Derniers Avis sur RoboGeisha

RoboGeisha, le titre annonce la couleur de suite, une véritable japonaiserie qui avait l'air fun malheureusement c'est ennuyeux.
Le délire de ce film n'est pas assez explosif, il est trop long dans son genre rapidement du coup il devient pénible, et les défauts du films sautent aux yeux comme sa photographie terne, son jeu d'acteur léger, ses FX approximatifs.
Des défauts qui n'auraient pas été vraiment gênants si RoboGeisha était amusant à regarder mais ce n'est pas le cas, son humour vulgaire tombe à l'eau (comme des shurikens sortants par un orifice particulier ...) même ses scènes d'action ne sont pas fameuses.
Un film vite oublié dont le grotesque ne marche pas.

On se demande s'ils ont fait exprès de nous servir des dialogues aussi stupides.Certainement.Dés le début on se doute qu'on ne regardera pas ce film en entier car il s'agit réellement d'une farce avec des dialogues à donner la boule au ventre ou la nausée.Ce film très, très mauvais me fait penser à Casshern dans le style.Ils ont voulu se la jouer comique, genre parodie mais ça ne peut pas prendre avec un tel scénario.Film très pauvre. 28ème minute: j'arrête. Quand est-ce qu' Allociné ouvre la rubrique: Navets ?

Robogeisha est un film que je voulais voir depuis longtemps, et puis, échaudé par pas mal de critiques négatives, j’avais remis au lendemain son visionnage. Finalement je partage assez les mauvais avis sur ce film.
Certes c’est un gros délire, mais franchement, dans le genre ça ne vaut pas du tout, par exemple, un Tokyo Gore Police, probablement un des films les plus aboutis dans cette tendance japonaise de la loufoquerie erotico-gore. Le souci c’est qu’ici, ce film manque fortement de générosité, et de moyens aussi.
Certes il y a quelques idées amusantes, mais finalement Robogeisha n’est ni franchement drôle, ni érotique, ni horrifique. De sang, nous n’aurons essentiellement que quelques giclées numériques franchement moches à l’écran. D’érotisme ça ne dépassera quelques étudiantes en petites culottes et des gags en-dessous de la ceinture, et l’humour reste très minimaliste. En fait Robogeisha est presque sérieux sous le vernis loufoque, et ce n’est pas un robot géant qui danse ou des shurikens dans la culotte qui suffisent vraiment à faire surgir le rire. Encore, au début, pourquoi pas, mais lorsqu’on nous sert la séquence trois ou quatre fois, à un moment donné on espère plus.
Du coup ce film ressemble à un pot-pourri pas vraiment maitrisé, et plutôt inefficace dans les divers compartiments où il était attendu. Surtout qu’un film de ce genre s’adresse forcément à des amateurs de cinéma déviant qui attende tout sauf de la demi-mesure.
Formellement ce n’est pas terrible. Visiblement sans budget véritable, le réalisateur parvient quand même à offrir quelques scènes pas trop mal fichues sur le plan des effets spéciaux (le robot géant), mais pour le reste c’est souvent consternant. Les décors sont minables (quasiment pas d’accessoires ou de mobiliers dans les intérieurs par exemple), les scènes d’action restent très brouillonnes (le combat d’ouverture pose bien les choses), et le réalisateur ne maitrise pas la débauche d’effets visuels. Pourquoi un immeuble saigne des litres de sang par exemple ? Surtout du sang numérique moche au possible. Non, Robogeisha est trop souvent médiocre, malgré quelques séquences sympas. Il n’a pas vraiment d’ambiance, c’est juste un gros fouillis mi-numérique mi-bricolé plutôt fatiguant à regarder.
L’interprétation n’est pas spécialement marquante, mais c’est surtout lié à la faiblesse des personnages, dans cette histoire qui aurait pu offrir quelque chose avec un peu plus de sérieux et de tenu. Après tout, sur des excès très approchants Tokyo Gore Police parvenait à tenir une intrigue, appréciable ou non, mais il y avait un fond. Là tout est survolé, et les acteurs sont souvent réduits à des personnages de caricatures difficiles à épaissir. Surtout que les actrices, soyons honnêtes, sont surtout réduites à leurs charmes, et, le visage parfois caché sous leur masque, elles exposent largement leur physique. Pas mal de surjeu, de cabotinage, bref, les personnages et les acteurs sont à l’image du fond. La direction d’acteurs ne devait pas être bien lourde.
Je ne vais pas m’étendre davantage sur ce film qui représente ce que le cinéma japonais offre souvent de consternant. Entre l’humour qui n’existe que par ses excès mais se répète continuellement, son manque de générosité niveau effets horrifiques et son manque de soin total sur les fx et l’ambiance, Robogeisha, qui est perclus d’autres défauts ne plaira guère à grand monde. Si les spectateurs de cinéma « conventionnels » trouveront cela terriblement régressif et bidon, les spectateurs rodés au genre devrait trouver cela très timoré et plus foutraque que délirant. Comme je le dis souvent, le désordre dans un film est sûrement ce qui nécessite le plus d’ordre de la part de l’équipe de réalisation. 1

Voguant sur ce courant japonais de films délirants volontairement nanars faits de combats improbables, de monstres et de filles sexy, "Robogeisha" n'est qu'un indigeste et pénible assemblage de n'importe quoi.

Noboro Iguchi a lancé en 2008 avec son "Machine Girl" un vent de nouveauté sur le cinéma bis japonais en matière de liberté scénaristique et artistique basé sur l’explosion outrancière à l’écran de bizarroïde, de gore et de sexy totalement barrée (mouvement qui a été suivi dès la même année par Yoshihiro Nishimura avec son incroyable "Tokyo Gore Police"). Ayant bien apprécié son précédent film avec son écolière kawaï au bras mitrailleur défouraillant des têtes à tout va, j’attendais avec impatience son nouveau film, "Robo Geisha". On passera rapidement sur le scénario déjanté et tenant sur la face d’un dé 6 : Yoshie, assistante et sœur de la geisha Kikuyakko, a une puissance inhabituelle. Hikaru, le jeune chef de l'Armée Tengun reconnaît cette habilité, et décide de les recruter. Convaincues que ce dernier et son armée essaient de renverser le gouvernement corrompu, les frangines acceptent de subir des opérations visant à les transformer en de terribles cyborgs assassins. Iguchi continu son travail sur un nouveau cinéma expérimental pour un résultat des plus furieux : une caméra assez branlante, un univers baroque mais rempli de couleurs top flashy qui pourrait faire passer la bobine pour un bon vieux sentaï des familles et des idées visuelles d’une inventivité burlesque affolantes (des implants mammaires-mitrailleuses, les culs lance-shurikens, les katanas sous les aisselles, des seins au lait maternel acide, une geisha-tank et un fabuleux robot-château digne d’un kaiju eiga !!) Un festival de mauvais goût qui a au moins l’intérêt de recycler toute une culture iconique nippone avec l’esthétique d’un manga, mais qui malheureusement tombe tellement dans le grotesque qu’il en devient une mixture totalement indigeste. Un cocktail tout à fait opposé à celui de "Machine Girl" qui arrivait à nous charmer sans problèmes.
Robo Geisha n’arrive donc pas à la cheville du premier film d’Iguchi et est même en dessous d’autres productions du même acabit ("Meatball Machine", "Tokyo Gore Police", "Vampire Girl VS Frankenstein Girl", "Yakuza Weapon"). Bobine barrée à la limite du nanar, vous pouvez toujours l’apprécier à votre premier visionnage pour vous fendre la poire, mais de là à le regarder une nouvelle fois…

Nous sommes donc au Japon. Yoshi sert d'assistante à sa sœur, Kikuyakko dans son rôle de geisha. Cette petite cendrillon semble servir de domestique à la courtisane et subit moult humiliations et brimades de cette dernière. Comble de l'horreur, la grande sœur la punit même d'épice et Yoshi doit se contenter d'un riz sans saveur.

Bref, ici apparaît Hikaru Kanego, fils d'un puissant PDG. Ce dernier pousse alors Yoshi -et sa sœur après quelques péripéties- a rejoindre l'armée qu'il est en train de constituer soit-disant pour le bien du Japon. Or les soldats en question sont des geisha surentraînées qui, si elles font leurs preuves, seront opérées pour que des armes soient implantées dans leurs corps. Dernière étape éventuelle de ces métamorphoses : devenir une femme Tengu -un robot-. A la base les tengu sont des divinités du folklore Japonais représentées avec un long nez sur un visage rouge et portant des ailes.

Inutile de te dire ami lecteur que ce film est à prendre au 20ième degrés -à 100 près-. Il faut dire que RoboGeisha fait parti d'un genre tout à fait particulier : le V-Cinéma. Ce n'est pas du cinéma bas de gamme, disons que c'est juste un genre à part dont les films allient gore et situations grotesques. Le réalisateur de RoboGeisha, Noboru Iguchi est un des fleurons de ce cinéma nippon. Film de série Z assumé donc, complètement barré et maniant la provocation avec jubilation. Ce n'est pas subtil, ce n'est pas fin mais ça se veut drôle. Alors c'est débile, gore, décalé. J'ai adoré.

Disons-le franchement, le jeu des acteur n'est pas brillant mais on sent qu'ils y croient et qu'ils s'amusent beaucoup. Dans le rôle principal, celui de Yoshie Kasuga, on trouve une petite débutante Kiguchi Aya, qui s'en sort sans honte mais qui semble un peu fade.
Face à elle, Hikaru Kanego est plutôt convenablement joué par Saito Takumi que l'on a pu voir dans The Prince of Tennis.
Sinon j'ai pu retrouver un de mes acteurs fétiche du cinéma nippon, le génialissiment Takenaka Naoto dont la jubilation crève l'écran.
Quant aux effets spéciaux ils sont parfois complètement à la ramasse mais tant pis. De plus, j'ai trouvé que Noboru Iguchi abusait un peu des effets numériques et que parfois l'artisanat aurait eu plus de charme. Mais le pire de ce film reste sans aucun doute la bande originale, atroce et digne des plus mauvais pornos.

En tout cas, RoboGeisha est un festival de scènes plus délirantes les unes que les autres et de dialogues décalés. Sincérement, je comprends que la majorité ne sera pas sensible à cet univers mais personnellement je me marre juste en repensant à certaines scènes de RoboGeisha. Même que j'en redemande.

On se demande s'ils ont fait exprès de nous servir des dialogues aussi stupides.Certainement.Dés le début on se doute qu'on ne regardera pas ce film en entier car il s'agit réellement d'une farce avec des dialogues à donner la boule au ventre ou la nausée.Ce film très, très mauvais me fait penser à Casshern dans le style.Ils ont voulu se la jouer comique, genre parodie mais ça ne peut pas prendre avec un tel scénario.Film très pauvre.
28ème minute: j'arrête.
Quand est-ce qu' Allociné ouvre la rubrique: Navets ?

Robogeisha ou l'équivalent de "Batman et Robin" chez les Japonais. Des costumes ridicules, un humour pipi-caca, des combats qui virent dans le n'importe nawak (des tétons qui tirent de l'acide, des katanus qui sortent du cul...), des idées complètement barges (le robot temple à la fin m'a tué).

Il faut le voir pour le croire.

Encore une drôle de japonaiserie ! "Robogeisha" est un film totalement barré suivant un scénario ridicule et qui s'assume comme tel. C'est beaucoup moins sanglant qu'un "Tokyo Gore Police" ou un "Vampire Girls VS Frankenstein Girl", mais c'est toujours du grand n'importe quoi sans retenue, et j'insiste sur le "sans retenue" parce que le spectateur n'est jamais au bout de ses surprises... La réalisation a toujours un côté un peu amateur, mais il y a quand même une certaine maîtrise et des idées surprenantes, en tout cas les effets spéciaux sont dans le même ton que le reste du film. En somme, ce "Robogeisha" n'est pas pire que les autres films que j'ai cités et je l'ai même trouvé un poil plus amusant... Cependant, c'est le genre de film qui paraît très prometteur lorsqu'on voit la bande-annonce et qui laisse finalement un sentiment mitigé une fois que l'on a vu le produit dans son entier, sans doute parce qu'il n'y a pas de réelle substance dans le scénario ou même dans les personnages. Il ne reste alors au spectateur que quelques images délirantes pour espérer satisfaire sa cinéphilie, ce qui n'est malheureusement pas suffisant pour lui donner l'impression d'avoir vu un bon film...

Dans la droite lignée des films gore "Tokyo Gore Police", "Vampire Girl VS Frankenstein Girl" ou encore "The Machine Girl", ce nouveau délire gore japonnais s'avère divertissant mais pas aussi special et incroyable que les précédents films. Noboru Iguchi prouve néanmoins que le gore n'est pas forcement nessecaire et n'a pas besoin d'etre poussé à l'extreme pour amuser le public. En effent "Robogeisha" contient très peu d'éclaboussure, et le peu de scènes gores et sanglantes sont réalisé avec des effets gore numériques, ce qui change (malheureusement) des bonnes éclaboussures de sang vu dans TGP et compagnie. Robogeisha s'impose donc comme un film sans trop d'exces gores mais toujours avec la meme dose de délires et d'humour très décalé afin que le spectateur se fasse un bon trip. On regrettera toutefois certaines longueure qui jouent trop sur notre patience et le manque d'action à la fin du film. Les effets spéciaux toujours aussi mal fait, le jeux d'acteur toujours aussi mauvais et l'humour décalé toujours aussi taré, Noboru nous lvire tout de même un bon divertissement à voir au moins une fois mais qui nous laissera certainement indifferent contrairement à TGP ou le récent et exelent "Vmp Girl VS Frkn Girl". Domage pour la quasi absence de gore et les quelques longueurs ennuyante qui ne peuvent qu'accentuer l'ennuie du spectateur dû premièrement à une histoire trop simpliste et inninteressante. Attendons tout de même avec patience et espoir la prochaine sortie d'un DVD de "Mutant Girl Squad" pour une nouvelle série de délire gore dans cette superbe vague de splatter-movies japonnais, volontairement nanardesques et divertissants. 3/5

Du grand n'importe quoi !!!!! A chaque scène, on se demande: "Mais où vont t-ils trouver ça?". "Robo Geisha" est un film complètement barré à rapprocher, du point de vue conceptuel ( et non qualitatif malheureusement) d'un "Samurai Princess", d'un "Tokyo Gore Police" ou encore d'un "Machine Girl" pour ne citer que ceux là. Malheureusement, les effets spéciaux désastreux, des musiques affreuses digne des plus mauvais films porno et une surdose d'éxagération entraine une légère lassitude. L'amateurisme se ressent beaucoup également. Si vous voulez voire, dans un même long métrage, une maison volante qui vomit, des katanas qui sortent des fesses de jolies dames, une mitrailleuse greffée à la place d'un sein, des batiments qui saignent, un homme qui se fait crever les yeux par des crevettes, etc.... ce film est pour vous !!!!

Complètement déluré, comme les Japonais savent si bien le faire.
Très attrayant en bande annonce, mais malheureusement on succombe vite à l'ennui.
Heureusement que les Robo Geisha sont là pour surprendre !

Étant plutôt amateur de ce genre de "v-cinema alternatif nippon extrême" (Tokyo Gore Police, The Machine Girl, Hard Revenge Milly, etc.), ce RoboGeisha est assez décevant. D'abord le design général est plutôt moche, les effets spéciaux sont totalement ratés, le scénario ennuyeux à mourir (à moins que ce ne soit la mise en scène mollassonne et peu inventive – un comble pour ce genre de cinéma). Et puis, il y a trop d'effets comiques/second degré pas marrant du tout. En conclusion, le plus mauvais film que j'ai vu dans le genre.