Un concentré de lien père-fils autour d'un road movie où Dingo veut emmener son fils, Max, à la pêche. Mais celui-ci a d'autres projets et suit son père contre son gré. Un Disney rythmé et musical où l'émotion et les gags s'enchaînent assez bien.
Le scénario est bon, plutôt beau. On se laisse facilement embarqué par le tandem père/fils. Les situations ne sont pas forcément drôles et la morale n'est pas si évidente que ça. Mais on regarde ce film avec du plaisir.
Après la série télévisée La Bande à Dingo (1992/1993), les studios Disney ont donné suite avec le film Dingo et Max (1996), un long-métrage d'animation d'à peine 75 minutes où l'animation est, il faut l'avouer, le point faible du film (une esthétique bâclée), aux côtés d'un scénario qui n'a absolument rien d'original (la sempiternelle relation tendue entre un père et son fils, avec le happy-end inévitable). Côté chansons, les textes sont très décevants, aucune recherche à ce niveau là, heureusement on n’a pas le temps de s'ennuyer, de l'aventure et du rythme sont là pour maintenir en haleine un semblant d'intrigue. Pour la petite anecdote, le film a été réalisé aux quatre coins du globe, entre les Etats-Unis, l'Australie, le Canada et même la France (aux anciens studios Disney situé à Montreuil). La firme aux grandes oreilles n'a pas résisté à l'idée de donner une suite à ce premier opus, sorti cette fois-ci directement en DTV, il s'agit de Dingo et Max 2 : Les Sportifs de l'extrême (2000).
Tiré de la série animée peu connue “La bande à Dingo”, “Dingo et Max” est un bon petit dessin animé bien sympa, très rythmée mais qui permet surtout au génial Dingo d’avoir les honneurs d’un film sur grand écran. Les gags sont marrants (Dingo photographe, l’ours, le concert...) et l’histoire est plutôt pas mal et traite des problèmes de l’adolescence sans en faire trop. Un bon moment!
Un divertissement superbement animé qui reprend à merveille le grain de folie de la série et des autres épisodes animés des personnages de Disney (je pense notamment à Mickey et Donald). Un dessin-animé très dingo qui n'oublie pourtant pas une dose d'émotion bienvenue et de quelques chansons qui mènent la danse, le tout étant modernisé. Juste dommage que la fin soit expédiée trop rapidement. Mais je comprends maintenant que Dingo et Max fasse parti des grands Disney.
Dingo et Max est un long-métrage d’animation Disney plutôt moyen de Kevin Lima. La mise en scène du réalisateur est correcte et l’animation est irréprochable. Néanmoins, je n’ai pas accroché à l’histoire et je pense que celle-ci aurait mérité d’être un peu plus sérieuse et plus intéressante. C’est dommage.
En temps que fidèle serviteur de la bande à Mickey sous l'égide de Disney, Dingo se devait bien d'avoir son adaptation attitrée au cinéma. Bon, celle ci ne date pas d'hier, et il faut l'admettre, les grands studios de l'animation ont fait du chemin depuis 1995. Dingo est une espèce de chien anthropomorphe à la personnalité simplette et maladroite, mais au cœur grand comme le monde. Ce petit filmounet sympathique et gentillet expose la relation qu'il entretien avec son jeune fils Max. Entre partie de pêche père et fils et conquête amoureuse, la balance s'avère déséquilibrée. Si l’animation se révèle simpliste et vieillotte, le message que véhicule Disney est toujours aussi chargé de sens et accessible à toutes générations confondues. Il illustre le dialogue, la pédagogie et les concessions au sein d'une relation père et fils. Leurs petites interactions tout en chansonnettes sont touchantes, mais manquent peut être d’intensité. Il faut bien comprendre que regarder ce film d'un œil purement adulte et exigeant peut occasionner la déception. Les plus jeunes y trouveront sans doute encore leur compte en 2015. Sympathique mais sans plus. 2,5/5
Dingo, jusque-là, n'avait fait l'objet que de courts métrages et généralement flanqué des autres vedettes Disney (Mickey, Donald,...). Le voilà ici seul avec son fils Max dans une histoire sentimentale. La 1ère partie du film (exposition des faits et de la situation) est un peu longuette, la seconde partie meilleure. On est dans la psychologie et le rapport père-fils, çà encombre un peu trop... Toute cette 1ère partie est "tristounisée" par l'accablement amoureux de Max, et la traditionnelle joie disneyienne en est tout au long affectée. Quelques longueurs (séquence "pseudo-yéti américain"), mais de bons moments (rencontres Dingo/Pat Hibulaire). Dénouement bien rythmé, belles trouvailles de scénario (gags, plans et autres). On a du mal à reconnaître le Dingo habituel, un peu coincé dans son rôle de père, seulement décoincé en fin de film. Animation et son quasi-parfaits, sauf quelques effets de décors un peu faciles et pas spectaculaires. Quelques chansons en cours de route, pas folichonnes. Bref, on passe un agréable moment pendant le visionnage, mais si on analyse le film correctement, et bien il reste assez moyen à mon goût. A découvrir !
Loin d être bon, ce disney assez oubliable avec Dingo et son fils Max. L'aventure qui suit l'intrigue n est pas la plus flamboyante mais cela reste un film regardable et correct
Premier centrer sur l'un des personnages secondaires iconique du monde Disney, secondaire de la bande à Mickey, Dingo devait bien tôt ou tard obtenir une aventure à lui. Ici, bon nombre de thèmes sont aborder tel l'adolescence perturbée d'un jeune, la relation père-fils, la romance "impossible" entre un geek et la plus belle fille du lycée, l'arrivée prochaine d'une popstar et vouloir impressionner sa promise avec cette venue évènement... Un film ou l'humour presque burlesque est roi mais toujours en respectant la rigolade familiale de Disney, un humour parfaitement bien dosé ou chaque scène est un véritable moment de grâce, même les plus banales mais tant bien orchestrées et devenue au fil des ans, culte et de très haute voltige. Sur le casting vocal, si Pat Hibulaire est jouer avec perfection par Alain Dorval (doubleur français de Sylvester Stallone), le reste du cast me reste inconnu tant les voix sont seulement collées à ces personnages-là. Sur le récit justement, si tous les thèmes sont évidement abordés, ils le sont avec chronologie et intelligence afin de ne pas s'entrechoquer à des instants qui aurait pu être porter à confusion et rendre finalement le film totalement indigeste. Orchestrer avec justesse, des scènes mise en scènes avec beaucoup de talent et ne laissant pas nos personnages sur le banc de touche. Un final explosif, colorer et musicalement impeccable, les derniers instants furent tous bonnement excellents et la touche humoristique ultime signée Dingo fut à l'honneur pour bouclée cette fabuleuse boucle parentale ou caractères, comportements et relations père-fils furent simplement montrer avec talent. Comme quoi, après un premier film montrant les 3 illustres amis au temps du Moyen-âge pauvre aux mains d'une géant vert, puis l'oncle d'un de ces derniers, lui-même en proie à un ennemis millénaire, aura finalement laisser au studio, l'idée de pleinement se consacrer à un dernier copain bienvenue. Pas si dingo finalement, comme manœuvre.
Ne vous y trompez pas, Dingo est un personnage célèbre du monde Disney. Et à Dingo, on lui a octroyé une nouvelle famille pour faire de nouvelles séquelles sur le chien gaffeur. Cela est-il le signe que Disney était alors en panne de nouvelles idées ? Allez savoir, mais c’est ce qui explique de façon très hypothétique que "Dingo et Max" ne fait pas partie des grands classiques des studios de l’oncle Walt. C’est même ce que j’aurai tendance à appeler un film d’animation "discount". Les dessins sont relativement éloignés de ce à quoi ont pu nous habituer les artistes disneyens. L’animation est correcte, surtout en ce qui concerne les personnages au premier plan. Pour ce qui est de ceux qui sont en arrière-plan… excusez-moi mais c’est plutôt statique, et les décors du fond pas vraiment soignés. Pour ce qui est du scénario, il est intéressant de voir comment on peut resserrer les liens entre un parent et un enfantspoiler: (en l’occurrence entre un père et son fils) , façon road movie mené à un rythme soutenu. Evidemment, on pardonnera aisément les nombreuses incohérences et la naïveté qui parsèment cette réalisation, étant donné que c’est un film d’animation doté d’un débat sur les choses essentielles, comme les studios Disney nous ont pris l'habitude de nous servir. Le rythme est mené à un train d’enfer par le biais de nombreux supports musicaux, parfois chantés. Moi je dis qu’il y en a trop. Cela dit, on dénombre quelques situations bien marrantes : il n’y a qu’à voir l’expression des visages de Dingo et de Max quand ils se disputent la radio, ou encore la scène où le monstre se trémousse sur "Stayin’ alive" qui vaut aussi son pesant de cacahuètesspoiler: (à condition toutefois d’occulter le fait que le Yéti se trouve aux Etats-Unis… quoique… en pliant bien la carte, ça peut marcher…) . Eh bien c’est cela qu’on aime chez Disney, quel que soit le long métrage : l’expression donnée aux personnages. A son niveau, "Dingo et Max" a contribué à l’idée reçue que les films d’animation n’étaient faits que pour les enfants. Pour celui-là, c’est un peu vrai : nos chérubins devraient y trouver largement leur compte, entre l’esthétique très colorée, le rythme, les bébés pris en photo, les gags, et… le swing ! "Dingo et Max" devrait constituer un petit cadeau de Noël sympathique pour eux, mais aussi pour le portefeuille des parents, d’autant plus que le sujet est intergénérationnel et toujours d’actualité, avec en prime un retour en arrière savoureux pour ceux qui sont plus ou moins en quête de nostalgie ou qui sont à la recherche d’outils pour se rapprocher de leur(s) enfant(s).
Dingo et Max est le premier long-métrage Disney dans lequel on peut retrouver le meilleur ami de Mickey. Il faut dire que cette production est très agréable. Scénario drôle et touchant, musiques excellentes, personnages attachants. Ce dessin animé est une petite réussite, bien mené.