Note moyenne
4,1
15 titres de presse
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Cahiers du Cinéma
Tonie Marshall parle des femmes, du monde des femmes, du corps des femmes et du langage des femmes, de leur demande d'amour, sans revendiquer une vision féministe ou militante du monde.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Si la réalisatrice (...) y décrit avec justesse et humour l'atmosphère feutrée et les petits secrets des instituts de beauté, ce sont ses personnages qui comptent. Et ils - elles, surtout - sont plutôt séduisants.
Les Inrockuptibles
Tonie Marshall a réussi un équilibre difficile entre cette émotion et humour vache, avec la fermeté d'un regard aigu et distancié sur son sujet. Un vrai bonheur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Une jolie variation sur le noir et le rose bonbon.
Le Figaroscope
Tonie Marshall n'a pas son pareil pour faire surgir des personnages qui tiennent à la fois de la caricature de café-théatre et de l'observation réaliste fine et sensible.
Le Monde
(...) la mise en scène, sans renoncer à accompagner le récit ni l'héroïne, s'ingénie à ouvrir des espaces de durée « superflue », des plages de temps où peuvent exister pour eux-mêmes les protagonistes et ceux qui les incarnent
Le Parisien
On peut promettre un bel avenir à cette histoire à fleur de peau, tout en sensibilité et en justesse d'interprétation
Première
Plus encore que l'idée de l'institut de beauté comme microcosme de la féminité, on aime la générosité de Tonie Marshall avec ses personnages (...)
Télérama
Tonie Marshall ne fait pas dans la sociologie de bazar. Si elle aime flirter avec l'intime, avec les métiers qui touchent à la vie privée (...) c'est pour être au plus près de ses personnages, détecter les failles, les fêlures, les incertitudes.
Positif
(...) un joli petit film, agréable et confectionné avec soin, mais assez répétitif (...), et presque aussi superficiel que les travers qu'il épingle.
Libération
C'est décidément la pente d'un certain cinéma agace-nerfs qui (...) prête aux femmes le soin de désintégrer, avec les armes d'un cinéma au mauvais goût assumé, ce qui nous reste encore de romantisme.