Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
France Soir
par Monique Pantel
(…) un film à donner le frisson au plus fort de la canicule. France-Soir, le 26 juin 96.
La Croix
par O.N.
Nous sommes en terrain connu, pas forcément recommandable. Lorsque le film bascule dans le grand guignol et l’épouvante bas de gamme, vampires à l’appui, on décroche sans regrets. La Croix, le 26 juin 96.
Le Monde
par J.-P. R.
« Une nuit en enfer » s’essoufle dans une interminable bataille rangée où les têtes coupées croisent les bras arrachés et où les conventions des récits gothiques (…) sont réactualisées sous forme de gags. Le Monde, le 27 juin 96.
Positif
par Michel Ciment
On savait le peu de talent de Robert Rodriguez, qui n’a qu’un sens très limité du cadrage et du rythme, mais on regrette que Tarantino dilapide son image en monnayant ses fonds de tiroir et en permettant qu’apparaissent sur l’écran de pâles reflets de son
Télérama
par F.G.
(…) ce brouillon de sous-culture est le vilain petit nanar de l’été. Télérama, le 26 juin 96.
France Soir
(…) un film à donner le frisson au plus fort de la canicule. France-Soir, le 26 juin 96.
La Croix
Nous sommes en terrain connu, pas forcément recommandable. Lorsque le film bascule dans le grand guignol et l’épouvante bas de gamme, vampires à l’appui, on décroche sans regrets. La Croix, le 26 juin 96.
Le Monde
« Une nuit en enfer » s’essoufle dans une interminable bataille rangée où les têtes coupées croisent les bras arrachés et où les conventions des récits gothiques (…) sont réactualisées sous forme de gags. Le Monde, le 27 juin 96.
Positif
On savait le peu de talent de Robert Rodriguez, qui n’a qu’un sens très limité du cadrage et du rythme, mais on regrette que Tarantino dilapide son image en monnayant ses fonds de tiroir et en permettant qu’apparaissent sur l’écran de pâles reflets de son
Télérama
(…) ce brouillon de sous-culture est le vilain petit nanar de l’été. Télérama, le 26 juin 96.