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Un visiteur
4,0
Publiée le 25 décembre 2018
Très beau film de Myasaki même si d'après moi ce n'est pas le meilleur. La nature est très belle et elle est vivante. Le sujet de la maladie de la mère est évoqué avec pudeur et tout est adoucit par la gebtillsse du père et le dynamisme des enfants. Tout est bien qui finit bien !
Une grande fraîcheur se dégage de ce DA. Même s’il est plutôt enfantin contrairement à Mononoké ou Chihiro, il a cette poésie folle et inventive qui doit être un enchantement pour l’imagination des plus jeunes. Il doivent d’ailleurs tout à fait être conscients qu’à l’instar de Peter et Elliot, c’est bien la gentille créature qui va retrouver la petite Mei!!! Il faut aussi admettre que le silence de Totoro fait partie aussi de la réussite de ce héros mystérieux et fantaisiste.
ôôôôôôôôôô, c'est trop mignon ! Ce que j'apprécie chez Miyazaki, c'est que tout est possible quand on est enfant. Y compris voir des espèces de monstres trop bizarres qui roupillent dans un arbre invisible aux adultes. Ou de prendre un chat-bus quand on est en totale panique et qu'il faut à tout prix se déplacer. Parce que lorsqu'on est adulte, on a perdu cette innocence, cette insouciance, cette capacité à s'émerveiller quand on visite une vieille maison en ruine peut-être peuplée de fantômes. C'est génial d'être un enfant. Aller à l'école n'est en rien une corvée. Il n'y a pas de méchants. Pas de chômage. Tout le monde travaille aux champs et s'y sent bien. Il n'y a pas de violence. De guerre. De famine. Leur seule crainte à ces deux fillettes, c'est la maladie de leur mère clouée à l'hôpital. Il y a des parents qui battent leurs enfants, d'autres qui n'en ont strictement rien à faire. Chez Miyazaki, tout le monde s'aime. Tout le monde est inquiet pour tout le monde. Et ça fait chaud au cœur. Ça réconforte cette absence totale de cynisme, de mépris. Même s'il n'y a pas réellement d'histoire, de quête, d'enjeux à proprement parler, les seules histoires, au fond, ce sont celles qu'on se raconte quand on est enfant pour passer le temps. Dans Mon voisin Totoro, il n'y a ni télévision ni ordinateur ni console de jeux. Juste la nature et les hommes en harmonie.
Une œuvre empreinte de poésie et de tendresse tout du long. Ce n'est pour moi pas le meilleur de Miyazaki mais il reste un très beau dessin animé, dans lequel petits et grands peuvent s'y retrouver.
C'est mignon mais faut pas trop chercher le scénario. Au vu des notes, je m'attendais à beaucoup mieux. Le film a sans doute été fait pour des enfants vraiment très petits. Malgré la personnalité attendrissante de la plus petite, ça crie pour un oui ou un non et ça devient très rapidement agaçant. J'ose même pas imaginer ceux qui regardent un film avec un casque.. L'animation est très bien faite, comme toujours avec Miyazaki mais bon, ça reste un film pour enfant.
Un chef d'œuvre dans son style! JE ne regarde que rarement ce genre de film d'animation mais avec toute les éloges ; je me suis laissé tenter et je n'ais pas été déçu (s'adressant autant aux enfants qu'aux adultes). Le réalisateur signe ici, une de ses plus belle œuvre! A tout niveau! De l'esthétique, à la mise en scène et au déroulement de l'histoire ou l'on a guère le temps de s'ennuyer. C'est simple, limpide, gentillet.. et cela suffit amplement ; là ou Disney, Pixar et compagnie veulent toujours nous en mettre plein les yeux (sans parfois, ne serait que penser à la qualité). Certaines scènes nous restent même en tête une fois le générique de fin finit. LE réal nous invite à la fois à une forme de poésie ; mais également à la réverie et fait de façon somptueuse en tout point. Surtout ne pas s'arréter aux 10 première minutes qui mettent un peu de temps à démarrer, le temps que l'ensemble pose ses marques. Bref une histoire féerique au visuel qui ne lorgne pas sur Pixar et ses concurrents, mais qui malgré tout ; dévoile quelques choses de bien plus fort. A voir sans hésiter (que l'on soit fan ou non des films Japonais d'animation).
Cette nouvelle sortie en salle à l’été 2018 est une bénédiction ! Elle me permet de partager ce film avec mon fils ainé de 9 ans dans les meilleures conditions. C’est aussi pour moi l’occasion de mesurer (bien plus encore que lorsque je l’ai découvert jeune adulte et suis passé à côté du message) combien cette histoire est un bol d’air frais, de bonheur et d’amour. L’enfance et ses peurs, la famille et la tendresse d’un foyer, le rêve et l’imaginaire... Positive attitude et douceur constituent ce classique de l’animation japonaise.
Mon voisin totoro est tout simplement magique, c'est une spécialité à juste titre, le graphisme, les sentiments, les lieux magiques, le souci du détail, de la simplicité et du ressenti que cela procure nous plonge dans un univers loin des tracasseries humaines qui compliquent le relationnel. J'adore ! Selon les thèmes on aura plus d'attachements et de favoritismes par rapport à tels animes par rapport à d'autres. La musique est marrante et se calque parfaitement au film. Rien à redire, à voir et à revoir à tout âge.
Je suis tombée dans l'animation de Miazaki après avoir visionné "Le voyage de Chihiro", mais je n'avais encore jamais découvert "Mon voisin Totoro", j'avais vraiment hâte. Comme toujours l'animation de Miazaki est empreint de poésie, les graphismes sont magnifiques j'ai particulièrement aimé la représentation de Totoro ou encore du Chat-bus. J'ai également été bluffée par l'animation des "boules de suies", notamment leur rapidité. La musique qui accompagne le récit est également très belle ! En clair, le film n'accuse pas ses trente ans, et reste une merveille à découvrir. A sa sortie, le film avait eu l'effet d'une bombe, prouvant que l'animation n'était pas le seul territoire de Disney et qu'on pouvait en faire autre chose ! Toutefois, je n'ai pas du tout été convaincue par le scénario qui m'a passablement ennuyée, tout comme Mei et Satsuki m'ont horripilé tout au long du film. Avec les années, je pense avoir idéalisé le film et en avoir eu une représentation erronée qui à gâché mon visionnage. Malgré toute la beauté autour, je reste malheureusement prise dans cette déception et cette incompréhension.
Peut-être que j’ai passé l’âge, peut être que l’esprit n’est plus le même, il n’empêche que ce Totoro n’est pas bien passionnant car même si, à l’instar des animés japonais, le dessin, l’ambiance et la musique sont super, il ne se passe pas bien grand-chose dans ce film qui présente l’imaginaire des enfants mais qui manque de rythme, d’intensité et de péripéties. On s’attend vraiment à ce qu’il se passe quelque chose, mais non rien, dommage.
Mon voisin Totoro est un très beau dessin animé adapté pour les enfants à partir de 3 ans en étant accompagné d'adultes lors de la vision. Hayao Miyazaki arrive à démystifier les angoisses et peurs des enfants. Il transforme les monstres et les fantômes en des créations imaginaires. Le dessin animé montre l'histoire d'une famille qui vient d’emménager dans une nouvelle maison longtemps inhabitée.Une fois la famille installée des choses étranges apparaissent mais toutes ces découvertes se manifestent de manière très poétique. Un dessin animé à voir en famille pour expliquer tout ce qui est implicite aux enfants.
J'ai vu un film... ultra-poétique dont l'action se déroule dans un imaginaire de haut vol... c'est très esthétique, très japonisant, et on ressent la proximité avec la nature... L'esprit de la forêt et des éléments est souvent présent dans les films japonais (comme par exemple dans Princesse Mononoké)... On ressent bien des repères radicalement différents de l'Occident. C'est une ode au silence, à la nature, aux créatures magiques... C'est un film qui prolonge les rêves d'enfants... C'est un film plein d'humanité... Cela dit, en tant que spectateur, j'ai parfois cessé d'adhérer lorsque notamment, il y a des "babillages", des enfantillages et quelques longueurs qui pèsent sur le rythme du film....
Pourtant je ne suis pas une fana de Miyazaki mais alors là j'ai été bluffée. le film n'a pas pris une ride. c'est tellement touchant et poétique... la force de l'imaginaire est plus forte que le reste pr affronter les problèmes de la vie et c'est important de transmettre cette capacité à nos enfants pr qu'ils puissent se l'approprier rêver et rebondir !
Deux sœurs et leur père déménagent dans une petite maison à la campagne dans le but de se rapprocher de leur mère à l’hôpital. Ensemble, elles vont découvrir des créatures idylliques en attendant le retour de leur mère.
Miyazaki crée un film pur qui joue entre fantastique et imaginaire. Dès le début du film, on voit les noiraudes disparaître sans raison ainsi qu’un petit lapin étrange. Le réalisateur sait aussi ne pas en faire en trop pour garder l’émotion et la tension dramatique. Son film est aussi très imprégné de la culture nippone et chinoise et de sa religion bouddhiste et shintoïsme. Miyazaki traite une nouvelle fois de l’écologie rien que dans le paysage de campagne idyllique sublimé par la musique de Joe Hisaishi.
En 1988, Isa Takahata aura lui aussi réalisé un film pour le studio Ghibli qui mettra en scène aussi la relation fraternelle, certes plus tragique mais tout aussi exceptionnelle.