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Un visiteur
3,0
Publiée le 20 mars 2012
Un peu lent et assez cliché... Alors comme ça les 2 lesbiennes ne peuvent s'epanouir sexuellement sans référence aux hommes? C'est presque anti féministe, comme si l'homme était un élément qui ne peut être occulte... Bref un film qui se veut indé et qui au final est super conventionnel... Mais ça se laisse regarder.
film qui traite des histoires, des doutes, d'un couple de lesbiennes après 20 ans de vie commune un élement va pertuber la petite vie tranquille de cette famille film intelligent pas voyeurisme du tout comique à certains moments se laisse regarder un casting de choix
Sur certains sujets de société, les américains ont une avance considérable sur nous : malgré une certaine rigidité morale dans le cinéma mainstream, le circuit indépendant arrive à parler de sujets grave et peu exploités avec réalisme et intelligence. Enfin, indépendant, c'est assez relatif puisqu'on retrouve ici 3 acteurs assez connu et régulièrement nommé aux Oscars. La réalisatrice est intelligente dans sa façon d'aborder le sujet et son scénario est très bien mené tandis que les rôles sont assez étoffés pour permettre aux acteurs de briller, l'alchimie fonctionnant parfaitement entre eux. Les ados sont aussi très bons et les quelques situations comiques reste crédibles. Portrait cruel mais réaliste de personnages un peu paumés, réalisation dans les canons du genre (tout en restant regardable), acteurs décontractés bref, un film agréable, qui amorce une réflexion spoiler: malgré une fin bien trop conventionnelle et conservatrice. D'autres critiques sur
Un film empreint de réalisme qui relate avec normalité la vie homoparentale troublée par les aléas de l'amour, l'infidélité et tous les autres soucis que l'existence amène comme dans une famille ordinaire. Et c'est sans doute cela la morale de ce film, celle que malgré la différence, nous sommes tous soumis aux mêmes doutes, peines et réussites, quelque soit notre orientation sexuelle. "The kids are all right", mot-à-mot " les enfants sont normaux" sont nécessairement un jeu de mot pour l'expression "the kids are ALRIGHT"; c'est-à-dire "les enfants vont bien".C'est une bonne surprise où l'on a plaisir à retrouver le duo Annette Bening-Julianne Moore pour une interprétation magistrale; bien même si ce n'est pas ce que cette dernière aura fait de mieux.
Ce qui est très fort ds ce film est que j ai vu un film sur un couple qui après 20 ans de vie commune et 2 enfants éprouvent des difficultés entre la routine la carrière de l un qui a effacée celle de l autre les frustrations l envie d être désirée par la personne qu on aime après 20 ans bref j ai vu un film sur un couple. Et non un film "gay" et c est ce que je trouve très fort
Une bonne critique de la bourgeoisie bobo ecolo californienne. La fin est tres politiquement correct : le couple lesbien resistera au macho destabilisateur. Tout ceci pour justifier que les homos peuvent etre des parents comme les autres (alors que les enfants ont l air un peu paumés). Honteuse et dangereuse propagande de bobos.
De bonnes critiques presse, d'assez bonnes critiques spectateur, ce qui ne sera pas trop le cas pour moi. Assez déçu par ce film qui chute au fur et à mesure que l'histoire se développe. Il démarre très bien, on s'attache vite aux personnages mais finalement on décroche et je trouve que le fil du scénario se perd dans des mésaventures diverses et des sentiments qui auraient pu être évités. La bande originale manque également de rythme. A noter cependant l'excellente interprétation de la distribution et la présence de la formidable Mia Wasikowska!!
Ca passe pas mal même si c'est relativement long, avec trop de retenue. On s'attend à ce que ça lache, à ce qu'il se passe quelque chose de fou, et puis en fait non, ça reste très plat. Dommage. Ca se regarde quand même.
Une comédie dramatique assez sympa qui, sans être géniale, parvient à nous intéresser à son sujet sans forcément s’ériger en porte-drapeau d’une quelconque cause sociale (ce que la presse ricaine ne s’est pourtant pas gênée de faire). Ca ne restera pas dans les annales, et ça n’a de doute façon aucunement l’ambition d’y être, mais on passe un bon moment devant les situations cocasses rencontrées par nos différents protagonistes, qui bénéficient il faut le dire d’une prestation d’ensemble fort convaincante.
9/20. C'est peut être un peu sévère, mais ce film est trop prévisible, on s'ennuie un peu, d'ailleurs j'ai failli l'arrêter au bout de 20 minutes, j'ai continué ce film grâce aux belles prestations de Annette Bening et Julianne Moore, une histoire assez bien écrite, mais ce film est à voir une seule fois.
Une bouffée d'air frais... Certes ce n'est pas parfait, mais voilà, c'est sympa, ça fait sourire et ça redonne le moral, alors que demander de plus ? Personnellement, dans ces cas là, je ne demande rien de plus. Trés réussi.
"Tout va bien, The Kids Are All Right" est un long-métrage intéressant grâce à plusieurs aspects : - le casting est reconnu et tous jouent bien leur rôle ; - le scénario est original et abordé avec une réalisation plaisante ; - la mise en scène complète bien l'histoire. Malgré tout, l'ensemble est bon mais là est le problème : c'est un film pas mal, sans plus, et qui ne sort pas du lot.
Les films traitant d’un sujet aussi délicat que l’homoparentalité sont rares et sont souvent cantonnés dans la niche des films gays à l’audience réduite et au public déjà sensibilisé sur le problème. En outre le paradigme sous-tendant la plus parts de ces œuvres se fait plutôt sur la difficulté de devenir parents pour les couples de même sexe, voir par exemple la comédie suédoise « Patrik 1.5 » ou le drame français « Comme les autres ». Dans cette comédie américaine le point de vue change puisque l’on part d’une famille homoparentale déjà constituée où les deux enfants du couple, surtout le garçon, s’interrogeant sur le donneur de sperme qui leur a permis de voir le jour vont amener ce dernier dans leur environnement et provoquer l’apparition de tensions sous-jacentes. Le casting du film est grand luxe avec les excellentes Annette Bening et Julianne Moore en couple lesbien un peu usé par le temps et Mark Ruffalo en donneur de sperme, coureur rattrapé par une envie de paternité qu’il ne soupçonnait pas. Le film évoque des problèmes qui ne sont finalement pas spécifique aux couples de même sexe : l’usure du couple, le départ des enfants du foyer, le malaise adolescent, la présence d’une tierce personne dans le cas de fécondations médicalement assistées. Si le début du film amène les choses de façon plutôt bonne, il s’enlise un peu dans les problèmes ainsi créés et ne parvient pas à donner une conclusion du même calibre pour se contenter d’une fin un peu elliptique où les problèmes soit, ne trouvent pas de véritable conclusion, soit s’achèvent de façon abrupte. Un film plaisant et courageux pour son sujet, mais qui a du mal à bien développer un synopsis prometteur.
L'histoire de deux mamans des mêmes enfants et du père unique mais seulement génétique. Vous me suivez ? Si je vous dit que les deux mères vivent dans le même lit ça se clarifie ? Ah ça s'embrouille, alors passez votre chemin. Si le cinéma indé n'existait pas, il faudrait l'inventer pour savourer toutes ces histoires plus abracadabrantes les unes que les autres sur tous les originaux du grand pays du cinéma. Ici, on retrouve nos vieux complices, Bening, Ruffalo et Moore un peu plus vieux mais encore en pleine forme. Les casting des seconds couteaux est bien agréable à regarder également. Le scénario est presque à sens unique tellement tout est fait pour le rire ou l'émotion. Mais si c'est facile, c'est quand même du « easy seeing » bien écrit et fin alors on se laisse faire avec plaisir. D'autant qu'au moment où l'on ne sait plus comment la réalisatrice va finir son film, elle trouve une super remarque qui remet toutes ces grandes envolées à l'étage pragmatique, réducteur mais tellement réaliste. On ne peut passer sous silence le fait que le film parle de l'homoparentalité et que même si le côté Bisounours peut énerver, vue la décomposition dans les familles hétérosexuelles, on ne va pas ouvrir le débat. On peut bien faire un cadeau de temps à autres aux minorités sexuelles sans avoir mauvaise conscience. Les majoritaires n'avaient qu'a plus faire d'efforts depuis 40 ans pour préserver le modèle « unis pour le meilleur et pour le pire » !