AlloCiné
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Votre avis sur Mon voisin Totoro ?
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Bon, pour moi c'est pas le meilleur Miyasaki, c'est plus enfantin que ce que j'ai vu de lui, mais bon, c'est assez drôle, attendrissant, les personnages sont attachants et y a pas à dire : encore une fois je me suis laissé prendre au jeu et la magie a oppéré, avec une sorte de style contemplatif renforcé par la bonne BO, qui est vraiment sympa.
Un film très plaisant, à voir à tout âge.
Un film très plaisant, à voir à tout âge.
C'est mignon tout plein, mais disons le clairement ça s'adresse plutôt à un public juvénile, féminin ou pré-adolescent, je n'y ai pas forcément trouvé mon compte. Il n'y a pas vraiment de scénario, c'est surtout un hommage à la nature, aux légendes des esprits de la forêt et à l'innocence des enfants, des thèmes récurrents et chers dans l'univers de Miyazaki.
L'animation, elle est digne des studio Ghibli dont Miyazaki est le fondateur, un style très épuré, verdoyant, coloré et simpliste avec une touche d'onirisme.
Préférant un design plus mature je n'adhère pas totalement, sans pour autant le détester.
La plus petite des gamines est attachiante, j'ai apprécié sa douceur et sa candeur, son émerveillement de chaque choses mais elle criaille de trop, c'est certes une enfant mais les scénaristes et réalisateurs auraient pu un moins forcer sur les décibels.
Tororo reste en retrait tout le long de l'animé, il apparaît tout au plus 5/10 minutes à l'écran mais ça ne me dérange pas, il incarne l'esprit de la fôret et le fait qu'il n'intervienne qu'avec parcimonie pour y ajouter une touche de féerie est bien pensé.
Après coup, j'ai pensé à Ronflex le Pokémon en voyant cette créature, les deux sont imposants ils ressemblent à des ours et ont un sommeil profond, un petit tour sur Poképédia pour constater qu'en effet ils se sont inspirés de ce personnage de fiction pour le créer.
J'ai appris également que Totoro était devenu l’emblème du Studio Ghibli parce qu ils ont été dépassé à l'époque par le succès du film, en comprenant qu'ils n'arriveraient sans doute pas à lui trouver un personnage aussi culte, ils en ont fait leur emblème.
En somme, un film qui ravira à n'en pas douter les plus jeunes d'entre nous, pour les autres la tâche semble plus rude.
Malgré tout, l'ensemble se laisse facilement regardé
2,5/5
L'animation, elle est digne des studio Ghibli dont Miyazaki est le fondateur, un style très épuré, verdoyant, coloré et simpliste avec une touche d'onirisme.
Préférant un design plus mature je n'adhère pas totalement, sans pour autant le détester.
La plus petite des gamines est attachiante, j'ai apprécié sa douceur et sa candeur, son émerveillement de chaque choses mais elle criaille de trop, c'est certes une enfant mais les scénaristes et réalisateurs auraient pu un moins forcer sur les décibels.
Tororo reste en retrait tout le long de l'animé, il apparaît tout au plus 5/10 minutes à l'écran mais ça ne me dérange pas, il incarne l'esprit de la fôret et le fait qu'il n'intervienne qu'avec parcimonie pour y ajouter une touche de féerie est bien pensé.
Après coup, j'ai pensé à Ronflex le Pokémon en voyant cette créature, les deux sont imposants ils ressemblent à des ours et ont un sommeil profond, un petit tour sur Poképédia pour constater qu'en effet ils se sont inspirés de ce personnage de fiction pour le créer.
J'ai appris également que Totoro était devenu l’emblème du Studio Ghibli parce qu ils ont été dépassé à l'époque par le succès du film, en comprenant qu'ils n'arriveraient sans doute pas à lui trouver un personnage aussi culte, ils en ont fait leur emblème.
En somme, un film qui ravira à n'en pas douter les plus jeunes d'entre nous, pour les autres la tâche semble plus rude.
Malgré tout, l'ensemble se laisse facilement regardé
2,5/5
Benjamin A
M. Kusakabe, professeur d'université et père de deux filles de onze et quatre ans, vient s'installer avec elles dans une nouvelle maison à la campagne, se rapprochant aussi de l'hôpital où se trouve la mère des deux filles. Mais elles ne tarderont pas à découvrir d'étranges créatures dans cette maison et la forêt se trouvant autour...
En 1988, le studio Ghibli sort deux films tournants autour de la fraternité avec deux sœurs (ou un frère et une sœur) devant faire face à la possible disparition d'un parent. Lorsque Isao Takahata sort le bouleversant "Le tombeau des lucioles" avec son arrière-plan de guerre, Miyazaki livre lui une version plus mélancolique, drôle et optimiste. Il use du merveilleux pour camoufler cette réalité compliquée, qui ne reprend le pas qu'en fin de récit.
Et quelle réussite ! À nouveau Miyzaki me transporte dans son monde si particulier où, après s'être très vite attaché aux personnages humains, on découvre ses étranges et adorables animaux et notamment le génial Totoro et son chat bus. Quel plaisir de suivre cette histoire où Miyazaki fait preuve de légèreté, finesse et inventivité pour mettre en place une atmosphère mélancolique et de plus en plus touchante, tant on a pu s'attacher aux protagonistes et se sentir proche des péripéties qui vont leur arriver, de la joie aux drames.
Miyazaki capte à merveille le monde de l'enfance et en retranscrit toute la tendresse et l'émotion. L'histoire est simple mais très belle et bien exploitée, oscillant entre moments lyriques, scènes de vies quotidiennes ou autres rencontres avec le Totoro. Certaines séquences sont prodigieuses à l'image de l'attente du bus où la sincérité et le savoir-faire de Miyzaki emportent tout sur son passage. L'animation est de qualité, sachant bien mettre en valeur l'imagination de Miyazaki tandis que la musique, très bien utilisée, fait corps avec les images.
Décidément, Miyazaki a le don de me transporter dans ses univers merveilleux et "Mon voisin Totoro" ne déroge pas à la règle où, en captant le regard et la vision de la vie de ces enfants, il livre une histoire belle, mélancolique, touchante et amusante.
En 1988, le studio Ghibli sort deux films tournants autour de la fraternité avec deux sœurs (ou un frère et une sœur) devant faire face à la possible disparition d'un parent. Lorsque Isao Takahata sort le bouleversant "Le tombeau des lucioles" avec son arrière-plan de guerre, Miyazaki livre lui une version plus mélancolique, drôle et optimiste. Il use du merveilleux pour camoufler cette réalité compliquée, qui ne reprend le pas qu'en fin de récit.
Et quelle réussite ! À nouveau Miyzaki me transporte dans son monde si particulier où, après s'être très vite attaché aux personnages humains, on découvre ses étranges et adorables animaux et notamment le génial Totoro et son chat bus. Quel plaisir de suivre cette histoire où Miyazaki fait preuve de légèreté, finesse et inventivité pour mettre en place une atmosphère mélancolique et de plus en plus touchante, tant on a pu s'attacher aux protagonistes et se sentir proche des péripéties qui vont leur arriver, de la joie aux drames.
Miyazaki capte à merveille le monde de l'enfance et en retranscrit toute la tendresse et l'émotion. L'histoire est simple mais très belle et bien exploitée, oscillant entre moments lyriques, scènes de vies quotidiennes ou autres rencontres avec le Totoro. Certaines séquences sont prodigieuses à l'image de l'attente du bus où la sincérité et le savoir-faire de Miyzaki emportent tout sur son passage. L'animation est de qualité, sachant bien mettre en valeur l'imagination de Miyazaki tandis que la musique, très bien utilisée, fait corps avec les images.
Décidément, Miyazaki a le don de me transporter dans ses univers merveilleux et "Mon voisin Totoro" ne déroge pas à la règle où, en captant le regard et la vision de la vie de ces enfants, il livre une histoire belle, mélancolique, touchante et amusante.
Encore une fois, voici un film de Miyazaki qui sort en dvd de manière quasi anonyme !
Mais pourquoi, alors qu'il est considéré par beaucoup comme le chef d'uvre du senseï ?
Le visionnage du film permet aisément d'en comprendre les raisons : malheureusement sa réputation est loin d'être méritée, même s'il est d'un cran au-dessus du décevant Porco Rosso.
Miyazaki n'arrive pas à nous faire partager des émotions malgré la présence de thématiques chères au maître qu'il a su développer avec succès dans d'autres films : l'émerveillement pour la nature (Laputa), la découverte de créatures étranges (Chihiro) et le quotidien des deux petites filles (Kiki).
Mei et Satsuki, qui sont les deux personnages centraux du film, ne sont pourtant pas suffisamment développés pour s'y attacher, en tout cas pas pour soutenir le film.
On regrettera que les Totoros et le Chat-bus ne parlent pas, car ça limite leur intérêt dans le film.
La nature, qui est dans les autres films un personnage à part entière, est ici, sans mauvais jeu de mots, "décorative" et perd ainsi de son attrait.
Néanmoins, on a droit à une belle partition de Joe Hisaishi, plus en retrait et moins lyrique que d'habitude mais quand même agréable à écouter.
Je rappelle que les défauts du films sont inhérents à la volonté de leurs auteurs de faire un film "enfantin" (au sens propre du terme), il est donc particulièrement destiné aux moins de 10 ans.
Totoro reste un film sympathique à voir en famille mais n'en attendez pas plus.
Mais pourquoi, alors qu'il est considéré par beaucoup comme le chef d'uvre du senseï ?
Le visionnage du film permet aisément d'en comprendre les raisons : malheureusement sa réputation est loin d'être méritée, même s'il est d'un cran au-dessus du décevant Porco Rosso.
Miyazaki n'arrive pas à nous faire partager des émotions malgré la présence de thématiques chères au maître qu'il a su développer avec succès dans d'autres films : l'émerveillement pour la nature (Laputa), la découverte de créatures étranges (Chihiro) et le quotidien des deux petites filles (Kiki).
Mei et Satsuki, qui sont les deux personnages centraux du film, ne sont pourtant pas suffisamment développés pour s'y attacher, en tout cas pas pour soutenir le film.
On regrettera que les Totoros et le Chat-bus ne parlent pas, car ça limite leur intérêt dans le film.
La nature, qui est dans les autres films un personnage à part entière, est ici, sans mauvais jeu de mots, "décorative" et perd ainsi de son attrait.
Néanmoins, on a droit à une belle partition de Joe Hisaishi, plus en retrait et moins lyrique que d'habitude mais quand même agréable à écouter.
Je rappelle que les défauts du films sont inhérents à la volonté de leurs auteurs de faire un film "enfantin" (au sens propre du terme), il est donc particulièrement destiné aux moins de 10 ans.
Totoro reste un film sympathique à voir en famille mais n'en attendez pas plus.
C'est mou, l'histoire est inintéressante et banale au possible, et Totoro apparaît 10 minutes montre en main. Grosse déception donc.
Ayant adoré quelques films de Miyazaki (Arietty, Mononoke et Chihiro), j'attendais beaucoup de ce fameux Totoro dont tout le monde disait le plus grand bien.
Mais alors.... quelle déception ! Le film est vide, il n'y se passe rien, pas d'histoire. Totoro est mignon ok à la limite, mais on le voit 4 fois, à peine 10min en tout, et me rappelle fortement le chat d'Alice au pays des merveilles d'ailleurs. Les musiques sont pas mal et les dessins sont beaux c'est sûr mais ça ne suffit pas à faire un film. Je me suis ennuyé pendant 1h30. Je le recommanderai éventuellement pour des enfants en bas âge, mais au-delà de 7 ans, passez votre chemin. Ma femme fan de manga, d'anime et particulièrement de Miyazaki, a été tout autant déçue par ce film. Je ne comprends vraiment pas les critiques dithyrambiques, la (très) maigre poésie du film est étouffée par l'absence de tout, pas de rythme, pas d'histoire, pas de rebondissement, pas de suspense (SPOIL : à part quand on s'inquiète pour la mère à cause de son ... rhume ?!), non franchement, à éviter !
Mais alors.... quelle déception ! Le film est vide, il n'y se passe rien, pas d'histoire. Totoro est mignon ok à la limite, mais on le voit 4 fois, à peine 10min en tout, et me rappelle fortement le chat d'Alice au pays des merveilles d'ailleurs. Les musiques sont pas mal et les dessins sont beaux c'est sûr mais ça ne suffit pas à faire un film. Je me suis ennuyé pendant 1h30. Je le recommanderai éventuellement pour des enfants en bas âge, mais au-delà de 7 ans, passez votre chemin. Ma femme fan de manga, d'anime et particulièrement de Miyazaki, a été tout autant déçue par ce film. Je ne comprends vraiment pas les critiques dithyrambiques, la (très) maigre poésie du film est étouffée par l'absence de tout, pas de rythme, pas d'histoire, pas de rebondissement, pas de suspense (SPOIL : à part quand on s'inquiète pour la mère à cause de son ... rhume ?!), non franchement, à éviter !
Je pensais vraiment, après tout le tapage qu'on m'avait fait autour de ce film,que je verrai quelquechose dans la meme veine que les autres animations de Miyazaki...franchement j'ai été super deçue ... il faut avoir moins de 10ans pour aimer ce dessin animé...il n'y a absolument aucun scénario, je n'ai ressenti aucune émotion...les personnages humains sont très mal dessinés et n'ont pas de personnalité... quant aux "esprits" , Totoro ou le Chatbus... ils n'ont pas grand intérêt! J'ai mis une étoile pour le caractère trempé de la piote qui m'a fait rigoler , et pour la bouille de Totoro et de ses acolytes!"
A chaque fois que je regarde ce dessin animé je me sens tout léger, c'est un vrai bonheur. Moi aussi j'aimerais trouver un Totoro dans le jardin...
7eme critique
Le mystère Totoro !
"Mon voisin Totoro" serait apparemment l'adaptation d'une légende urbaine, et nul doute que de nombreux points concorderont pour s'orienter vers cette optique. On sait pertinemment qu'il y a quelque chose à gratter derrière ce film, et que ce n'est pas une simple histoire fantastique qui se limite aux images présentées. "Mon voisin Totoro" renferme bien une grande poésie, si coloré dans la forme et pourtant si sombre dans le fond, où la symbolique que représente le personnage de Totoro deviendra une énigme à part entière. Subtil, profond, puissant, "Mon voisin Totoro" deviendra un incontournable de Miyazaki. Le cinéaste nous livre un film passionnant à la double lecture certaine, l'une pour les plus petits présentant un Dieu de la forêt mignon tout plein, l'autre pour les plus grands laissant place à une énigme métaphorique quant à la véritable identité de cette peluche. "Mon voisin Totoro" en ressortira donc aussi gai qu'effrayant et deviendra même l'emblème du studio Ghibli.
"Mon voisin Totoro" serait apparemment l'adaptation d'une légende urbaine, et nul doute que de nombreux points concorderont pour s'orienter vers cette optique. On sait pertinemment qu'il y a quelque chose à gratter derrière ce film, et que ce n'est pas une simple histoire fantastique qui se limite aux images présentées. "Mon voisin Totoro" renferme bien une grande poésie, si coloré dans la forme et pourtant si sombre dans le fond, où la symbolique que représente le personnage de Totoro deviendra une énigme à part entière. Subtil, profond, puissant, "Mon voisin Totoro" deviendra un incontournable de Miyazaki. Le cinéaste nous livre un film passionnant à la double lecture certaine, l'une pour les plus petits présentant un Dieu de la forêt mignon tout plein, l'autre pour les plus grands laissant place à une énigme métaphorique quant à la véritable identité de cette peluche. "Mon voisin Totoro" en ressortira donc aussi gai qu'effrayant et deviendra même l'emblème du studio Ghibli.
Une belle interprétation des légendes japonaises en phase avec la nature, de l'enfance et de la poésie.
Tendre à souhait. Ce dessin animé incarne la vie d'enfants à la perfection. Petit hic concernant le fond qui se contente de la difficulté d'adaptation quand à de nouveaux événements. La longueur n'est pas totalement justifié.
J’ai trouvé que ce film était comme un doux conte nippon. Il est assez enfantin donc idéal pour un jeune public. Il a été inscrit par le BFI (British Film Institute) sur la liste des 50 films à voir avant d’avoir 14 ans. Le personnage de Totoro a un côté véritablement attachant. Ce dernier est d’ailleurs devenu depuis la mascotte et logo du studio Ghibli. L’univers est très joyeux avec beaucoup de coloris rendant un ensemble joli à voir. Le tout se passant dans un environnement très naturel. On découvre la superbe campagne japonaise. L’homme et la nature vivent en harmonie. Un beau message pour les jeunes générations. Pour les plus jeunes mais aussi les confirmés, MON VOISIN TOTORO vous fera voyager l’esprit.
Caine78
J'avoue que je m'attendais à adorer : cela n'a pas été le cas. Attention, cela ne veut pas dire que je n'ai pas aimé. Miyazaki a toujours ce grand talent pour donner à ces films une touche follement esthétique sans jamais être esthétisante, le tout enrobé d'une très jolie musique et pleins de moments aussi délicieux que charmants, à l'image de nos amis Totoro (que l'on ne voit d'ailleurs pas tant que ça, en passant). Non, le truc c'est que j'aime bien être porté par des récits dynamiques où il se passe pleins de choses, et là, force est de reconnaître que ça n'est pas exactement le cas. Il ne se passe en effet pas grand-chose, et même si la magie Ghibli opère suffisamment pour que cela reste un minimum intéressant et agréable à suivre, j'avoue par moments avoir un peu décroché, voire trouvé le temps un peu long, à l'image de deux héroïnes sympathiques mais quand même un peu fatigantes... Après, cela reste du Miyazaki, avec toutes les grandes qualités que ça implique, notamment en matière d'idées, à l'image de ce chat bus forcément sorti d'un cerveau débordant d'imagination, mais au vu des « Château ambulant » et autres « Voyage de Chihiro », une (petite) déception est là. À voir, donc, à condition de ne pas forcément en attendre les merveilles proposées par le maître nippon habituellement.
Miyasaki : le maitre du cinéma d'animation. Incontestable !! Quel génie ! Mon voisin Totoro, un nom qui paye pas de mine mais qui se révèle un pur chef d'oeuvre devant tant de magie, de poésie, de tendresse, de beauté...
2 petites filles vont aménager avec leur père dans une maison de campagne pendant que leur mère, malade, est hospitalisée. La découverte de la maison leur permettra de découvrir l'existence de créatures merveilleuses, invisibles aux yeux des adultes : les Totoro.
Les discours ne servent à rien, il faut voir et revoir ce dessin animé fait pour les plus petits comme pour les plus grands.
Bref : on aimerait tous avoir ce genre de voisins !
2 petites filles vont aménager avec leur père dans une maison de campagne pendant que leur mère, malade, est hospitalisée. La découverte de la maison leur permettra de découvrir l'existence de créatures merveilleuses, invisibles aux yeux des adultes : les Totoro.
Les discours ne servent à rien, il faut voir et revoir ce dessin animé fait pour les plus petits comme pour les plus grands.
Bref : on aimerait tous avoir ce genre de voisins !
Mon voisin Totoro, autre pilier des films d'animation du maître incontestable du genre, Hayao Miyazaki, est peut être le film qui, avec Ponyo sur la falaise, s'adresse le plus au jeune public. Néanmoins, c'est également un enchantement pour les plus grands. Un véritable hymne à la nature que cette histoire ou le monde imaginaire voire surnaturel, se mêle à la vie réelle. Comme à l'accoutumée dans les films du studio Ghibli, les décors sont justes sublimes, les personnages sont craquants et les scènes cultes se succèdent. Ces images de noiraudes qui hantent la vieille ferme, de cette attente sous la pluie à l'arrêt de bus et de ce chat-bus qui traverse la campagne resteront à jamais gravées dans nos mémoires. Reconnaissance éternelle pour toutes ses perles précieuses que sont les films du studio Ghibli. A chaque fois se sont des torrents d'émotion et de bonheur qui se déversent dans nos âmes. J'ai appris que Mr Miyazaki a décidé une nouvelle fois de sortir de sa retraite pour préparer un "dernier long métrage". Je ne peux que m'en réjouir et je souhaite à ce réalisateur de génie, malgré ses 44 ans de carrière, encore 2000 ans de créativité.
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