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bobmorane63
188 abonnés
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3,0
Publiée le 21 mars 2021
Un film ou s'allie réel et animation produit par Ivan Reitman et réalisé par Joe Pytka !! Un long métrage que je n'avais pas revu depuis tout petit mais qui m'a moins marqué que "Qui veut la peau de Roger Rabbit?" de Robert Zemeckis dans la mème veine. En le revoyant aujourd'hui, faire un film avec Michael Jordan qui était à l'époque un basketteur légendaire et non un acteur se voit un peu à l'écran mais passionné à l'époque par la NBA, revoir ses collègues du Chicago Bulls rend nostalgique aujourd'hui en se disant, "Ah oui, je les reconnais, quelle époque !" . A part ça, les Toons, enfin les copains de Bugs Bunny sont très bien faits niveau animation. On notera la présence dans un second role de Bill Murray (d'ailleurs, je me demande ce qu'il fait là). Un long métrage disons Marketing, je sais pas si les enfants d'aujourd'hui auront peut ètre leurs lots de satisfactions, les parents de plus de 30 ans peut ètre. Il y a aussi la célèbre musique de R.Kelly "I Believe I Can Fly".
Un film culte pour son style et de voir Michael Jordan avec les toons mais qui n'a rien de fantastique. C'est classique avec quelques moments drôles mais il n'a rien d'extraordinaire ce long métrage.
A réserver à un public très enfantin ou à ceux auxquels ce film évoque des souvenirs d'enfance... Car pour les (autres) adultes, que retirer de cet humour peu subtil, de ce jeu d'acteur discutable ou encore de cette intrigue absurde? Bien peu...
Quelques années après Qui veut la peau de Roger Rabbit, voici qu'un autre lapin s'immisce dans le monde réel pour faire la rencontre de la légende Michael Jordan ! Ce mélange improbable entre les Looney Toons et la NBA a marqué une génération d'enfant dont la mienne, émerveillé de voir nos héros fictifs en compagnie de véritable humains. Aujourd'hui le film a fortement vieilli, notre regard plus critique nous fait dire qu'au delà de la prouesse technique, le jeu d'acteur est limité, les stars d'antan du basket sont oubliés et le scénario est très limité. Qu'importe, la nostalgie est bien là.
Pas notre (Space) Came. Une comédie survoltée qui, subjectivement, n'a jamais prise (et continue de me laisser pensive) du fait de son rythme frénétique pour enfant hyperactif (un film qui s'acharne sur son bâton-sauteur pendant 1h20) et de son ton gueulard (on compte sur les doigts de la main les répliques qui ne sont pas beuglées). Le film constitue un jardin secret religieusement chéri par les enfants qui l'ont (eux) aimé durant leur jeunesse et ont grandi avec, et personne ne trouvera à redire à cela, on reconnaît bien le côté "culte pour les amateurs" de Space Jam. On peut aussi applaudir la performance graphique d'avoir incorporé les Looney Tunes sur pellicule, un petit exploit qui rappelle bien sûr Roger Rabbit mais avec un peu plus de travail sur les ombres et lumières sur les personnages, et un bon travail sur les éléments en 3D comme les vaisseaux ou les gens écrasés. On regrette seulement ce scénario si plat (l'excuse pour jouer au basket tient sur un Post-It), la promotion très peu fine de la star du basket Michael Jordan (on n'en peut vite plus de ce léchage de bottes), le doublage irritant pour les oreilles (ces voix VF, surtout celles des extraterrestres, élues produit crispant de l'année), l'humour bas de plafond (les prouts) et quelques maladresses dans le scénario (on met du bandage à des personnages qui n'ont pas joué, à la fin). On aura tout de même aimé l'intervention de Bill Murray qui nous offre des gags potables pour les cinéphiles : lorsqu'il parle en sous-entendus de SOS Fantômes (le film étant d'Ivan Reitman, et Murray étant pris pour Dan Aykroyd), lorsqu'il justifie sa venue dans le monde des Toons par le piston d'Hollywood... On a ri, et ce fut bien le seul moment. On a aussi eu une overdose d'I Believe I Can Fly (sympathique, mais de là à l'entendre trois ou quatre fois...). Cependant, l'ayant revu en amont de sa suite prochaine, Space Jam 2, on ne pourra que se consoler de voir les héros tels qu'ils sont, ce qui deviendra bientôt un triste souvenir dans la nouvelle version des Looney Tunes : adieu Pépé Le Putois, adieu pistolets de Sam et fusil d'Elmer, adieu formes féminines de Lola Bunny... Même sans trop l'aimer, on préfère encore revoir ce Space Jam à sa future suite censurée au gros feutre Velleda.
Même si je n'en suis plus un, je vais laisser l'enfant parler qui est en moi : ce film est distrayant, se laisse suivre agréablement, et au final donc, malgré un scénario des plus minces, est quand même loin d'être mauvais.
Un classique de mon enfance qui n'a certes pas la même saveur plus tard mais reste une madeleine de proust via la présence de Michael Jordan et des personnages des Looney Tunes depuis un peu disparus.
Je surnote probablement un peu ce film même si je ne l'ai pas vu étant enfant. Je n'ai donc pas de nostalgie attachée à cette oeuvre.
Elle m'a simplement parue sympathique, un peu hors du temps. La présence de Michael Jordan au casting y fait probablement pour beaucoup, lui qui ramène son capital sympathie pour le mixer à l'énergie des Looney Tunes.
Le mélange était risqué mais prend bien. Warner Bros a réussi à rend digeste le mélange animation-images réelles.
Bien sûr, certains effets spéciaux ont vieilli et on voit désormais clairement comment ont fait les techniciens pour les réaliser. Cependant, cela donne un petit côté old school pas désagréable.
De même, le scénario est basique, parfois un peu tiré par les cheveux. C'est vrai, il faut le reconnaître. Et pourtant, ça n'a pas entamé le bon moment que j'ai passé devant "Space Jam".
C'est ce que je retiendrai, une parenthèse qui permet un retour en arrière, qui pose le cerveau et qui est rempli de bons sentiments. Avec quelques références culturelles pour les plus âgés.
“ Quoi de neuf Docteur ? ” C’est tout de même un curieux mélange que d’associer les personnages des Looney Tunes avec la légende du basket-ball Michael “ Air ” Jordan. A l’annonce d’un tel projet, on ne s’attendait à rien d’autre qu’à un film fait pour séduire le public familial et en ce sens il le fait sans mal. Space Jam c’est aussi l’occasion de voir les premiers pas du personnage de Lola Bunny (et je vous déconseille de l’appeler poupée !) ou de voir quelques guests comme Larry Bird ou Bill Murray. Bien qu’il soit sorti sur nos écrans en 1996 et en se montrant conciliant on peut dire que les années l’ont plutôt épargné. Il est quand même plus à réserver aux nostalgiques de Ça cartoon qu’à ceux qui admiraient les exploits de MJ !
Space Jam c'est l’improbable rencontre entre les Looney Tunes et le plus grand joueur de basket de tous les temps Michael Jordan et le pire c'est que ça fonctionne. L'histoire nous plonge rapidement dans l'action et il faut dire qu'au début j'ai été un peu déstabilisé avec le mélange film d'animation et réalité. Mais plus les minutes passent et plus on se dit qu'en faite le schmilblick prend bien et j'ai pris du plaisir à suivre cette folle histoire. Ça devient encore mieux à partir du moment ou Jordan entre dans le dessin animé. D'ailleurs côté casting Michael Jordan qui est la tête d'affiche assure dans son propre rôle, il est cool, sympathique et dégage vraiment quelque chose de très positif on voit qu'il a du s'amuser à faire le film. On notera aussi la présence de Bill Murray qui à un petit rôle mais qui fait plaisir à voir. Les autres personnages ce sont les Looney Tunes dont on à le droit à toute la troupe pour notre plus grand plaisir et j'ai beaucoup aimé les méchants martiens qui sont très drôles. Toute cette bande rend le film déjanté, avec des scènes ou ils se sont fait plaisir c'est souvent délirant notamment le fameux match, ça fait sourire et on y croit vraiment à cette rencontre entre ces deux mondes. La grande peur de ce genre de film ce sont les effets spéciaux et il faut dire qu'ici c'est dans l'ensemble plutôt réussi même si certains font un peu dépasser mais dans l'univers cartoon ça passe bien quand même. Reste la b.o. qui est franchement bien et la fin qui est réussi. Au final Space Jam est un film comme on en voit peu, qui mélange deux univers totalement différent et qui plaira aux petits comme aux grands que l'on aime le basket ou pas et est une sorte d'hommage à l'un des plus grands sportif de tous les temps. Je ne peut que vous le conseiller.
Clairement un film destiné aux enfants ou aux nostalgiques de leur enfance. Warner en profite pour faire de l'auto-promo et égratigne au passage la concurrence qui possède les célèbres parcs d'attractions. A part ça Michael Jordan se débrouille pas trop mal en acteur, et les petits rôles de Bill Murray et Wayne Knight (Dennis Nedry!!) sont sympathiques. Les musiques typiquement années 90/2000 sont le vrai petit plus de ce film. (Moyen)
Le mélange toons-hommes ne me plaît vraiment pas (sauf Roger Rabbit bien sûr!) et Jordan n'est bon qu'à jouer au basket... Bugs est même meilleur acteur que lui, mais normal, il a plus d'expérience!
Michael Jordan et les Looney Tunes jouent au basket contre des extra terrestres. Rien que de dire cela on sait qu'il ne faut pas s'attendre au film du siècle. Mais il n'est pas horrible à regarder loin de la, il reste un divertissement familial correct les Looney Tunes sont amusants et la bo fonctionnent parfaitement, bref ça fait le boulot.
Un mariage original : Looney Tunes & Stars de NBA ! Les meilleurs basketteurs de la bonne vieille époque ont joué le jeu (Jordan, Ewing, Barklay, Johnson, Bogues, Malone, Bird...) pour notre plus grand plaisir. "Space Jam" fait partie des incontournables de notre enfance. Bien que le scénario soit invraisemblable et que le film ait pris un sacré coup de vieux, ça reste fun, les bons gags sont dispatchés ici et là, et la nostalgie pourra donc continuer d'opérer. Un match de basket orchestré par les Looney Tunes ne pourra que réserver une partie d’anthologie délirante. "Space Jam" reste un ovni cinématographique, mais toutefois nettement moins excitant que son confrère "Qui veut la peau de Roger Rabbit ?".