Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Infidèle, bâclée et absurde, cette adaptation est néanmoins suffisamment excessive et incohérente pour faire le bonheur de l'amateur de nanars décomplexés.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Reboot sans grande originalité d’un film sorti en 2007, lui-même adapté d’un jeu vidéo.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un film de série B sans surprises.
Le Point
par Jean Delterme
Rupert Friend dans les habits de l'agent 47 manque cruellement de profondeur. (...) Dernier défaut rédhibitoire : la relation "professionnelle" entre le tueur chauve et la belle Katia. Totalement antinomique avec le mystère qui entoure Hitman depuis les premiers jeux vidéo. Vous avez dit décevant ? Totalement.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Sept ans après, une nouvelle tentative de porter au cinéma la franchise de jeux vidéo : l'interprétation est insipide.
Metro
par Marilyne Letertre
Le film d’action d’Aleksander Bach est le parfait exemple du nanar sans saveur. (...) Bête et fainéant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Hollywood assassine une deuxième fois l’Agent 47 avec un sous-produit synthétique qui macule le grand écran de sa laideur et de son ineptie crasses.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
Infidèle, bâclée et absurde, cette adaptation est néanmoins suffisamment excessive et incohérente pour faire le bonheur de l'amateur de nanars décomplexés.
Le Dauphiné Libéré
Reboot sans grande originalité d’un film sorti en 2007, lui-même adapté d’un jeu vidéo.
Ouest France
Un film de série B sans surprises.
Le Point
Rupert Friend dans les habits de l'agent 47 manque cruellement de profondeur. (...) Dernier défaut rédhibitoire : la relation "professionnelle" entre le tueur chauve et la belle Katia. Totalement antinomique avec le mystère qui entoure Hitman depuis les premiers jeux vidéo. Vous avez dit décevant ? Totalement.
Les Fiches du Cinéma
Sept ans après, une nouvelle tentative de porter au cinéma la franchise de jeux vidéo : l'interprétation est insipide.
Metro
Le film d’action d’Aleksander Bach est le parfait exemple du nanar sans saveur. (...) Bête et fainéant.
aVoir-aLire.com
Hollywood assassine une deuxième fois l’Agent 47 avec un sous-produit synthétique qui macule le grand écran de sa laideur et de son ineptie crasses.