant les acteurs, ils sont vraiment excellents avec Susan George excellente, très expressive et particulièrement belle, et un Dustin Hoffman qui montre une fois de plus quel immense acteur il est en se montrant aussi bien réservé et presque lâche derrière ses grandes lunettes, mais aussi particulièrement inquiétant, menaçant et bestial, dans ce rôle pris au piège dans un étau, avec d'un côté sa femme, et de l'autre, les provocations des habitants. J'enlève cependant une demi étoile pour quelques clichés un peu trop prononcés concernant les villageois la façon de présenter le personnage de Susan George, ainsi que la dernière réplique du film qui laisse quelques interrogations que je n'aime pas trop.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 novembre 2012
    Film de Sam Peckinpah ou un couple non violent est entrainé malgré lui dans une flambée de violence extrême. A noter la grande prestation de Dustin Hoffman.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 mars 2014
    Les chiens de paille nous plonge dans un violence psychologique sans pareille dans la campagne des Cornouaille isoler et inhospitalière. Dustin Hoffman est impressionnant
    Gourmetdefilms
    Gourmetdefilms

    57 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 novembre 2012
    Un Dustin Hoffman très bon mais un film artificiellement dopé par le sadisme et la violence. Il est vraiment lent, plat et long excepté les 30 dernières minutes. En plus ce n'est souvent pas crédible à l'image de spoiler: l'étranglement involontaire du gugus charmeur de jolie jeune fille, ou de la baraque insécurisée et impénétrable!
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