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    Calmos
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    112 critiques spectateurs

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    André P.
    André P.

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2023
    Il faut le voir pour le croire. Merci B.B. d'avoir avec brio donné vie à ses fantasmes, à contre courant des idées mais grâce à la liberté d'expression des années post 68. Ou quand le "mauvais goût" provocateur peut enchanter nos (trop) bonnes consciences d'aujourd'hui.
    Corinne76100
    Corinne76100

    46 abonnés 300 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2023
    Une distribution extraordinaire. Une première partie de film caustique et mordante à souhait sur la condition féminine puis une deuxième partie un peu nauséeuse et invraisemblable. A prendre bien sur au 2ème degré mais un peu indigeste quand même.
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2023
    Un panel de clichés des hommes, un inversement des rapports de force, très drôle au début plutôt stressant dans le ternier tier.
    OSC4R _
    OSC4R _

    75 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2022
    Juste après Les valseuses, Bertrand Blier se rachète une conscience.

    Comme à son habitude, il part d’une situation inhabituelle et la développe à travers ses personnages. Et comme à son habitude, il ne s’arrête pas à temps. C’est quasiment une constante chez Bertrand Blier : la dernière demi heure est en dessous du reste, qui lui même est en dessous de l’ouverture.

    Alors oui c’est marrant /!\ Spoiler de finir son film sur un vagin géant, mais ça vaut pas les deux premières scènes. La fin reste bien sûr intéressante et regorge d’idées, mais on perd le fil, progressivement.

    C’est à se demander si les effets visuels ne sont pas pensés pour être laids.

    "Nous ce qui nous fait bander, c’est le beaujolais, la blanquette, le tabac brun."
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    6 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2022
    Bertrand Blier est le spécialiste des films méta. Ici il s'agit d'une métahistoire relativement au fait que les hommes matures en ont assez des femmes. Il faut sûrement évaluer le film dans le contexte de la fin des années 70. Mais sur l'ensemble le film fonctionne et contient quelques séquences savoureuses et d'anthologie. Néanmoins ce n'est pas une histoire comme les autres et nous pouvons savourer les dialogues ou certaines scènes, mais l'ensemble est néanmoins un peu décousu. Nos deux personnages principaux que sont Jean-Pierre Marielle et Jean Rochefort, le premier gynécologue qui en a assez de mettre ses doigts et ses yeux dans les vagins de ses clientes, et l'autre qui est visiblement victime des femmes qui le croisent, séducteur à l'insu de son plein gré...
    Élément qui structure beaucoup le film surtout dans sa première partie et le fait que les femmes sont remplacées par de la bonne bouffe, des plaisirs du palais, avec des nourritures très grasses, très sucrées, avec beaucoup d'alcool. spoiler: La deuxième partie est beaucoup plus méta pour le coup et le film se termine à l'intérieur d'une femme ce qui est bien dans sa logique.
    En passant par la séquence des extractions industrielle du sperme de nos deux personnages, séquence savoureuse et délirante.
    Ce n'est pas un film pour toutes les sensibilités, mais il s'agit bien d'un film unique à forte hystérésis.
    Calmos
    Starwealther
    Starwealther

    77 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 juin 2022
    Film très provocateur de Bertrand Blier où les hommes décident de quitter les femmes pour vivre ensemble dans le seul plaisir plaisir de déguster de la bonne bouffe et du bon pinard. Certains passages sont drôles mais la plupart du temps, l'humour est très gras. Bertrand Blier adore montrer des sexes féminins poilus, peut être que ça choquait à l'époque, désormais cela est vraiment décalé dans notre monde où les femmes sont plutôt imberbes! Malgré un casting en acier (Jean Pierre Marielle, Jean Rochefort, Claude Piéplu, Bernard Blier, Gérard Jugnot, Dominique Lavanant), on ne croit pas vraiment à cette histoire où les femmes veulent coucher à tout pris, la fin baigne vraiment dans le grand n'importe quoi! Un Blier dont où on peut aisément se passer du visionnage.
    Dominique Pardo
    Dominique Pardo

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2022
    Excellent film le troisième de Bertrand Blier. Un quatuor d'acteurs succulents avec Bernard le papa qui distille des dialogues écrits au cordeau.
    Dommage que le son et l'image soient moyen. Il meriterait une restauration.
    Marc L.
    Marc L.

    45 abonnés 1 591 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2022
    En 1975, encore auréolé du succès des ‘Valseuses’ et bien obligé de ne pas céder un pouce de terrain dans sa mission sacrée de choquer le bourgeois, Bertrand Blier est au pied du mur. Fort heureusement, l’année internationale des femmes va lui fournir l’occasion de surenchérir par une provocation de sale gosse, soi-disant pour dénoncer les effets délétères du féminisme : puisqu’on parlait volontiers de “guerre des sexes” dans ces années-là, il ne lui restait plus qu’à étirer le concept jusqu’à son point de rupture. Mal lui en prit : la Gauche considéra ‘Calmos comme réactionnaire, la Droite comme pornographique et le public, échaudé par les critiques et interloqué par le résultat complètement bordélique à l’écran, ne répondit guère présent. Avec le recul, Blier lui-même parle d’une “connerie” mais il fait davantage référence au fait d’avoir négligé de préparer les choses en amont et en aval qu’à un quelconque regret de fond…car si on y réfléchit deux minutes, il est impossible d’envisager ‘Calmos’ comme un réquisitoire sérieux, un geste militant, une conviction profonde. C’est un doigt médian adressé au bien-penser tel qu’il était porté par les jeunes générations des années 70, très certainement, mais y voir autre chose que le jeu détaché de toute obligation morale qu’est le cinéma reviendrait à considérer ‘La grande bouffe’ comme un manifeste grossophobique. ‘Calmos’ est une fable, surréaliste dès ses prémices, et qui plonge dans un délire grandissant à mesure qu’elle s’enfonce dans une synthèse sous acide de ‘Mad Max’ et du Monty Python Flying Circus. Foncièrement, ‘Calmos’ ne s’en prend même pas aux femmes - d’autant plus que les hommes du film sont in fine encore moins reluisants : cons, lâches et conformistes - et qu’il n’est pas dans les habitudes de Blier d’épargner qui que ce soit, mais aux aspects virtuellement fascisants du féminisme, que Blier considère simplement comme un -isme comme les autres, et qui lui permet de s’amuser à inverser le même paradigme de domination que le ferait quarante ans plus tard le sous-estimé “Jacky au royaume des filles”. Au départ, ce sont simplement deux hommes, les toujours formidables Marielle et Rochefort qui, épuisés et lassés du beau sexe, se réfugient à la campagne pour renouer avec ces plaisirs essentiels que sont la nourriture, la boisson et le tabagisme. Fainéantise, déresponsabilisation et hygiène incertaine étant les mamelles de la masculinité en marcel taché qui se dévoile ici, toute cette partie du film, clairement la meilleure, renoue avec la verve truculente et rabelaisienne d’un certain cinéma français vieux d’un demi-siècle, celui qui ne s’excusait jamais d’être ordurier et de cracher par terre. La suite, lorsque cet ermitage en duo commence à faire école et suscite un casus belli entre les sexes, pose la même question qu’à chaque fois qu’on tombe sur un film de cet acabit : où est passée cette école française du cinéma dont le sens de l’absurde et la folie contagieuse n’avaient rien à envier à leurs homologues britanniques et américaines ? Bref, sale et mal élevé, ‘Calmos’ n’est certainement pas indéfendable car je ne pourrai jamais reprocher à un iconoclaste d’iconoclaster avec ce qui iconoclaste le plus dans le contexte qui est le sien mais il est, dans l’état actuel des choses, plus que probablement indiffusable .
    mickael l.
    mickael l.

    43 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2022
    J'ai beaucoup aimé la première partie . Deux hommes Marielle , Rochefort qui se connaissent pas et on point en commun de ne plus aimer les femmes qui les effrai. Bonne bouffe , petit village de campagne éloigné de tout . Un bon curé de village que Blier joue très bien . Puis comme souvent chez Bertrand Blier le film s'essouffle.
    On part dans tout les sens sans comprendre tout . La fin est décalée et bien . Au départ c'était Belmondo et Yanne qui devaient jouer le rôle, mais ils ont décliné, tout comme le rôle du chanoine qui avait été proposé à Gabin .....
    cinéman
    cinéman

    43 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2022
    Sans vouloir paraître bigot, je juge Bertrand Blier pour le réalisateur le plus vulgaire du cinéma français. Encore une fois , ce film témoigne de son obsession pour le sexe, et le langage ultra cru engendre un sentiment de malaise pour des oreilles délicates qui empêche de se laisser vraiment à rire. Quoi que moins prétentieux et plus loufoque que d'autres de ses films, je compte celui ci Calmos comme une de ses énièmes bouses, un ratage complet, et ne faisant aucunement exception à son triste répertoire (Combien tu m'aimes ? Trop belle pour toi). C'est dommage que Jean Rochefort et Jean Pierre Marielle aient accepté de participer à ce spectacle lamentable. Seules leurs lamentations misogynes peuvent faire sourire parfois.
    B
    B

    5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2021
    Un très bon film que je découvre du haut de mes 19 ans, on arrive à sentir le bon esprit français à travers ce dernier.
    J'aurais aimé mettre plus d'étoiles mais je reste tout de même un peu déçu de la fin qui devient beaucoup trop spéciale à mon goût.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mars 2021
    La belle époque du cinéma français : c'est osé, barjo, inventif. Le scénario aussi dingo soit il est sublimé par des acteurs fantastiques. La fin peut sembler bâclée, mais moindre mal devant le visionnage intégral de ce film 100% hors catégorie, entre liberté et cinéma juste pour le plaisir. A voir absolument (mais pas en famille hein).
    Gianclaudio Di Dama
    Gianclaudio Di Dama

    7 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mars 2021
    La bonne époque où le politiquement correct n'était pas de mise. Des répliques cultes, des situations cocasses, d'excellents acteurs qui s'en donnent à coeur joie. Un film comme on en verra, hélas, plus à cause des diktats de la bien-pensance actuelle.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 janvier 2021
    On est en 1976 et dans les années 70, le cinéma pouvait se permettre beaucoup de choses en terme de mœurs. De nos jours, ce film serait tout bonnement impossible. Paradoxe de la soi-disant évolution sociétale.
    Voilà 45 ans que "Calmos" est sorti, retraçant les pérégrinations de deux quarantenaires qui veulent juste être peinards, loin des femmes, des emmerdements, de la ville et des casse-couilles en tout genre. Un seul mot d'ordre ; la bonne chère.
    Ce long métrage n'est absolument pas misogyne (je repense à la scène des femmes militaires justement), ceux qui l'ont taxé de tel se trompent complètement. Il est question de deux compères qui veulent la paix et vivre comme bon leur semble, sans devoir quoi que ce soit à personne.

    Au final, un film frais, tirant sur la ficelle de l'absurde, de l'humour noir et traitant surtout de la liberté de choisir ce qui nous rend bien.
    yannick R.
    yannick R.

    107 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2020
    Chef d'œuvre gynécologique absolu, Calmos et ses dialogues ciselés sont une invitation permanente à l'homosexualité platonique. A voir pour le final totalement kubrickien, quelque part entre l'esthétique d'un 2001 et le propos de Orange Mécanique mais en plus sexué.
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