Une histoire banal à notre époque, peut-être, mais en 1965, Agnès Varda réalise un film sulfureux, rempli de réflexion, de clin d'oeil, poétique, beau, joyeux mais ceci ne serais pas finalement qu'une abstraction au reste ?
Avec "Le bonheur", elle nous emmène dans un univers impressionniste, les décors sont sublimes, ont est cerné de fleur, comme pour forcé cette gaieté, pour nous enivré, dans une ambiance coloré, aux frontière de la peinture tellement ont pourrais y voir une oeuvre d'art à chaque plan. Mais la vrai grande force de ce film, c'est la remise en question de l'amour, doit il être vécu avec une seul personne ? l'amour peut il se partagé ? mais surtout, à partir d'où l'idée moral arrive ... Agnès Varda choc part cette romance triptyque, d'un naturel incroyable, vrai couple dans la vie, Jean-Claude et Claire Drouot forme un couple authentique, et la cinéaste prend bien soin de montré les moindres petites choses du quotidien. Et élément qui donne encore plus de réalité, se sont leurs vrais enfants, tout ses détails donnent bien plus de relief. Mais malgré tout ceci, la palme reviens à la magnifique Marie-France Boyer, très belle, elle rentre parfaitement dans l'atmosphère, souriante, jovial, et terriblement excitante. Elle représente quelques chose comme le mal du bien, une personnification d'un surplus au bonheur, une addition, comme avec deux histoire d'amour, ont pouvais être deux fois plus heureux, mais jamais Agnès Varda ne va mettre les deux femmes en compétition, non, c'est le personnage de François qui en est la clef.
Envie, fantasme, "Le bonheur" frappe fort, et se pose comme une oeuvre qui marque le corps et l'esprit.
Je pense que chacun y verra sa perception, cependant, il est impossible de resté de marbre.
En somme, "Le bonheur" est un film d'une grande force, doté d'une musique de Mozart qui nous hante pendant et après le visionnage, avec des endroit magnifique, tant part les partie de campagne, que les appartements, les jardins ... bref, Agnès Varda nous montre un film d'une grande tristesse entouré d'un univers joyeux, ce parallèle est juste génial, ont ne peut pas être triste, mais ce final nous rend la gorge serré, avec une certaine incompréhension, voire de la colère ou pourquoi pas un sourire.
C'est cruel, empoisonné, c'est juste la vie en faite. Le bonheur à un prix, et celui là est bien trop cher ...