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Votre avis sur Le Crapaud et le Maître d'école ?
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➖Avis bref :
le crapaud et maître d’école est le 11eme Classique d'animation des studios Disney. Il est composé de deux moyens-métrages : La Mare aux grenouilles et La Légende de la Vallée endormie. C’est la dernière compilations de courts/moyens-métrages et sûrement la meilleure. Deux contes très sympa, surtout le second. Partagez entre mésaventure d’un crapaud puis celle d’un maître d’école, des histoires plutôt culte avec de bonnes références. Cela reste toujours pour les plus petits même si moins narratifs que les précédentes.
Enfin bref, encore un peu trop enfantin pourtant, pas si dérangeant
le crapaud et maître d’école est le 11eme Classique d'animation des studios Disney. Il est composé de deux moyens-métrages : La Mare aux grenouilles et La Légende de la Vallée endormie. C’est la dernière compilations de courts/moyens-métrages et sûrement la meilleure. Deux contes très sympa, surtout le second. Partagez entre mésaventure d’un crapaud puis celle d’un maître d’école, des histoires plutôt culte avec de bonnes références. Cela reste toujours pour les plus petits même si moins narratifs que les précédentes.
Enfin bref, encore un peu trop enfantin pourtant, pas si dérangeant
Disney avant d'être Disney c'est vraiment pas terrible. Dans ce film, nous avons deux histoires : Le Crapaud et le maitre d'école. La 1er histoire est ok mais la 2e est vraiment mauvaise... pas mémorable
Deux histoires réunies en un seul film où Disney semble se reposer sur ses acquis et tomber dans la monotonie depuis "Bambi", les histoires et l'animation n'ont rien d'extraordinaires même si certaines séquences sortent du lot dont le conflit avec les belettes et la chevauchée d'Ichabod de nuit qui sont de vrais grands moments d'animation.
Deux courts métrages de 1949 qui reprennent un classique anglais Le vent dans les saules 1908 et un américain La légende du cavalier sans tête 1820. Sur une mode Disney cependant qui a beaucoup vieillie notamment le style narratif, lent et avec un choix d'histoire s'il est positif dans le premier cas avec de l'humour, cherche aussi dans le second a avoir beaucoup d'humour très différent de la version de Tim Burton de Sleepy Hollow plus proche du roman d'origine mais avec une fin de l'histoire en queue de poisson qui est ou est devenue une fort mauvaise idée
spoiler:
le maître d'école passe le pont ce qui laisse entendre qu'il est sauvé mais le tout ambigüe de diverses façons
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RealPrime
Mêler un contre mi policier mi aventure et conte d'horreur mythique, Disney signe là son film le moins percutant à mes yeux tant le premier récit n'aura pas laisser grandes chances de développement au second. Si l'animation reste encore une fois impeccable pour son époque, le récit du premier court-métrage rend un hommage net à Sherlock Holmes et donne une bonne aventure avec ce crapaud escroc. Le jeu du rat reste excellente et fait honneur au signe distinctif anglais, Blaireau est également un personnage culte mais son apparition ne dure malheureusement pas assez longtemps. La seconde donc avec ce maître écolier à la marche distinctive et au nez reconnaissable s'offre plus une courte aventure romantique accompagnée d'un match de virilité avec le prétendant ennemie à sa promise plutôt qu'à la virée horrifique avec le cavalier sans tête. Le dynamisme de cette trop courte séquence Halloween est décapante mais comme je le disais, trop peu pour que l'affiche se permette une façade horrifique. A ce jour et dans l'ordre chronologique des classiques Disney, celui-ci en est le plus décevant.
Thibault F.
Drôlement original malgré un léger goût d'inachevé qui se ressent à de nombreuses reprises que ce soit dans la première histoire que dans la seconde. En effet, "Le Crapaud et le Maître d'école" fait partie de la longue liste des Disney des années 40 qui compilaient de manière régulière de nombreuses histoires issues de la culture populaire (ici, il est question notamment de la "Légende de Sleepy Hollow). Pour ma part, le premier épisode qui traite d'un crapaud fougueux et intrépide ne m'a pas fasciné notamment dans son traitement sur la question de la loi, la justice et de la folie. En revanche, le second est tout bonnement excellent notamment dans son traitement de la thématique de la mort et de la terreur (oui, oui, croyez moi, la seconde histoire donne quelques frissons). Bref, un très bon moment même si dans la technique, que ce soit la photographie ou la réalisation, rien n'est très transcendant. On se penchera uniquement sur les personnages et leurs histoires
Ce classique de Disney que je trouve méconnu et l'impression que peu de gens en connaissent l'existence est pourtant une réussite totale. Il fait partie, pour moi, de la meilleure période du studio Disney (les années 40, 50). Les deux histoires composant ce classique sont un vrai régale et superbement narrée. Même si les deux m'ont beaucoup plût, ma préférée restera le récit du maître d'école. Cette histoire est terriblement drôle et le personnage principal (Ichabod Crane) y est pour beaucoup dans cette drôlerie. Son physique hors-norme le rendant tantôt comique, attachant et tantôt maladroit et peureux est un pur moment de rire. Les dessinateurs du studio s'en donnent d'ailleurs à coeur joie et débordent de créativités et d'idées surtout dans les expressions physiques et faciales de ce cher Ichabod. Les animations sont comme toujours exceptionnelles et parfaitement mises en place. Bref, ce film vaut d'être découvert et sa magie y est toujours intacte après tant d'années.
C'est bien la dernière compilation de courtes histoires du studio Disney, et pas la moins bonne, au contraire, c'est sûrement la meilleure avec Coquin de printemps, mais même au dessus à mon avis.
Le premier court n'est pas incroyable d'originalité, mais il a le mérite de nous présenter une histoire britannique très célèbre, mais pas très connu par contre au delà de leur frontières. Cette histoire met en scène des personnages extravagants et marquants, en particulier le principal, M. Crapaud Baron Tetard. C'est vraiment agréable à suivre, c'est bien édulcoré, ca va vite, et pour la première fois de tout cette série de film à sketchs, j'aurais aimé que ça dure plus longtemps. C'est vraiment très sympa, avec en prime une scène finale complètement folle (dans le sens folie).
La seconde reprend la Légende de Sleepy Hollow et de son Cavalier sans tête, histoire que j'affectionne particulièrement et plus connu de tous depuis le superbe film de Tim Burton. Evidemment ici ce n'est pas à ce niveau, déjà parce que c'est beaucoup moins long (encore une fois ça aurait pu duré plus longtemps), de plus c'est Disney donc ça ne peut pas aller aussi loin dans le dark. Cependant ce second court est une véritable pépite, avec une musique d'intro qui reste en tête, et mettant en scène un personnage (Ichabod Crane) pas forcément très bon dans ses motivations, puisque c'est plus ou moins un gars intéressé. Et puis surtout, on y instaure une atmosphère plus sombre dans la seconde partie, du jamais vu dans les classiques Disney, à moins que mes souvenirs me fassent défauts. Jeu d'ombre, pénombre, décors et forêt flippante, jumpscare, plein de bruitages dérangeant, montage nerveux... Jusqu'à l'apparition du fameux Cavalier sans tête, le tout nous donnant une bonne scène d'épouvante qui peut effrayer pour sur plus d'un gamin. Et en plus, l'histoire ne se finira pas bien, pas pour tout le monde en tout cas.
Le seul problème du film, c'est qu'on peinera à trouver le lien entre les 2 histoires. Mais il a réussit à tirer son épingle du jeu, et bravo pour ça.
Le premier court n'est pas incroyable d'originalité, mais il a le mérite de nous présenter une histoire britannique très célèbre, mais pas très connu par contre au delà de leur frontières. Cette histoire met en scène des personnages extravagants et marquants, en particulier le principal, M. Crapaud Baron Tetard. C'est vraiment agréable à suivre, c'est bien édulcoré, ca va vite, et pour la première fois de tout cette série de film à sketchs, j'aurais aimé que ça dure plus longtemps. C'est vraiment très sympa, avec en prime une scène finale complètement folle (dans le sens folie).
La seconde reprend la Légende de Sleepy Hollow et de son Cavalier sans tête, histoire que j'affectionne particulièrement et plus connu de tous depuis le superbe film de Tim Burton. Evidemment ici ce n'est pas à ce niveau, déjà parce que c'est beaucoup moins long (encore une fois ça aurait pu duré plus longtemps), de plus c'est Disney donc ça ne peut pas aller aussi loin dans le dark. Cependant ce second court est une véritable pépite, avec une musique d'intro qui reste en tête, et mettant en scène un personnage (Ichabod Crane) pas forcément très bon dans ses motivations, puisque c'est plus ou moins un gars intéressé. Et puis surtout, on y instaure une atmosphère plus sombre dans la seconde partie, du jamais vu dans les classiques Disney, à moins que mes souvenirs me fassent défauts. Jeu d'ombre, pénombre, décors et forêt flippante, jumpscare, plein de bruitages dérangeant, montage nerveux... Jusqu'à l'apparition du fameux Cavalier sans tête, le tout nous donnant une bonne scène d'épouvante qui peut effrayer pour sur plus d'un gamin. Et en plus, l'histoire ne se finira pas bien, pas pour tout le monde en tout cas.
Le seul problème du film, c'est qu'on peinera à trouver le lien entre les 2 histoires. Mais il a réussit à tirer son épingle du jeu, et bravo pour ça.
Peu divertissant, peu attachant, Le Crapaud et le Maître d'Ecole rejoint la liste des pires ratages du grand Walt Disney. Les personnages et l'histoire n'ont à vrai dire rien d'étonnant ni d'intéressant. La magie des classiques disney n'y est absolument pas présente. Très passable.
Le Crapaud et le Maître d'école est un Disney qui se regarde mais on est loin des Disney cultes. Les deux petites histoires (sans aucune liaison entre elles par ailleurs) sont sympathiques à regarder (surtout celle du chevalier sans tête, rendue plus célèbre grâce au très bon Sleepy Hollow de Tim Burton). Les doublages (en version originale) sont tout à fait corrects. L'animation est très bien. Les chansons en revanche sont en-dessous de ce que nous offrir Disney.
Un Disney plutôt moyen.
Un Disney plutôt moyen.
Un classique globalement réussie des studios Disney avec une animation réussie, des personnages drôles et attachants, un scénario original et des musiques sympathiques.
Un classique globalement réussie des studios Disney avec une animation réussie, des personnages drôles et attachants, un scénario original et des musiques sympathiques.
Deux excellentes adaptations made in Disney de Du vent dans les saules et de Sleepy Hollow! C'est frais, drôle et bien réalisé, à noter que les fouines de Roger Rabbit venaient de ce la première partie consacrée à l'histoire du crapaud. La version disney de sleepy hollow est régal de mise en scène où on s'étonne des ressemblances plan pour plan entre cette version et celle de Tim Burton. A ne pas manquer, dommage qu'il soit si peu connu!
Ces deux courts métrages bénéficient d'une animation classique de très très haut niveau (excepté peut-être quelques plans de la poursuite finale à cheval de la deuxième moitié).
Ou j'ai un peu plus de mal c'est au niveau du scénario que ce soit dans l'histoire du crapaud qui souffre d'un ventre mou et la fin de celle concernant le maître d'école qui finit en queue de poisson comme ci elle avait été édulcorée.
En tout cas à fortement recommander aux plus jeunes en les prévenant toutefois que le cavalier sans tête de la fin est très impressionnant !!
Ou j'ai un peu plus de mal c'est au niveau du scénario que ce soit dans l'histoire du crapaud qui souffre d'un ventre mou et la fin de celle concernant le maître d'école qui finit en queue de poisson comme ci elle avait été édulcorée.
En tout cas à fortement recommander aux plus jeunes en les prévenant toutefois que le cavalier sans tête de la fin est très impressionnant !!
Un film, divisé en deux récits racontant simplement deux histoires, hors nos certaines scène assez drôle, on passe à côté de l'intérêt qui n'y est pas. Raconté des histoires qui ont un suspense trop simple et qui ont presque pas de complications ne peut faire attacher le lecteur.
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