Jim est de retour dans ce second volet des aventures d'Ace Ventura. Cette fois-ci, direction l'Afrique, à la recherche du pire ennemi d'Ace : une chauve-souris. Bien entendu, le charisme et l'humour de Jim Carrey sauve le scénario du film, enchaînant blague sur blague, et rares sont les fois où celles-ci ne font pas mouche.
L'intrigue avoisine le degré zéro, et le propos dépasse rarement le stade pipi-caca. Jim Carrey est donc condamné à répéter les mêmes pitreries. Vraiment insipide.
Ce second volet des tribulations d'Ace Ventura se résume à un enchaînement de gags lourds et de plaisanteries infantiles. Quant à Jim Carrey qui s'agite dans tous les sens, il en fait des tonnes et devient très vite énervant.
Un ptit peu déçu.Le premier était magnifique.Le second est bien,marrant.Juste ce qu'il faut mahleureusement.Jim Carrey nous fait toujours aussi rire grâce à des répliques cultes.
Un nanar comme on les aimes,avec un Jim Carrey toujours aussi drôle. Cette suite est nettement plus réussie que le 1èr volet ,car il y a un meilleur scénario et c'est plus drôle.
Jim Carrey est bien l'Homme le plus délirant de cette planète...Des séquences hilarantes, parfois un peu lourdes, des attitudes de Jim Carrey vraiment tordantes, cependant, le film peine à avoir du rythme et à convaincre...A voir, seulement pour Jim Carrey.
Jim Carrey a désormais le droit de tout faire suite à the Mask. Ce film en est un témoignage car personne ne sort grandi, les enfants seront éventuellement distraits,
Largement en-dessous du premier volet, ici la plupart des gags tombent à plat, mais il faut tout de même saluer la prestation de l'infatigable et indétrônable Jim Carrey en pleine forme.
Une comédie absurde avec un Jim Carrey complètement cinglé. L'histoire est ridicule, les tribus et personnages africains sont méprisés mais tout cela est à prendre au 40° degré à l'ombre des baobabs. Ace Ventura When nature calls propose des cascades à l'intérêt hétérogène : le duel, la course poursuite en monster truck, le parking contrôlé. Quelques gags et répliques bien senties : la peau de renard-vieillard, le Pride is an abomination et bien sûr le numéro d'acteur de Jim Carrey, il peut regretter qu'il cannibalise totalement le long métrage mais sans lui pas de film. La vraie bonne idée de la franchise est d'avoir créé un Ace Ventura à la fois complètement loufoque mais également brillant ce qui le sauve de l'archétype du looser qui réussi grâce à Deus ex machina. Un bon moment sans prétention. Je regarderai le premier.