Fincher transforme ici, avec style, un phénomène de société en argument de marketing au profit d’un cinéma « bankebale ». Jouant sur le courant d’une mode (tout le monde a au moins entendu parler une fois de Facebook même s’il ne l’utilise pas), il parvient à traiter son sujet sur une durée de deux heures. Deux heures durant lesquelles on voit des jeunes en train de taper sur des ordinateurs, gagner ou perdre de l’argent, se trahir, s’attaquer en justice…
Certes le film met bien à jour les fragilités et les failles d’une société américaine privilégiée, fondée sur la volonté de pouvoir, la compétition et la course au profit. Paradoxes de ce microcosme où l’on peut voir de jeunes surdoués asociaux, trempés dans le business et accédant à des niveaux richesse colossaux. La mise en scène moderne, plutôt fine et adroite, est servie par de bons acteurs. Le rythme du montage (rempli de flash backs) ainsi que l’excellente musique signée Trent Reznor et Atticus Ross (la bonne surprise du film) donnent un peu de souffle à la réalisation.
Cependant, ces artifices de mise en scène ne parviennent pas à cacher longtemps le vide du propos ni faire oublier un film bavard et inintéressant dont on attend qu’une chose : qu’il se termine.
David Fincher, en tant que réalisateur qui se veut ultra-moderne, s'attaque à ce beau marasme boutonneux qu'est la culture-jeune. Dans ce domaine, quoi de mieux que Facebook ? Ce réseau social impliqué de maintes manières dans des affaires de concurrence malhonnête, dans la vente d'informations de ses adhérents pour le compte d'entreprises privées, ce site dont la déontologie oublie de réserver la place de choix que mérite un certain principe de respect de la vie privée, vide certainement comblé par la conception très extensive de la liberté d'expression, au moyen de laquelle est en mesure de papillonner sans trop de contraintes n'importe quel type de "groupe", tout néo-nazi, national-bolchévique ou néo-fasciste qu'il soit... Tant de beaux prétextes justifiant l'apologie de Mark Zuckerberg...
Ouais bon, c'est pas mal, mais franchement pas aussi bon que ce qu'on nous vend dans la presse. J'en suis sortie ni oui ni non, sans vraiment d'avis tranché, et c'est précisemment ce que je ne supporte pas. A la limite j'aurais préféré de loin un bon documentaire sur le sujet, mais romancé comme ça l'est la, j'ai trouve ça moyen, la chute est plutot naze et pas franchement aboutie. Le montage du film cependant est plutot chouette et rythmé, heureusement sinon j'aurai franchement sombré.
pas touchée par la grace de ce filmet surtout de ses critiques. plutot moyen , trop centre sur les querelles de classe incessantes des universites americaines , bref un air de deja vu de films pour ado.
"The Social Network" me laisse sceptique... Il est difficile de trancher, de donner un avis catégorique. Les acteurs sont vraiment doués, ils accordent donc à l'histoire un caractère fascinant qui agit sur le spectateur comme de l'hypnose. Malgré ce point positif, il faut un réél effort de concentration pour comprendre toutes les répliques, énoncées avec un débit très (trop?) rapide et dont on ne saisit pas toujours l'intérêt! De plus, le film n'évoque presque exclusivement que la création de Facebook et le procès intenté à Zuckerberg par les frères Parfait; je suis restée quelque peu sur ma faim. Heureusement, Jesse Eisenberg suscite la curiosité, tellement il incarne bien son personnage.
Impression globale très moyenne. Un film dont le héro est un gosse pourris, hautain et nombriliste et qu’on le voit a toutes les cènes, ca fini pas devenir rasoir ! L’avers de Facebook, ses travers et ses magouilles, ces vices juridiques et j’en passe… Pourquoi pas, mais alors avec plus de punch ! On s’emmerde, c’est lent, long, plat et on n’accroche pas. L’acteur principal est pas mal, Justin Timberlake est vraiment pas mal, mais sinon ce film ne casse pas des barres. Franchement on en apprend tout autant sur Wikipedia a la définition Facebook !
Bon jeu d'acteurs mais un film sans relief, uniquement réalisé pour l'ami dollars...et peut-être pour régler des comptes? qui serait derrière tout cela? Eduardo Savarin ? Dustin Moskovitz ? Enfin, de toute façon, je m'en f. , je ne suis pas du milieu!
film long a demarrer mais prenant par la suite.le film explique bien la genése de Facebook.assez interressant les démélé du fondateur du site avec la justice.