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Votre avis sur Une nuit en enfer ?
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Deux films en un : rarement cette expression aura aussi bien collé à un long métrage. En effet, Une Nuit en enfer commence comme un excellent polar dans le pur style Tarantino de cette époque (il n'avait tourné que Reservoir dogs et Pulp fiction) puis vire d'un coup à un peu plus de la moitié du fim au film fantastique gore le plus délirant qui soit. La force de ce film tient au fait que chaque partie est parfaitement aboutie et s'imbrique parfaitement l'une avec l'autre. On se retrouve avec une oeuvre purement jubilatoire que l'on peut revoir de nombreuses fois en y prennant toujours autant de plaisir. Les acteurs semblent tous s'amuser dans leurs rôles, le scénario et les dialogues de Tarantino font toujours totalement mouche, les effets spéciaux sont excellents, la réalisation alterne de façon parfaitement équilibrée entre le calme des conversation et l'hystérie des scènes d'action et le film contient quelques séquences mémorables (la fameuse danse de Salma Hayek). Un délire cinéphilique tout à fait jouissif.
J’ai apprécié l’humour décalé du film ainsi que la prestation des acteurs (surtout celle de Tarantino
Je ne me suis pas ennuyé devant ce film qui a une forte tendance à partir en vrille. et j’en garde un très bon souvenir.
À voir.
Je ne me suis pas ennuyé devant ce film qui a une forte tendance à partir en vrille. et j’en garde un très bon souvenir.
À voir.
Tarantino au scénario, son complice Rodriguez à la réalisation. Au casting, Clooney pour son premier grand rôle au cinéma entre deux tournages d'Urgences et les complices des deux premiers cités, Harvey Keitel, Juliette Lewis et Michaël Parks dans le rôle de l'éternel rangers. Tel est le menu de cette nuit en enfer que l'on attend forcément déjanté et on est pas déçu. Il s'agit du tout premier Tarantino que j'ai vu à la fin des années 90 sur une chaîne du câble et déjà il avait fait sur moi forte impression. Le début commence à la Tueurs Nés (script de Tarantino, mis en scène par Oliver Stone). Nous avons deux frères totalement barges qui sèment la terreur sur leur chemin en abattant tout ceux qui s'y mettent en travers. Ils attaquent une banque, prennent une otage, brûlent un motel et finalement contraignent un pasteur et ses deux enfants de les emmener au Mexique dans leur camping-car. Et là tout bascule. Ils font escale dans un bar (le téton tortillé) envahi par des vampires. Le film est en deux parties. Un road-movie policier dans l'une, un classique film de vampire dans l'autre avec gerbes de sang à profusion. Tarantino y ajoute ses influences : le rock, l'humour noir (les guitares en forme de tronc humain., etc), les pieds via la danse lascive de la sculpturale Salma Hayek, les longues conversations sur la bouffe, la religion. Bourré de répliques cultes (Il y a quoi au Mexique ? des mexicains, vous n'avez pas l'air chinois. Lui non plus, il a l'air plutôt japonais, Qu'est ce qu'est ? ça s'appelle une pêche, et bien d'autres), ce film est une bonne série B qui s'assume complètement et qui a eu le mérite d'offrir à Clooney enfin un grand rôle au cinéma après ses nanards de la fin des années 80.
Voila un film comme moi je les aime, des effets spéciaux juste comme il faut, sans abus, des scènes de meurtre totalement déjantées et une histoire bien délirante et surtout un massacre de créature surnaturelle digne du débarquement de Normandie. les coups de calibre et de pieux en bois volent bas et les réparties cinglent. Le casting regroupe la bande à Tarantino avec le beau Georges et Tom Savini, le spécialiste des SFX et des cascades de Georges Roméro en prime. Tout cela est du bonheur pour un film sans prise de tête.
le début est pas mal jusqu'au moment ou ils arrivent au bar près de la frontière méxicaine ... Là, le film perd je trouve toute crédibilité et le final est un peu en queue de poisson !! 1,5/2,5 pour la première partie ... 0,5/2,5 pour la seconde partie
Comme toujours, les films de Rodriguez sont un style particulier et souvent dérangeant dans certaines scènes. Le film qui suit les traces d'un duo de malfrat pourchassé par la police et qui finissent dans un bar mexicain rempli de... vampires !! Si si l'idée, il fallait la trouver !
Alors la 1ère partie sans les vampires mais centré sur les malfrats est intenses et très agréable à suivre. Mais la 2ème partie centré sur les vampires est nullissime et ridicule.
Bref : vous passerez une nuit d'enfer à regarder le film du début à la fin !
Alors la 1ère partie sans les vampires mais centré sur les malfrats est intenses et très agréable à suivre. Mais la 2ème partie centré sur les vampires est nullissime et ridicule.
Bref : vous passerez une nuit d'enfer à regarder le film du début à la fin !
Ce premier épisode est le meilleur, très bonne histoire, les amateurs de films gore seront ravit
Quelle daube, un véritable crime contre l'intelligence humaine. Seule la prestation de tarentino dans son rôle de violeur cinglé est à noter dans ce film qui transpire la nullité et la vulgarité du début jusqu'à la fin. Caricatural à souhait, intéressant et immensément plus affligeant que drôle. Un ratage total.
C'est sûr, le début est tout à fait conforme à ce qu'on attend d'un indé chicano-US, du cynisme, de l'action, du gore facile et drôle. De bons acteurs, on ne s'ennuie pas trop. Puis, il y a la deuxième partie, et là, à part l'effet de surprise, bien amené parce que brutal, il faut bien dire que j'ai décroché.
Etant allergique à l'obsession américaine de Buffy et les vampires, ça gâche pas mal le film, du début à la fin.
Toujours étonnant ce pays qui se construit des dizaines de peurs bien cataloguées et cinégéniques, comme si il regrettait de ne pas être passé par notre moyen-âge.
Bref, une certaine frange ado lobotomisée à l'américanisme télévisuel appréciera sûrement, une autre plus universelle, trouvera dommage de n'avoir pas trouvé une autre chute moins invraisemblable à ce qui commençait comme un road-movie sympathique.
Etant allergique à l'obsession américaine de Buffy et les vampires, ça gâche pas mal le film, du début à la fin.
Toujours étonnant ce pays qui se construit des dizaines de peurs bien cataloguées et cinégéniques, comme si il regrettait de ne pas être passé par notre moyen-âge.
Bref, une certaine frange ado lobotomisée à l'américanisme télévisuel appréciera sûrement, une autre plus universelle, trouvera dommage de n'avoir pas trouvé une autre chute moins invraisemblable à ce qui commençait comme un road-movie sympathique.
Un film totalement déjanté, avec un Quentin Tarantino carrément détraqué, et un George Clooney un peut moins. La première partie du film j'ai beaucoup aimé, et reste très sympa avec son lot de sang, de suspense, et d'humour. Mais la deuxième partie est plombée par une réal qui fait dans le grand guignol. Elle part en vrille avec tous ces vampires qui détruisent vraiment le film. Dommage, car cette fuite en avant avec ces deux tueurs sans moral, cette famille prise en otage, et tous ces flics à leur poursuite, il y avait matière façon Thelma et Louise, à nous faire rire (surtout Quentin Tarantino et son air innocent sensible). Cette réalisation se transforme petit à petit en un film fantastique serie B. Bref! les vampires ce n'est pas ma tasse de thé.
Un véritable petit bijou de série B. Avec un second degré omniprésent, Une nuit en enfer est un film complètement barré qui est doté d'un très bon casting qui fait un carton - George Clooney, Tarantino et Keitel - et d'une histoire complètement déjantée, bien construite, qui parvient à nous tenir en haleine tout le long du film. Robet Rodriguez nous montre qu'il peut faire de très bons films en parodiant totalement la vieille série B à travers un film prenant, drôle, qui plus est, fantastique, et surtout glauque, gore et plein de surprises.
spoiler:
Le fait de rajouter de jolies femme qui se transformeront en vampires renforce le coté décalé de l'intrigue et c'est vraiment poilant
Dans Une nuit en enfer, Tarantino passe devant la caméra en incarnant le rôle d'un pervers, qu'il joue à merveille. Quant à Clooney, qui incarne un voleur professionnel, c'est sans doute l'un de ses meilleurs rôles: cynique, vantard, il joue parfaitement bien. Un film déjanté, qui vous fera passer une nuit délirante. A voir.
Dans Une nuit en enfer, Tarantino passe devant la caméra en incarnant le rôle d'un pervers, qu'il joue à merveille. Quant à Clooney, qui incarne un voleur professionnel, c'est sans doute l'un de ses meilleurs rôles: cynique, vantard, il joue parfaitement bien. Un film déjanté, qui vous fera passer une nuit délirante. A voir.
UN FILM qui te donne une vraie claque, mais c'est à voir qu'une seul fois. Même si c'est pour voir une nouvelle fois la sublime Salma layek, le cinglé Quentin Tarantino, le convaincant George Clooney, Danny Trejo, Cheech Marin, Juliette Lewis et Harvey Keitel en pasteur humble et héroïque. Un casting brillant porté par celui qui créa alors "the Grinhouse" , Robert Rodriguez, c'est à dire, un film humoristique-ment gore à l'humour noir, et au scène caricaturaux des films d'horreur. Une première heure dédié au film de grand banditisme, et la deuxième, ..... Bah pour ceux qui ne l'ont pas encore vue, je vous laisse deviner.
"Une Nuit en Enfer", réalisé par Robert Rodriguez et scénarisé par Quentin Tarantino, est une œuvre cinématographique qui fusionne le genre du film de braquage avec celui du film d'horreur fantastique, offrant une expérience à la fois chaotique et captivante.
Dès les premières minutes, le film plonge le spectateur dans une frénésie d'action et de tension. Les frères Gecko, interprétés par George Clooney et Quentin Tarantino, se démarquent par leur dynamisme et leur chimie à l'écran. Clooney, dans son rôle de Seth Gecko, apporte un charisme indéniable qui contraste parfaitement avec la folie instable de Richard, incarné par Tarantino lui-même.
La première moitié du film s'articule autour de l'évasion des Gecko et de leur prise d'otage, incarnée par Harvey Keitel, Juliette Lewis, et Ernest Liu. La tension monte graduellement, rendant le spectateur avide de découvrir comment cette situation pourrait encore empirer. La direction artistique de Robert Rodriguez brille ici, capturant l'essence crasseuse et suffocante des paysages désertiques et des établissements miteux.
C'est dans la seconde moitié du film que "Une Nuit en Enfer" bascule complètement dans le fantastique. L'arrivée au Titty Twister, bar emblématique situé au cœur de la frontière mexicaine, marque un tournant radical. Ce lieu, avec son ambiance décadente et ses personnages grotesques, se transforme soudainement en un théâtre d'horreur vampirique. La performance envoûtante de Salma Hayek en Santanico Pandemonium est un moment phare, mais c'est aussi le point de rupture où l'intrigue change de ton de manière abrupte.
Là où le film excelle, c'est dans ses effets spéciaux et son maquillage, créés par les experts du genre, qui donnent vie à une armée de vampires aussi repoussants qu'implacables. Les scènes d'action sont intenses et gore, rendant hommage aux classiques de l'horreur tout en conservant l'énergie frénétique propre à Rodriguez.
Cependant, cette dichotomie nette entre les deux moitiés du film peut déconcerter certains spectateurs. Le mélange des genres, bien que rafraîchissant, manque parfois de cohérence narrative, ce qui pourrait aliéner ceux qui préfèrent une progression plus linéaire et prévisible. Le script de Tarantino, bien qu'éblouissant par moments, souffre de quelques longueurs et de dialogues qui, à force de chercher à être iconiques, tombent parfois à plat.
La bande originale, composée de morceaux de Texas blues et de rock mexicain, accentue l'atmosphère unique du film. Les morceaux interprétés par Tito & Tarantula ajoutent une couche supplémentaire de charme sinistre à l'ensemble.
En fin de compte, "Une Nuit en Enfer" est une œuvre qui brille par son audace et son style distinctif. C'est un film qui ne plaira peut-être pas à tout le monde, mais il reste une expérience mémorable grâce à ses performances marquantes, sa mise en scène inventive, et son mélange inusité de genres. C'est une excursion cinématographique qui, malgré ses imperfections, mérite d'être vue pour sa singularité et son impact culturel durable.
Dès les premières minutes, le film plonge le spectateur dans une frénésie d'action et de tension. Les frères Gecko, interprétés par George Clooney et Quentin Tarantino, se démarquent par leur dynamisme et leur chimie à l'écran. Clooney, dans son rôle de Seth Gecko, apporte un charisme indéniable qui contraste parfaitement avec la folie instable de Richard, incarné par Tarantino lui-même.
La première moitié du film s'articule autour de l'évasion des Gecko et de leur prise d'otage, incarnée par Harvey Keitel, Juliette Lewis, et Ernest Liu. La tension monte graduellement, rendant le spectateur avide de découvrir comment cette situation pourrait encore empirer. La direction artistique de Robert Rodriguez brille ici, capturant l'essence crasseuse et suffocante des paysages désertiques et des établissements miteux.
C'est dans la seconde moitié du film que "Une Nuit en Enfer" bascule complètement dans le fantastique. L'arrivée au Titty Twister, bar emblématique situé au cœur de la frontière mexicaine, marque un tournant radical. Ce lieu, avec son ambiance décadente et ses personnages grotesques, se transforme soudainement en un théâtre d'horreur vampirique. La performance envoûtante de Salma Hayek en Santanico Pandemonium est un moment phare, mais c'est aussi le point de rupture où l'intrigue change de ton de manière abrupte.
Là où le film excelle, c'est dans ses effets spéciaux et son maquillage, créés par les experts du genre, qui donnent vie à une armée de vampires aussi repoussants qu'implacables. Les scènes d'action sont intenses et gore, rendant hommage aux classiques de l'horreur tout en conservant l'énergie frénétique propre à Rodriguez.
Cependant, cette dichotomie nette entre les deux moitiés du film peut déconcerter certains spectateurs. Le mélange des genres, bien que rafraîchissant, manque parfois de cohérence narrative, ce qui pourrait aliéner ceux qui préfèrent une progression plus linéaire et prévisible. Le script de Tarantino, bien qu'éblouissant par moments, souffre de quelques longueurs et de dialogues qui, à force de chercher à être iconiques, tombent parfois à plat.
La bande originale, composée de morceaux de Texas blues et de rock mexicain, accentue l'atmosphère unique du film. Les morceaux interprétés par Tito & Tarantula ajoutent une couche supplémentaire de charme sinistre à l'ensemble.
En fin de compte, "Une Nuit en Enfer" est une œuvre qui brille par son audace et son style distinctif. C'est un film qui ne plaira peut-être pas à tout le monde, mais il reste une expérience mémorable grâce à ses performances marquantes, sa mise en scène inventive, et son mélange inusité de genres. C'est une excursion cinématographique qui, malgré ses imperfections, mérite d'être vue pour sa singularité et son impact culturel durable.
Enorme !
Juliette Lewis, Clooney, Keitel et Tarantino...
Le film peut surprendre et décevoir mais il reste un pilier du genre !
Juliette Lewis, Clooney, Keitel et Tarantino...
Le film peut surprendre et décevoir mais il reste un pilier du genre !
Déjanté, et complètement assumé! Bon, faudra pas chercher la plus petite once d'intelligence ou de cohérence dans ce film, mais c'est bien en cela qu'il est plaisant! Parce que dans le genre jouissif et jubilatoire, il y a de quoi prendre son pied dans "Une nuit en enfer". Entre l'humour obscène et gras, les sympathiques trouvailles au niveau des effets spéciaux, et l'interprétation barrée de Tarantino, y a pas mal de plaisir à prendre! A condition de laisser son cerveau de côté...
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