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Shephard69
331 abonnés
2 259 critiques
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3,5
Publiée le 28 septembre 2015
Certainement l'un des plus beaux films sur le monde du sport et de l'athlétisme en particulier avec des thèmes forts comme l'esprit de compétition ou encore la lutte des classes et la ferveur religieuse traités de façon profonde et juste. Mais l'ensemble est plombé par un rythme très lent, pénible à suivre et au final peu captivant et une interprétation extrêmement surjouée. Fort intellectuellement mais émotionnellement assez fade.
Belle histoire et morale qui reste bien d'actualité. Sans oublier la légendaire musique de Vangelis qui mériterait d'être un peu plus présente dans le film !
Éloge de 1981, Chariots of fire avait conquis la critique par son récit historique, sa narration et sa bande son mais surtout par son avance cinématographique sur ce qui se faisait à l’époque, en étant nettement au-dessus des films de cet âge. D’ailleurs il reste agréable de nos jours avec une image et une réalisation correcte. C’est pas mal, mais ce n’est pas exceptionnel pour autant, le récit est trop linéaire, trop classique, prévisible et à l’eau de rose américaine. C’est néanmoins un film sur la course et les JO qualifié par beaucoup de culte.
Les chariots de feu est un film culte des années 80, qui a gagné l'oscar du meilleur film et qui a atteint le statut de film culte. Il se devait donc que je le voit, mais alors qu'es-ce que je me suis ennuyé. A part l'excellente musique de Vangelis et la magnifique scène d'intro que tout le monde connais je ne sais pas quoi retenir du film. Certes les acteurs sont très bon mais le film n'est pas passionnant, il est inintéressant et inutile. L'histoire n'a rien d’extraordinaire et la mise en scène est classique. Bref ce film n'a aucun intérêt et je ne voit pas pourquoi il a gagné l'oscar du meilleur film en 1982 ni pourquoi il est devenu culte. Pourtant d'habitude j'aime bien les films sur le sport mais alors là ça n'a aucun intérêt.
Un film sur la course, et plus précisément sur deux coureurs aux personnalités diamétralement opposées. Le film traite également du dépassement de soi et de l'amitié. Les acteurs, bien que peu connus, sont excellent. Les personnage ont de la profondeur, et même si on peut regretter quelques longueurs, celles-ci aident à comprendre les personnage. Enfin le final est magnifique et que dire de la musique, qui encore aujourd'hui reste trés célèbre. Un film qui pour moi mérite son oscar du meilleur film.
BO culte mais pas vraiment film culte. Un peu déçu du contenu de ce film car finalement, ce n'est pas forcément bien réalisé et raconté. Il y a quelques longueurs, quelques incohérences dans la façon de jongler avec les époques...Même étant accro de course à pied, je ne me suis pas forcément reconnu dans chacun des 2 personnages principaux. Ce que l'on peut retenir du film, c'est la force de caractère, les convictions et la volonté de ces personnages qui triomphent au final. La replongée dans le contexte de l'époque est aussi un point positif.
En 1919, en Angleterre, Harold Abrahmas démarre sa première année d'études. C'est là qu'il réalise pour la première fois l'exploit de parcourir le périmètre du collège en un temps record. Courir est pour lui un besoin, au delà de la passion. Il décide donc de concourir pour les Olympiades de 1924...
Malheureusement, le film ouvre des thématiques maladroitement confuses, dans un scénario qui ne dit en fin de compte pas grand-chose. On pourra retenir une très bonne réalisation de Hugh Hudson.
Bref, on suivra donc sans déplaisir l'évolution des athlètes, mais de là à frémir à leurs exploits ...
Portés par la sublime musique de Vangelis, «les Chariots de Feu» relatent le destin croisé de l’ascension sportive d’Harold Abrahams et d’Eric Liddell, issus de deux mondes différents et coureurs hors pairs aux glorieux résultats lors des JO de Paris en 1924. Réalisation très, voire trop académique de Hugh Hudson pour une histoire pleine de spiritualité et de dépassement de soi. Belle reconstitution des années 20 autour d’un casting de qualité majoritairement anglo-saxon. Un film qui ne va pas forcément plaire à tous de par ses longueurs mais qui personnellement me touche.
Classique immédiat. Les chariots de feu est un véritable hommage au sport, à la lutte incessante contre soi même, porté par une musique devenue culte. Des longueurs évitables toutefois.
Une superbe musique pour un film assez moyen , on n'arrive pas vraiment à rentrer dans ce film bourré d'aristocrate , c'est ce qui me déplait totalement dans ce film avec ces bourges bourrés de principes qui reflète l'image des élites , sinon les dialogues sont plats et on arrive pas à rentrer dans la ferveur de ces jeux olympiques
Très joli film, mais un peu en-dessous de mes espérances. On ne comprend que trop peu les motivations des deux héros, ce qui les porte. Le film manque d'intériorisation, ce dont on aurait besoin pour s'attacher à eux et se sentir réellement impliqué dans leur histoire. De plus, tout le long du film, j'ai eu l'impression qu'on cherchait à montrer la gloire du Royaume-Uni, et ce patriotisme trop avéré m'a dérangée. Cependant, il est beau de voir à quel point c'est en soi qu'on trouve la force de se battre et d'avancer. Et on ne pourra pas lui reprocher de se reposer sur ses comédiens, puisque aucun n'est extrêmement célèbre. (hormis peut-être Brad Davis vu dans Midnight Express) Quant à la bande-son, elle est extraordinaire, c'était d'ailleurs l'une des raisons pour lesquelles je voulais voir le film, pas étonnant qu'elle ait traversé les décennies. Des points faibles, mais je le recommande, c'est un film qui fait du bien.
Incompréhensible ! On m'annonce un chef d'oeuvre sur les véritables valeurs sportives, je tombe sur un film ultra-lent, désespérant de sentiments faciles. Soit il a extrêmement mal vieilli soit c'est un film qui fait partie de ces aberrations oscarisées sans aucune raison. Je ne trouve même pas la bande son si excellente que ça, vangelis est ici bien en dessous de ce qu'il fit pour 1492 . Franchement à peine un mois après l'avoir vu on ne se souvient de rien. Aucune scène marquante, aucune émotion particulière, aucun regain d'admiration pour les JO n'éclos de ce prétendu chef d'oeuvre.
Chariots of Fire, considéré par beaucoup comme un classique du cinéma, est surtout un film largement surcoté qui, on ne sait comment, a réussi à gagner 4 Oscars dont les convoités meilleur film et meilleur scénario. Les 30 premières minutes sont particulièrement pénibles car très mal structurées: Hugh Hudson s'emmêle les pinceaux dans les portraits des personnages et les époques, enchainant tantôt scènes du présent pour revenir dans le passé puis à nouveau dans le présent. La suite n'est pas mieux et l'intrigue ne fait qu'évoluer dans une totale linéarité y compris aux JO censés être l’apothéose mais qui ne sont en fin de compte qu'un soufflé qui retombe. L'histoire n'est finalement que très peu intéressante et c'est le gros défaut du film: on arrive pas à se passionner pour ces deux destins croisés. Aucune tension dramatique ne ressort du scénario ce qui est rédhibitoire. Les dialogues sont longs, plats et fades, accentuant un peu plus le manque de dynamisme qui ressort de l'ensemble. On se consolera avec quelques scènes d'entrainement et de courses bien filmées (et encore...), mais c'est tout.