Derniers Avis : Buried - Page 5

Que dire? Un film si vide que je pourrais écrire le scénario sur une feuille de papier à cigarette.
Beaucoup de commentaires indiquent: "Un homme dans un cercueil, avec un Zippo, un téléphone et une lampe". Et bien voilà, on vous a spoilé tout le film!

Nous ne savons pas dans quel désert se trouve le personnage, mais il faut avouer qu'il a un réseau exemplaire. Il capte dans une boite à 6 pieds sous terre, les appels sont clairs, et, le pire, il envoie des vidéo en MMS plus rapidement que sur du wifi.
Je ne sais pas ce qu'il boit, mais vu la vitesse d’inflammation je n'aimerais pas être son foie.

Bref je ne sais pas quoi dire d'autre, Nous savons qu'il ne fait pas bon de bosser dans son entreprise et que sa femme regarde la TV avant son répondeur.
Ah oui, il y a un serpent qui vient dire bonjour.

On peut aisément affirmer qu'aucun autre film ne correspond au terme "huis-clos" mieux que celui-ci. 1h30 d'enfermement à sérieusement déconseiller aux claustrophobes, avec pour seule compagnie Ryan Reynolds et un cercueil. Dire que le film traîne quelque peu en longueur serait un doux euphémisme tant l'ennui est quasi-omniprésent durant tout le visionnage. Buried aurait sans doute mérité un réalisateur plus aguerri pour réellement nous bluffer. Une véritable déception!

La fin du film gache tout ce qu'on a regarder jusque là, un film pas mal mais qui avec cette fin nous fait dire "mouais".

« Buried » est un excellent thriller. Il propose une histoire relativement simple, mais propose une mise en scène de manière remarquable à travers un scénario des plus marquants. La performance de Ryan Reynolds est tout à fait mémorable. La seule contrainte, ne pas souffrir de claustrophobie aiguë pour visionner ce film…

L'idée de départ plutôt bonne, se transforme en un véritable moment d'ennui, on le film devient répétitif et lassant. Je n'ai pas accroché, j'ai trouvé ça long, et le principe de filmer dans un lieu unique, n'est pas ma tasse de thé. Autant je reconnais l'excellente performance de Ryan Reynolds, autant le scénario ne pas m'a emballé. Bref je l'ai vu une fois et ça me suffit largement.

Super angoissant et avec une portée symbolique pleine de pessimisme (mais de réalisme ?). Pour public averti.

Deuxième long-métrage du réalisateur espagnol Rodrigo Cortés, "Buried" est le premier à avoir eu les honneurs d'une sortie française. Auréolé de quatre prix glanés au Festival du Cinéma Américain de Deauville et à l'édition 2011 du Goya, "Buried" est un huis clos étouffant qui repose sur la prestation d'un seul et unique acteur : Ryan Reynolds. Conçu à la manière d'un épisode de la série "24 heures chrono", Paul Conroy a une heure trente pour sortir de son emprisonnement, soit la durée du film, un exercice de style auquel le réalisateur se plie avec astuce et savoir-faire. L'idée de tourner un long-métrage de quatre-vingt-dix minutes avec un seul et même lieu confiné était sur le papier assez bancale. Passées la surprise et l'empathie que suggèrent la situation, la principale crainte du spectateur est de voir le film plonger dans une lenteur et une linéarité mais c'était sans compter sur la maîtrise scénaristique du cinéaste hispanique. Avec comme seul moteur scénaristique un téléphone portable, Cortés passe en revue l'essentiel des sentiments, sensations et interrogations qui peuvent miner un homme victime d'une telle séquestration. Si on voit très peu le visage de Ryan Reynolds à l'écran, il restitue pourtant à merveille tout le désarroi de son personnage, son instinct de survie comme sa claustrophobie sans oublier son incompréhension face aux différents interlocuteurs avec qui il s'entretient via le téléphone portable. spoiler: Non content de nous livrer un thriller haletant où le suspens est permanent, Rodrigo Cortés dresse par la même occasion un portrait critique et horrifiant de l'administration américaine qui, au final, fera plus de mal à ce Jack Conroy, que ses geôliers désespérés
. spoiler: Contrôle de l'information, désengagement de toute responsabilité, décryptage des errances de l'invasion et de la stratégie américaine en Irak, "Buried" n'avance pas sur ce chemin à reculons mais assène des vérités et traite d'aspects qui ne plairont pas aux guerriers conservateurs américains.
Dense, cohérent et jouant sur plusieurs tableaux, ce second long-métrage de Rorigo Cortés séduit par cette alternance permanente entre les différentes "vies" que traverse Paul Conroy, spoiler: son contact avec sa famille aux Etats-Unis, celui plus violent avec ceux qui le détiennent et enfin l'espoir de plus en plus infime que lui distille le FBI, lui révélant au compte-gouttes les chances de survie qui lui restent.
Ajoutez à cela un final éprouvant - dans le bon sens - pour le spectateur et une empathie perpétuelle et nous voilà en présence d'un excellent divertissement qui, cerise sur le gâteau, pousse à la réflexion. Que demander de plus ?

Précédé d'un gros buzz médiatique plutôt flatteur juste avant sa sortie, "Buried" a rapidement suscité la crainte et l'admiration pour son scénario, original à souhait. Réalisé par un cinéaste espagnol en quête de reconnaissance ce thriller claustrophobique avait pourtant de quoi séduire mais les séquences sont trop redondantes. Paul Conroy, chauffeur de camion américain basé en Irak, se réveille enterré vivant dans un cercueil en bois, avec seulement une lampe, un couteau un briquet et un téléphone en sa possession. Il lui reste 90 minutes pour s'en sortir et comprendre qui l'a mis là. Basé sur un scénario audacieux qui brille par son originalité, "Buried" est un projet périlleux qui malgré une très bonne réalisation ne parvient pas à tenir en haleine et à captiver pleinement. Aux commandes, Rodrigo Cortès impressionne et maîtrise totalement son sujet, il sait où lacer le caméra. Dans un espace ultra restreint, les plans captent l’essentiel se permettant quelques effets de style bienvenus. L'agilité dont il fait preuve permet de rendre l'atmosphère oppressante, on se sent comme prisonnier du cercueil. Tourné en seulement dix-sept jours avec un casting restreint et un budget symbolique, le film propose une critique très intéressante de la politique américaine sur la prise d'otages à l'étranger qui fait froid dans le dos. Mais outre le côté technique du long-métrage, le procédé montre rapidement ses faiblesses avec des discussions téléphoniques redondantes, des sursauts d'humeur répétitifs, quelques invraisemblances (comme capter du réseau sous terre ou le fameux briquet Zippo) et un manque de rythme, de nombreuses longueurs viennent plomber la progression de l'histoire alors que le film ne dure qu'une heure et demi. L'interprétation de Ryan Reynolds, omniprésent du début à la fin, est plutôt convaincante et on ne peut que saluer son investissement physique et psychologique. Ainsi, "Buried" est un huis-clos ennuyeux et répétitif qui malgré une excellente réalisation peine à convaincre.

Ce film n'est pas à cataloguer dans les films d'horreur. Ce concept inédit est un genre à lui tout seul, impossible à faire rentrer dans une case, si ce n'est dans la case "angoissant".

Ryan Reynolds, seul en scène, nous sert une interprétation étonnante et terrifiante d'un homme à qu'il ne reste que spoiler: le temps qu'une batterie de téléphone qui se décharge
pour survivre. On est loin de son rôle dans "La proposition" avec Sandra Bullock, et c'est là que son talent est remarquable.

Ce film n'est pas une révolution en soi, mais une petite perle dans son genre. A voir absolument, sauf si on est claustro.

Critique complète sur mon blog au lien suivant:

Le huis clos type avec pour casting … un seul acteur, qui remplit très bien le rôle pour un film correct assez intéressant et divertissant. On reste tenu en haleine devant cette unique scène même si on perd en attention sur le milieu. La fin est bonne, rendant Buried correct. Néanmoins, on est moins captivé que devant Phone Game par exemple, on n’a pas cette tension qui aurait rendu ce film bien meilleur. Il manque un petit quelque chose.

Un thriller dans un cercueil...si c'est possible ! Suspense haletant jusqu'à la dernière seconde. Brian Reynolds top dans ce qui pourrait apparaître comme un contre emploi.

Ryan Reynolds ! C'est acteur qui m'a toujours laissé ... complètement indifférent. Il faut reconnaître que niveau film, j'en connais très peu avec lui et cela ne m'a pas toujours attiré. Entre des comédies simplistes comme La Proposition, ou des blockbusters qui se foirent comme Blade Trinity et X-Men Origins : Wolverine (qui n'est pas détestable malgré tout), niveau carrière c'était un peu en dent de scie (plus dans le creux qu'au sommet). Et puis un jour, il a obtenu le rôle principal pour Buried. Et ce dont on va parler aujourd'hui !

Buried raconte l'histoire de Paul Conroy, convoyeur américain dépêché en Irak, qui a été attaqué par des terroristes et enterré vivant dans un cercueil en plein désert. Avec comme seuls objets un téléphone portable, un critérium, une lampe, une bougie, un briquet et ... de l'alcool (enfin je crois que c'est ça), il va essayer de trouver un moyen de s'en sortir et essayer d'appeler du secourt. Mais il devra faire vite car l'heure tourne et il ne sait pas pendant combien de temps il va rester en vie.

Alors que penser de ce film. Au premier visionnage, j'ai trouvé ce 8 clôt génial, un super chef d'oeuvre. Mais en regardant d'un peu plus près, j'ai eu la mauvaise impression que ce film était assez imparfait et qu'il essayait trop d'être un chef d'oeuvre pour se planter à la fin.

D'abord la réalisation. Elle est quand même assez intelligente là rien à dire. On voit plusieurs plans américains et de gros plans qui permettent de se rendre compte de la détresse de Paul. Il y a pas aussi des travelling arrières qui sont utilisés afin d'appuyer un peu plus sur la détresse. Et c'es là d'où vient le premier problème, c'est le parallèle entre détresse psychologique et détresse physique. Pendant une moitié du film ça va, il y a un bon équilibre, surtout que d'utiliser la charge du portable comme élément de tension c'était bien trouvé, et ensuite au fur et à mesure qu'il désespère tantôt à cause des opérateurs et des instances de l'ordre qui lui donne un semblant d'espoir ou alors lorsqu'il contact sa famille et ces amis. Plus il s'enfonce dans le désespoir plus les choses semblent tourner mal pour lui. spoiler: Car entre le serpent qui sort de nul part et le cercueil qui cède, il a de quoi paniquer !
Déjà, cela donne un degré de tensions supplémentaires et montre que son espérance de vie ce raccourcis. Par contre, je trouve que ça essaye trop dans le drame et que cela aurait été bien plus impactant s'ils avaient garder le portable comme élément de tension, alors que finalement, il est quasiment relégué en guise de contact vers l'extérieur. Et là, ça a tout de suite moins de porté.

Ryan Reynolds prouve enfin qu'il sait jouer (il était temps !). Car ces précédents rôles , les réalisateurs ne l'ont jamais utilisé vraiment à fond. Là il prouve qu'il peut incarné d'autres rôles que celui de comic relief ou de héro martyrisé (et je ne parle même pas du pseudo Deadpool). Et ça lui va plutôt bien.

La musique est géniale mais mal utilisée et même parfois inappropriée. Oui elle est épique et c'est cool, mais dans un 8 clôt de ce type, ils auraient du mettre une musique plus angoissante à certains moments. Alors que là non c'est assez décevant.

Autre chose de décevant, c'est le scénario en lui même. Au début ça va il introduit très bien le personnage et on sent pas la répétition avec le film 127 h qui joue sur le même thème. Il introduit le personnage d'une même manière et progressivement et puis c'est classe. Mais au fur et à mesure ça se dégrade; en effet on a l'impression qu'ils veulent tellement mettre de la tension que les éléments se confrontent. spoiler: Déjà, d'où viennent tous ces ustensiles ? Au départ il a un briquet puis pouf ! Il a une lampe torche ! Et pouf encore un briquet ! Décidez - vous bon sang ! A quoi ça sert d'avoir une lampe torche si tu as un briquet ? Utilise ta lampe torche dès que tu t'en rends compte et n'utilise plus ton briquet qui bouffe ton air !
Et le film est rempli de ce genre de truc assez bête. Mais le plus décevant c'est la fin. Car je ne comprends pas ce délire de nous montrer qu'il va s'en sortir et que finalement non (mais plutôt la manière dont ça se termine qui est décevant).

Bref, un film assez paradoxale mais quand même cool pour un huit clôt, mais qu'il essaye beaucoup trop d'être dramatique vers la 2e moitié du film. D'ailleurs certains dialogues avec les instances sont à mourir de rire et permet au réalisateur de montrer un peu les failles du système, en nous montrant le point de vue des personnes dans cette situation. Mais pour Ryan Reynolds c'est du tout bon c'est quoi le prochain film qu'il a tourné après ça...Attend, Green Lantern ? Oh oh...

Au départ j'étais intéressé pas l'idée d'un huis clos dans une tombe et j'ai été très déçu par la fin. Ce n'est pas un film qui convient à tout le monde par c'qu'on ne voit pas grand’ chose et ça reste un vrai drame. Mais en le revoyant j'ai été scotché du début à la fin et j'ai apprécié son originalité. C'est donc un film que je conseille aux spectateurs avertis que vous êtes maintenant. Bon film.

Raconter l'histoire d'un monsieur tout le monde enfermé dans un cercueil et enterré vivant, était à la fois ambitieux mais aussi un pari risqué. On peut facilement tomber dans la répétition, dans la lassitude et par conséquent l’ennuie. Alors est-ce que c'est réussit ? Comme ma note peut l'indiquer, le pari est totalement réussit !!! Et peut-être même plus !!!

Franchement, à aucun moment le film se perd, ou perd son spectateur. Chaque nouvelle péripétie est intelligemment amenée et tout à fait crédible. Tout cela permet de mettre en scène un thriller haletant, original et surtout unique. Et parlons en de la mise en scène. La réalisation, malgré que le décors peut limiter les effets, reste très inventive et recherchée. Il y a de bon mouvement de camera, des trajectoires dont on se demande comment elles ont pu être réalisée, dans un décors aussi étroit. On ne voit jamais les trucages utilisés. Il y aussi tout le long du film une évolution symbolique des couleurs dominantes à l'intérieur de cette boite. Passant par le jaune flamboyant du briquet, par le bleu du téléphone, par le vert fluo des torches, ou le rouge de la lampe. Cependant, le film étant je pense tourné avec que des lumières intradiégétiques, ce qui est admirable, il y arrive qu'on ait du mal à vraiment voir ce qui se passe à l'écran. Ce qui peut d'un certain côté accentué l’intériorisation au personnage que subit le spectateur.
Mais le film, malgré son apparence, a aussi du fond. Ce n'est pas son but premier, mais il réussit en intégré intelligemment, ce qui le rend encore plus passionnant à suivre. Il livre une critique sur la société américaine, son ironie effrayante, notamment au moment où Paul supplie de l'aide à son ex patron qui ne pense qu'à lui déblatérer des procédures juridiques lui faisant comprendre qu'il est complètement inutile, et que le patron se fiche de son sort, vu qu'il en est pas responsable. Nous voyons bien le manque d'humanisme de cette société, qui ne pense qu'au intérêt, et sa futilité. Je pense aussi que, à l'instar de Gravity (ou plutôt l'inverse mais cela est pour schématiser), l'épreuve que subit le personnage est une sorte de rédemption, une renaissance (et le terme est bien choisit vu qu'il est dans un cercueil). Mais Rodrigo Cortes, nous offre aussi sa vision sur le sujet sensible du terrorisme. Et elle est nuancée, ce qui change des films habituels ! En effet il démontre que les « terroristes » sont autant des victimes/des coupables que sont les Américains.
Évidemment, le point fort du film, est, je me répète, son concept. Un film de huis clos, avec un seul et unique acteur à l'écran (Ryan Reynolds obtient là son meilleur rôle), avec un suspens et une tension tortueuse. Tout les éléments pour en créer sont très bien utilisés : le manque d'oxygène, le noir complet, le réseau du téléphone, la batterie du téléphone, le serpent... Cet agglomérat d'élément tout simple (je répète il ne faut pas forcement faire compliquer pour être efficace), créait une épée de Damoclès sur le personnage principal ; alors qu'il est enfermé dans une boite enterré, et malgré cela, le danger vient paradoxalement de partout. Cela nous permet une total empathie devant ce spectacle funéraire alors que le film commence in medias res, sans qu'il y est un quelconque développement au début. Au contraire l'évolution du personnage prime sur une exposition qui aurait été inutile. Quand le personnage panique, nous paniquons, quand le personnage étouffe, nous étouffons, quand le personnage a de l'espoir, nous avons de l'espoir... spoiler: Et tel un sadique, le réalisateur nous offre de l'espoir ! Pour mieux nous avoir ! En effet à deux reprises, vers la fin du film, nous croyons que le personnage va s'en sortir, une fois par un rêve, et l'autre par... Si vous lisez cette critique c'est que vous avez vu le film alors pas la peine d'expliquer. Cependant, nous découvrons avec tristesse que le sort de Paul, père de famille, camionneur américain travaillant en Irak, était dès le début scellé, tel un destin inexorable... Mais nous applaudissons au film d'avoir eu le courage de faire une fin comme celle-ci, d'avoir su manipuler le spectateur, de l'avoir fait espérer pour avoir un funeste final. Nous voulions qu'il soit sauver mais nous avons reçu ce que nous avions besoin : la preuve que toute les histoires ne se finissent pas forcement bien.


En résumé, je peux dire que ce film fait un sans faute. Le concept est original et maîtrisé, la réalisation est bonne, l’émotion est palpable autant que la tension et le suspens. Le fond est tant qu'a lui aussi présent, et spoiler: la fin est, malgré notre attachement, celle qu'il fallait faire et pas une autre
. Si je n'ai pas mis une note plus haute c'est purement par ressentit personnel. J'ai adoré le film, et il est objectivement excellent. J'étais investis, mais je n'ai pas eu la flamme qui brûlait en moi comme d'autres films que j'ai intégré à mon top. Cela n'empêche pas qu'il vaut le coup d'être vu.

LE film espagnol le plus surprenant avec "Malveillance". Curieuse, je me demandais comment allait se sortir le réalisateur avec un acteur, un décor (le cercueil) une lampe poche, un tel portable et un serpent en guest star!
Et bien c'est juste une grosse claque et une belle leçon de cinéma! Non seulement, on est tenus en haleine pendant 1h30 mais il n'y a aucun moment creux, on "vit" tout simplement la situation atroce du personnage. La fin est juste aussi tragique que géniale. Pas d'effet spéciaux, pas d'esbroufe, même pas de sentimentalisme à 2 balles.... UNE CLAQUE je vous dis!
90 minutes de pure angoisse et de pur plaisir. Je tire ma révérence!