Une nuit en enfer : Un trip comme seul Robert Rodriguez sait le faire. On sent vraiment que c’est le film qui a était fait entre pote pour ce taper un délire et ça fonctionne. Car on retrouve Quentin Tarantino à l’écriture et on reconnaît tout son talent dans la première partie qui est juste excellent, avec des dialogues savoureux, des scènes cultes et des personnages farfelus, l’intro est énorme et on retrouve même la marque fictif d’hamburger de chez Tarantino, pour les fans ultimes, on la retrouve dans Pulp Fiction. Après, la deuxième partie, c’est une autre paires de manches car ça part dans une délire absolu : il y a des vampires qui rentres en jeux dans la fameuse grosse scène du bar, bon faut aimer, c’est plutôt marrant a voir, surtout vers la fin on les choses sérieux ou pas arrive, c’est un poil long cette partie mais c’est franchement tordant et ça dans la continuité du délire de pote, ils ont du bien s’amusé. A la réalisation, on retrouve bien sur Robert Rodriguez qui a toujours sa patte et sa façon de faire et c’est réussit, il est le digne hérité de Tarantino pour ce qui est de l’ambiance, l’humour, mise en scène… et encore une fois, certains scène on était faite rien que pour leur plaisir, avec les pieds Tarantino doit être aux anges dans son rôle de malade obsédé. Mais il y a pas que lui car le casting est bien fournit : George Clooney qui est impec, Harvey Keitel bien connu des rangs de Tarantino (Reservoir Dogs, Pulup Fiction…) ou encore les deux acteurs fétiches du metteur en scène : Danny Trejo, Cheech Marin qui joue plusieurs rôles et oui rien que ça, donc voila, tout le monde y est. Voila, un bon gros délire fantastique, du pur Rodriguez/Tarantino.