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Votre avis sur The Social Network ?
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Après Fightclub nous voici à nouveau dans notre belle société de consommation à l’agonie avec comme seul idéal le fric. Facbook est donc bien représentatif du monde d’aujourd’hui où une simple astuce de campus devient une énorme machine à frabriquer des relations. Il parraîtrait même que ce sont des amis...
Fincher comme à son habitude tient remarquablement le spectateur en haleine, à partir d’un scénario très habile d’Aaron Sorkin. Mais que serait le film sans Justin Timberlake qui interprète un Sean Parker fascinant (mais très loin du vrai personnage) ? C’est un bon film, il sera peut-être même culte un jour. Mais au regard de son accueil mondial, quelque peu surrestimé.
Fincher comme à son habitude tient remarquablement le spectateur en haleine, à partir d’un scénario très habile d’Aaron Sorkin. Mais que serait le film sans Justin Timberlake qui interprète un Sean Parker fascinant (mais très loin du vrai personnage) ? C’est un bon film, il sera peut-être même culte un jour. Mais au regard de son accueil mondial, quelque peu surrestimé.
Le côté sombre de cette entreprise soi-disant à but social et communautaire fait froid dans le dos. Trahison, cupidité, vol… les débuts de Facebook ne sont pas reluisants ! Il fallait toute la maestria de Fincher pour passionner le public à la façon d'un drama. Une leçon de réalisme qui laisse matière à réflexion. A la fin du film, certains vont se demander s’il n’est pas sage de supprimer son compte Facebook !
Un film passionnant, à l'ambiance juridique. Le film est construit sur un parallèle entre l'affaire juridique et la création du fameux réseau social. Une grande dispute entre camarades d'Harvard, tous brillants, tous arrogants et cupides. Sauf peut être Mark justement. Une ambiance très prenante, riche en trahison. A noter une belle photographie, des acteurs à la hauteur et de très nombreuses scènes de dialogues délicieuses à la répartie magique.
Arthur Debussy
« The Social Network » n'est pas un grand film. Par contre c'est un long métrage très intéressant, car il met en scène un acteur incontournable de notre monde contemporain : Mark Zuckerberg, créateur et PDG actuel de Facebook. Ce film raconte en effet la genèse du réseau social tentaculaire que nous connaissons tous, ne serait-ce que de nom. Nous apprenons ainsi – mais beaucoup d'entre nous s'en doutaient – qu'à l'origine de Facebook se trouve un vrai c.....d (n'ayons pas peur des mots). Oui, Mark Zuckerberg est un mufle, un « nerd » froid et sans états d'âme, qui est prêt à divulguer la vie intime de ses proches (ou moins proches) pour acquérir notoriété, puissance et surtout être aimé, même s'il n'en perçoit pas toute l'artificialité. Obsédé à l'idée de rentrer dans l'un des cercles étudiants de la prestigieuse université d'Harvard, dont il est à l'époque étudiant, Zuckerberg décide de créer son propre cercle, et il fait en sorte que ceux qui n'en font pas partie meurent d'envie de le rejoindre. Peu à peu le cercle s'agrandit, et Zuckerberg devient le milliardaire que l'on connaît. La force de ce long métrage signé David Fincher ne réside pas dans l'originalité de sa forme ni dans la sophistication d'une mise en scène tout ce qu'il y a de plus discrète (étonnant pour un film de Fincher). Non, tout son intérêt réside dans la peinture de ce monde de dupes et de frustrés qu'est le temps des études, surtout dans les établissements prestigieux. La vacuité des cercles (équivalent de certaines associations estudiantines de nos grandes écoles françaises) et leur bêtise insondable ne sont pas masquées. Et Fincher réalise une critique de plus du mode de vie occidental (qui n'est pas qu'Américain tant il s'exporte chez nous). Car Zuckerberg exploite cette soif de l'entre-soi, ce voyeurisme latent chez chacun de nous, ce goût pour le commérage et le besoin de reconnaissance sociale. Oui, Facebook flatte nos plus bas instincts car il a été pensé par un asocial frustré, un comble pour ce temple de la « sociabilité » (factice). Morale de l'histoire : mieux vaut être en dehors de Facebook qu'au dedans…
Le meilleur point du film pout moi est bien évidemment la construction. En effet, j'ai adoré comme les scènes du tribunal et de l'évolution de l'entreprise s'entrecouper. Cela amener un vrai rythme au film. Les acteurd sont tout simplement incroyable (en particulier andrew garfield). Il y'a rien de particulier de plus, j'ai été pris dedans et donc je ne faisait plus gaffe aux erreurs qu'il pouvait avoir. Bref, je vous le conseil fortement.
Mais quel génie ce David Fincher, premier film où il fait apparaître cette patte glaciale et élégante en même temps ! Il a réussi à me faire adorer un film sur la création de Facebook avec bien entendu une réalisation de haute volée venant rythmer cette œuvre de deux heures, un scénario en béton, des dialogues très bien écrits, un esthétisme impressionnant, une direction d'acteurs irréprochable et une bo magnétique !!! À consommer sans modération tout simplement !!!
Un film qui a son style. Point barre, même si celui ci peut s’avérer ennuyeux de temps à autres.
The Social network montre les débuts de Facebook, une histoire qui peut paraître joyeuse et attendrissante, mais qui à la surprise de tous, s’est montré très agressif et horrible.
Un Marc Zuckerberg, interprété par Jesse Einsberg, (ce qui est dommage, car une mega star, ne peut nous immerger totalement dans un personnage, à cause de sa célébrité). Traître et avide de popularité et de réputation. La création d’un projet fabuleux, qui ne délaisse pas de nombreuses tensions
Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
The Social network montre les débuts de Facebook, une histoire qui peut paraître joyeuse et attendrissante, mais qui à la surprise de tous, s’est montré très agressif et horrible.
Un Marc Zuckerberg, interprété par Jesse Einsberg, (ce qui est dommage, car une mega star, ne peut nous immerger totalement dans un personnage, à cause de sa célébrité). Traître et avide de popularité et de réputation. La création d’un projet fabuleux, qui ne délaisse pas de nombreuses tensions
Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
Oh mon cher Fincher, qu'as-tu fait ? L'idée était brillante et l'histoire de ce fameux Mark.Z était si intéressante. Je suis déçue, je m'attendais à tellement mieux. D'une part, le film est beaucoup trop long, des scènes totalement inutiles (notamment les scènes de sexe) qui alourdissent le tout, des longueurs vraiment pesantes. D'autre part, les nus féminins sont assez affligeants et ne rendent aucune utilité à la trame de l'histoire. Les choix de réalisation tels que les musiques et les plans n'étaient pas terribles non plus bien que je tienne à souligner la beauté de certains décors. Un tout ennuyeux qui gâche l'idée générale. Tout de même, le film met bien en scène un Mark qui s'est laissé dépasser par les événements dont il était et n'était pas maître à la fois. De plus, un acteur principal vraiment doué. Enfin, le film montre davantage les défauts de Mark.Z qui trahît ses amis et pas assez ses bons côtés. Que cela est dommage, il n'est pas mauvais mais il aurait pu être bien meilleur.
Une réalisation parfaite de la part de David Finscher ! Jesse Eisenberg incarne parfaitement le rôle de Mark Zuckerberg, en plus d'Andrew Garfield. Et comme d'habitude, je critique en fonction de la bande originale : elle est aussi parfaite !
didactique, intéressant Facebook prend une toute autre dimension ! des acteurs solides qui incarnent à merveille leur rôle, bref un bon moment en perspective
Excellent film. Une fois de plus, David Fincher nous transporte dans un nouvel univers, univers on ne peut plus réaliste car il s'agit, vous l'aurez compris, d'une histoire vraie. Comment et par qui l'immense machine Facebook a-t-elle été créée ? Qui était véritablement Mark Zuckerberg ? Et qui l'entourait lorsqu'il a créé The Facebook ? Tant de questions auxquelles le film répond avec maestria, se concentrant sur le procès de Zuckerberg mais pas que.
Le scénario est sans conteste excellent. On ne voit pas passer les deux heures de film, les personnages sont explorés sans que ça ne pèse trop. La façon dont Fincher passe du présent au futur, en faisant ces liens avec le procès, le tout est savoureux et léger, la mise en scène est très bien également.
Les acteurs sont quant à eux à la hauteur du film. Jesse Eisenberg est époustouflant, il entre parfaitement dans la peau de son personnage et aide à le mettre en avant. Andrew Garfield est aussi bien, classe et désorienté par la personnalité de son ami Mark. Puis vient Justin Timberlake, qui prouve qu'il ne sait pas que chanter et danser en incarnant Sean Parker, autre génie ambitieux et peu modeste. Les personnages de second plan sont également bien interprétés.
Comme le fera "Steve Jobs" quelques années plus tard (avec beaucoup moins de brio car il ne pourra pas éviter les longueurs scénaristiques qu'on risque lorsqu'on fait un "biopic moderne"), The Social Network met en scène un génie controversé considéré comme "un sale con" du fait de ses actions, comportement et personnalité. Si le film se concentre principalement sur le génial personnage de Zuckerberg, les autres n'en sont pas moins délaissés et deviennent de plus en plus intéressants au fur et à mesure. On assiste à la construction pièce par pièce d'un système qu'on connaît par cœur, et ok se retrouve dans certains personnages tout en étant époustouflés par la fabrication du géant Facebook. Zuckerberg est comme je l'ai dit plus haut dépeint avec précision, son caractère est à la fois délicieux et exécrable, sa finesse d'esprit alliée à sa nonchalance donnent des scènes où ses adversaires sont ridiculisés et forcés de s'incliner devant ce génie des temps modernes. Et même si en apparence il semble avoir perdu, il se moque totalement de ce que veulent les autres et le leur donnera sans ronchonner car ça ne représente rien pour lui, couvert de gloire et d'argent, armé de son intelligence et de son portefeuille (que son intelligence a rempli).
En bref, The Social Network est un excellent film, avec de petites touches d'humour très bien placés qu'on apprécie vraiment. On se laisse prendre au jeu et on passe un (très) agréable moment.
Le scénario est sans conteste excellent. On ne voit pas passer les deux heures de film, les personnages sont explorés sans que ça ne pèse trop. La façon dont Fincher passe du présent au futur, en faisant ces liens avec le procès, le tout est savoureux et léger, la mise en scène est très bien également.
Les acteurs sont quant à eux à la hauteur du film. Jesse Eisenberg est époustouflant, il entre parfaitement dans la peau de son personnage et aide à le mettre en avant. Andrew Garfield est aussi bien, classe et désorienté par la personnalité de son ami Mark. Puis vient Justin Timberlake, qui prouve qu'il ne sait pas que chanter et danser en incarnant Sean Parker, autre génie ambitieux et peu modeste. Les personnages de second plan sont également bien interprétés.
Comme le fera "Steve Jobs" quelques années plus tard (avec beaucoup moins de brio car il ne pourra pas éviter les longueurs scénaristiques qu'on risque lorsqu'on fait un "biopic moderne"), The Social Network met en scène un génie controversé considéré comme "un sale con" du fait de ses actions, comportement et personnalité. Si le film se concentre principalement sur le génial personnage de Zuckerberg, les autres n'en sont pas moins délaissés et deviennent de plus en plus intéressants au fur et à mesure. On assiste à la construction pièce par pièce d'un système qu'on connaît par cœur, et ok se retrouve dans certains personnages tout en étant époustouflés par la fabrication du géant Facebook. Zuckerberg est comme je l'ai dit plus haut dépeint avec précision, son caractère est à la fois délicieux et exécrable, sa finesse d'esprit alliée à sa nonchalance donnent des scènes où ses adversaires sont ridiculisés et forcés de s'incliner devant ce génie des temps modernes. Et même si en apparence il semble avoir perdu, il se moque totalement de ce que veulent les autres et le leur donnera sans ronchonner car ça ne représente rien pour lui, couvert de gloire et d'argent, armé de son intelligence et de son portefeuille (que son intelligence a rempli).
En bref, The Social Network est un excellent film, avec de petites touches d'humour très bien placés qu'on apprécie vraiment. On se laisse prendre au jeu et on passe un (très) agréable moment.
HamsterPsycho
David Fincher montre qu'il peut aussi faire autre chose que des films policiers, d'horreur, ou violents. Ce film retrace l'origine et l'essor de Facebook à travers Mark Zuckerberg, sa personnalité particulière limite autistique, la controverse judiciaire et financière, son entourage... De quoi remettre les choses en perspectives, ce qui est particulièrement utile pour les évènements qui façonnent notre quotidien et notre société en profondeur. Côté acteurs, c'est la grande découverte de l'ampleur du talent de Jesse Eisenberg (après Bienvenue à Zombieland).
Un flop... c'est Plus documentaire qu'autre chose... personnellement j'ai pas accroché... désolé ...
The Social Network, est un film du genre biopic réalisé par David Fincher. Comme son nom l’indique, ce film raconte comment Mark Zuckerberg, étudiant à l’université d’Harvard, vient de se faire plaquer par sa petite amie, pirate le système informatique de l'Université pour créer un site, une base de données de toutes les filles du campus. Il affiche côte à côte deux photos et demande à l'utilisateur de voter pour la plus canon. Le succès est instantané : l'information se diffuse à la vitesse de l'éclair et le site devient viral, détruisant tout le système de Harvard et générant une controverse sur le campus à cause de sa misogynie. Mark est accusé d'avoir violé intentionnellement la sécurité, les droits de reproduction et le respect de la vie privée. C'est pourtant à ce moment qu'est né ce qui deviendra Facebook… Avant toute chose, j’aimerais signaler que le genre biopic est mon genre de film préféré. Ce qui ne veut pas dire qu’à chaque fois que j’en vois un, je suis tout émerveiller devant l’écran. Loin de là, je suis extrêmement exigeant sur ce genre de film. J’avais placé de gros espoir en ce film, et je n’ai pas été déçu. The Social Network est surprenant, intelligent, un film astucieux, doté d’une écriture de génie. On peut vraiment remercier le scénariste Aaron Sorkin. Mais avant tout pour qu’un film réussisse, il faut des acteurs, de très bons acteurs, et c’est ce que dispose le casting de ce film. Tout d’abord, Jesse Eisenberg qui interprète Mark Zuckerberg le créateur de Facebook, prouve qu’il est un jeune acteur bourré de talent. Son interprétation est excellente, offrant un personnage parfois ridicule, crédule et complètement cingler, c’est ce qui le rend drôle et attachant auprès du public. Tout comme son collègue, Andrew Garfield, qui a déjà été repéré dans l’excellent Boy A, ici l’acteur accentue son ascension. Son rôle d’acteur est tout simplement bluffant, il prouve qu’il peut jouer dans n’importe quel film, donc dans n’importe quel genre. Il offre dans ce film, cette dose sur vitaminé en donnant un rythme très soutenu au film, son jeu est dynamique léché et très actif. Un futur acteur à Oscar, j’en suis persuadé. Enfin, on peut souligner aussi la bonne prestation de Justin Timberlake. Qui a commencé ce rôle d’acteur depuis peu. Il est un peu ici, l’élément perturbateur, celui qui chamboule et ajoute du piment à l’histoire du film. Et il le fait avec beaucoup de culot et ça marche à merveille. Revenons-en à la réalisation, il faut signaler aussi, que ce film comporte énormément de dialogue. En effet, dans ce film, ça parle, ça parle beaucoup et c’est la force principale du film. Les dialogues sont très bien écrits et n’ennuie pas le spectateur. Ainsi, The Social Network est un excellent biopic sur l’ascension de Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook et qui j’espère, permettra a de jeune acteur inconnu, à décoller.
Ce film a du rythme, souvent asséné par une musique speedé voir obsédante.
Un portrait saisissant de Zuckerberg, comportant sa marge d’erreur, car l’homme est encore (très) jeune et nous manquons de recul pour bien l’appréhender. En attendant, on reste sidéré par le pourquoi qui le pousse à agir : l’envie de pénétrer les clubs fermés de Harvard, et une fille qui le laisse tomber, lassé des addictions de ce grand ado hyperdoué.
Cela sent bougrement à la folie de Wall Street des années 80, des coups de poker menteur, de la répartie qui tue, de l’intuition qui dézingue les concurrents.
Jesse Eisenberg tient parfaitement le rôle principal, personnage muré dans son génie, ses obsessions, sa recherche de reconnaissance. Le scénariste s’est apparemment bien documenté sur les percées informatiques que fit ce couple de baby-entrepreneurs, dont la tête chercheuse a le look d’un professeur Nimbus en tongs.
L’ouest californien cherche à attirer les talents de l’est, ce grand cliché, parfaitement illustré par le m’as-tu-vu fondateur de Napster, icone parfaite de la bulle internet des années 2000. Zuckerberg y succombe naïvement, mais son obsession d’aller toujours plus vite l’empêche de se laisser griser par l’argent qui coule à flot avec son corollaire de substances illicites.
Fincher nous raconte avec conviction ce parcours insensé, sans chercher à anticiper quel sera la fin de l’histoire. Que serait le monde sans Facebook, et l’étudiant asocial est-il devenu un adulte agréable à vivre ?
Cinéma - janvier 2017
Un portrait saisissant de Zuckerberg, comportant sa marge d’erreur, car l’homme est encore (très) jeune et nous manquons de recul pour bien l’appréhender. En attendant, on reste sidéré par le pourquoi qui le pousse à agir : l’envie de pénétrer les clubs fermés de Harvard, et une fille qui le laisse tomber, lassé des addictions de ce grand ado hyperdoué.
Cela sent bougrement à la folie de Wall Street des années 80, des coups de poker menteur, de la répartie qui tue, de l’intuition qui dézingue les concurrents.
Jesse Eisenberg tient parfaitement le rôle principal, personnage muré dans son génie, ses obsessions, sa recherche de reconnaissance. Le scénariste s’est apparemment bien documenté sur les percées informatiques que fit ce couple de baby-entrepreneurs, dont la tête chercheuse a le look d’un professeur Nimbus en tongs.
L’ouest californien cherche à attirer les talents de l’est, ce grand cliché, parfaitement illustré par le m’as-tu-vu fondateur de Napster, icone parfaite de la bulle internet des années 2000. Zuckerberg y succombe naïvement, mais son obsession d’aller toujours plus vite l’empêche de se laisser griser par l’argent qui coule à flot avec son corollaire de substances illicites.
Fincher nous raconte avec conviction ce parcours insensé, sans chercher à anticiper quel sera la fin de l’histoire. Que serait le monde sans Facebook, et l’étudiant asocial est-il devenu un adulte agréable à vivre ?
Cinéma - janvier 2017
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