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BigDino
8 abonnés
473 critiques
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4,5
Publiée le 11 janvier 2017
Film brillant, bénéficiant de dialogues excellents et d'une très bonne BO. Intéressant donc, même si le démarrage est un peu long et si l'ensemble est plutôt austère, surtout pour qui ne s'intéresse pas au sujet. Justement, réussir un film qui ne soit pas ennuyeux sur un tel sujet semblait relever d'une gageure, et ça fonctionne.
David fincher réalise un film excellent, Qui nous raconte la vraie histoire de Facebook avec ses hauts et ses bas ! La mise en scène est très fluide sans temps mort ! On ne s'ennuie jamais !
Et après on ose me dire que Fincher n'est pas un des meilleurs réalisateurs de notre temps? Ce film reprend les codes des films de sucess story à la perfection. Tout est bon: Les personnages, l'intrigue, la mise en scène... Un film à voir de toute urgence.
David Fincher tombe bien bas Avec ce projet de raconter l'histoire du réseau Facebook.... On voit bien que personne ne sait ce qui c réellement passé tant ça ne tient pas debout depuis le début !!!..... et alors l'acteur qui met son talent au service de Marc Zuckerberg qui a de toute évidence développe un projet qui n'était pas le sien ... alors je ne sais pas pour quelles raisons ? Ça Le film ne nous en parle pas du tout ou alors de manière tellement ridicule que je ne Gobe pas une seule seconde leur portrait de Zuckerberg comme un pauvre type rejeté LOL n'importe koi !!!! Enfin , quand on provoque le rejet , on peut pas monter une entreprise .... les gens ne veulent pas s'associer , quelque soit l'enjeu financier ... ça fait fuir toute personne normalement constituée - donc déjà ça c pas valide comme raisonnement . Et ça fait tombe le réalisateur de Seven très bas dans mon estime ....bref - on se demande vraiment qu est ce qui se passe dans la "secte " des oscars pour mettre en avant un navet pareil...Je ,me demande meme quelle mouche a pique Mark Zuckerberg parce qu'il a l'air d'un type fort charmant qui gagne a etre connu. j'ai ressenti ca en regardant le film et ca s'est confirme quand j'ai regarde des videos du vrai MZuckerberg sur Youtube...J'ai beaucoup aime aussi l'interpretation de Jesse Eisenberg qui a capte conscienment ou pas la sympathie du pdg de Facebook. Meme si je n'aime pas le message de ce projet, je suis curieuse de surveiller cet acteur qui trouve des projets hors du commun. Le film se laisse regarder parce que la realisation a du rythme , c fincher...mais je trouve que c'est encore plus grave de mettre son talent au service d'un tel mensonge...que de faire un film plus moye qui respire la purete! fo les chercher....
Une très bonne surprise de la part de Fincher, lui qui nous habitu aux polars noirs et aux scénarios transcendants. La réalisation est très millimètre, rien n'est laissé à défaut, les scènes de pétages de plombs sont impressionnantes étant donné la complexité de Zuckerberg, interprété par le génialissime Eisenberg qui confirme encore une fois qu'il est l'un des meilleurs comédiens de sa génération. Andrew Garfield est également très bon.
On se demande bien, a priori, comment Aaron Sorkin et David Fincher vont s’y prendre pour faire de la success story de Zuckerberg un film à la fois réaliste et captivant. La réponse, bien sûr, est dans la question : on retrouve dans The Social Network toutes les qualités du scénariste star d’A la Maison-Blanche et du réalisateur de Zodiac. Sorkin se concentre sur l’aspect humain des événements et prend sans doute quelques libertés avec la réalité pour faire de Facebook la conséquence directe de la vie quotidienne du jeune Zuckerberg, et en particulier de la rupture amoureuse qui ouvre le film. Quant à Fincher, il s’empare d’un scénario qui lui permet de jouer sur tous les registres en variant la distance qu’il prend par rapport à ses personnages. Ces déplacements constants sur l’échelle des personnages et des récits, du plus intime au plus collectif, est au cœur des meilleurs films du réalisateur. Ici, Fincher montre tout son talent en faisant vibrer d’une tension permanente cette histoire pourtant particulièrement statique et anti-romanesque par nature. C’est surtout la vitesse du film qui séduit, et notamment la rencontre parfaite entre les célèbres monologues de Sorkin et le débit-mitraillette de Jesse Eisenberg dans le rôle de Zuckerberg. Le personnage, comme l’histoire vraie sur laquelle se base The Social Network, vont tellement vite qu’ils semblent parfois prendre le film lui-même de vitesse. Le succès incroyable de Facebook, en même temps que sa relative futilité, prennent une place croissante et égalisent sur leur passage tous les autres enjeux du film, comme si le cinéma ne pouvait plus suivre Internet sur ce terrain irreprésentable des masses d’individus et des sommes colossales d’argent. Finalement, quand The Social Network s’achève, assez abruptement, sur des cartons qui résument la suite des événements, on a le sentiment de s’être à peine installés dans cette success story à l’américaine. Pendant ce temps, Zuckerberg est entré dans l’histoire, mais pas tout à fait le même genre d’histoire : la sienne s'écrit maintenant en dollars (et neuf zéros derrière).
Un film sur l'histoire de Facebook, sur Mark Zukenberg, ou sur un jeune entrepreneur.
Ce film a selon moi rien de fou sur le plan technique, aucune bande son, une histoire en flashback, des personnages pas spécialement intéressant, si ce n'est celui interprété par Jesse Eisenberg, mais c'est plus l'acteur que le personnage qui est intriguant. Ce biopic contemporain raconte-t-il la vérité ? Est-il orienté ? Que c'est-il vraiment passé ? Les mêmes questions qu'après le visionnage du Loup de Wall Street en somme. Presque un documentaire scénarisé sur Facebook. Pas grand chose à dire, c'est un enchaînement d'évènements, sur fond de multiples aspects juridiques.
Pas vraiment ma tasse de thé, mais au moins ce film a le mérite de raconter les débuts d'un des plus gros sites Internet au monde.
Critique de "The Social Network". Un film agréable à regarder, avec un rythme soutenu et servi par des acteurs remarquables. Une ascension retranscrite avec brio, une magnifique réalisation qui tient en haleine tout au long du film. Une des plus belles surprises de l'année 2010. À voir. 4/5
On s'y croit dans la création de Facebook , avec une belle réalisation, une belle prestations des acteurs et les changements temporels sont bien transités.
Je m'attendais à m'ennuyer, je l'ai pas été du tout, j'en suis ravi.
Dans l'ensemble c'est assez long, mais la réalisation de David Fincher suffit à retenir l'attention. Jesse Eisenberg est très bon, et le scénario est habilement monté. Le film se contente de montrer le développement de Facebook à la fois chaotique et fulgurante. Des flashblacks construisant l'histoire nous permettent d'en savoir davantage sur les débuts du célèbre réseau social. La musique ainsi que le montage sont les éléments moteurs de la réussite de ce biopic. A voir.
Sur un sujet cinématographiquement peu séduisant, David Fincher réalise un film efficace et rythmé. Il revient sur la naissance de Facebook à travers l'histoire de son fondateur Mark Zuckerberg – génial Jesse Eisenberg – sans épargner l'image de celui qui est décrit tour à tour comme un génie, un bourreau de travail, un geek influençable, un traître et surtout comme un homme compliqué dans son rapport aux femmes et mu par une terrible soif de revanche sociale. Ici clairement, la créativité, le sens de l'innovation et finalement le succès planétaire trouvent leur source spoiler: dans une forme de vengeance personnelle bien plus que dans une une volonté d'améliorer le monde . Étonnant et instructif.
Un sujet très intéressant mais raté au niveau de la réalisation. On devrait se passionner, on en arrive à s'ennuyer. Et puis, un personnage principal antipathique, cela a presque toujours tendance à plomber un film.
Si le film s'avère assez bien construit et donne à voir une image intéressante du business des débuts du Net, si le rythme est bien tenu et maintient le spectateur dans le film tout au long des deux heures, on ressort du visionnage en étant un peu circonspect quant à la démonstration des motivations derrière Facebook. Si l'on en croit Fincher, Zuckerberg n'est qu'un geek insolent qui n'en a rien à faire de rien, en tout cas pas de l'argent (dans un premier temps...), mais qui veut plein d'amis. Argumentation qui semble pour le coup bien légère. Ce n'est pas du côté "interprète" qu'il faudra chercher un miracle, Jesse Eisenberg renforçant grandement le côté tête à claques du personnage. En fait, ce sont tous les seconds rôles qui permettent à Fincher d'appuyer son propos: querelles d'ego, trahisons et bassesses, tout y passe avec une certaine efficacité et un humour souvent bien trouvé. Une démonstration stylée mais moins subversive sans doute qu'on ne l'aurait souhaité.
Un film tout ce qu’il y a de casse-gueule à priori. Comment mettre en scène la conception d’un réseau social sans perdre en route le spectateur qui se désintéresse de l’informatique ? Réponse : David Fincher à la réalisation, et Jesse Eisenberg dans le rôle titre. Le premier donne un ton incroyablement moderne et rock and roll au film, quand au second, il est tout simplement habité par le rôle de Mark Zuckerberg, avec lequel il a même une ressemblance physique. Toute la complexité du personnage est magistralement retranscrite, révélant ce geek qui a plus d’un milliard de connaissances virtuelles, et qui dans la vraie vie trahit et perd ses rares amis (la scène finale est magnifique). Bien plus qu’un film sur la conception d’un réseau informatique, The Social network analyse l’ensemble de la société actuelle, le besoin pathologique de reconnaissance des individus, leur avidité pour l’argent, et la superficialité des rapports sur Internet. La mise en scène alterne habilement les procès que se livrent les différents concepteurs de Facebook, et les flashbacks sur sa conception, ce qui permet de ne jamais baisser de rythme. Le film est abordable par tous, et ne se perd jamais dans des aspects techniques superflus, il est au contraire traité sur un ton vif et spectaculaire. Tout le casting se met au niveau de Jesse Eisenberg, et notamment Justin Timberlake qui se révèle dans le rôle de Sean Parker. L’interprétation d’Andrew Garfield est également à souligner, dans un rôle ingrat. Bref, encore une fois David Fincher démontre son grand talent, alors que tout le monde l'attendait au tournant lorsque le film avait été annoncé. Un des films de l’année 2010, et un grand film tout court.
Un film incroyable. Film atteignant les sommets avec le trio gagnant Eisenberg, Fincher et surtout le "whriter's" Sorkin qui livre ici un scénario et des dialogues époustouflants. Fincher n'a plus qu'a apposer sa griffe et a guider un Eisenberg excellent. On passe par toutes les émotions dans ce film, et on ne sait pas si l'on doit aimer ou détester Zukerberg. Cet homme qui a changé le monde pour le meilleur ou pour le pire. Les deux défauts a mon sens sont le le trop grand nombre de plan fixe (un choix défendable de Fincher) et le manque de poids des acteurs en face d'Eisenberg. Même si leur prestation est déjà très bonne, Eisenberg écrase tout. Un film a voir sans hésiter.