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    Trainspotting
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    785 critiques spectateurs

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    Michel1664
    Michel1664

    19 abonnés 734 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 septembre 2021
    Je ne sais pas trop quoi penser de ce film ?! Il est à la fois drôle grâce à quelques bonnes séquences bien comique mais aussi vraiment « tragique » et « immoral », ce qui fait que j’ai la sensation d’avoir le cul entre deux chaises ! Comme je n’ai jamais traîné dans les drogues durs, il doit aussi y avoir quelques trucs que je dois louper :- ; Sinon le rythme du film est bon, la bande de potes bien déjantée. A voir … mais pas un film culte pour moi.
    L. Lawliet
    L. Lawliet

    20 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juillet 2021
    Ce film est un peu… Spécial !

    Aujourd’hui on s’attaque (vite fais) à :"Trainspotting", par le réalisateur de "28 Jours Plus Tard" !

    "Trainspotting" est également le deuxième long-métrage de Danny Boyle après "Petits meurtres entre amis". Pour ce film, le cinéaste britannique adapte avec son scénariste John Hodge le roman éponyme de Irvine Welsh. Il parle d'un groupe d'amis, et plus spécialement de Mark, drogués et au chômage, qui tentent de survivre dans l'illégalité. La drogue est donc au cœur de cette histoire. Ce n'est pas un sujet facile, néanmoins Danny Boyle ne s'en sort pas trop mal. On retiendra particulièrement les scènes de trip du personnage principal qui sont plutôt bien construites. Cependant, le réalisateur de *127 heures* semble constamment hésiter entre plonger réellement dans la comédie ou au contraire en faire une œuvre plus sombre. De ce fait, Trainspotting devient une sorte de mixte des deux, traitant d'un sujet grave de manière assez légère, évitant de devenir glauque, mais oubliant aussi de faire rire.
    Celui qui a produit "Battle Of The Sexes" a toujours dit que c’est un film déconseillé moins de 18 ans et clairement on le comprend.
    Surtout qu’on voit dans le film Ewan McGregor nue. Et je le rappelle, McGregor est celui qui joue Obi Wan Kenobi dans "Star Wars".. donc en gros comme dans "Halston", on voit Obi Wan À poil ! 😂
    Mais donc ce film est un long-métrage que je conseille avec même pas Bruno Choël en Vf mais ne Doubleur de DiCaprio.
    On connaît le superbe réalisateur qu’il a derrière ce film. Danny Boyle fait un film au même niveau que "Trance".
    Bref
    7/10
    Pascale Fournier
    Pascale Fournier

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 juillet 2021
    Film sans intérêt. On tourne en rond avec cette bande de 4 drogués...
    Scénario très faible, pas de rythme...
    Laurent Jaubert
    Laurent Jaubert

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2021
    Mon film culte a tout jamais !!
    Une claque immense la première fois et je continue à le revoir volontiers tant ce film m a marqué
    Drôle, sordide, trash, déjanté
    On suit les aventures de ces pieds nickelés junkies dans une Ecosse très éloignée des clichés habituels. Des acteurs tous excellents , des scènes cultes à foison, et une bande son géniale...
    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 308 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2021
    L’enfer de la drogue et ses solutions ( ?) dans une mise en scène inventive et dynamique à défaut d’être du meilleur goût. Plutôt glauque avec une psychologie sommaire des personnages et une conclusion résignée. On est loin d’Orange mécanique.
     JL Hart
    JL Hart

    23 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mars 2021
    Rien à dire ! A part que C du grand art ! Magnifique. Sublime. Instructif aussi ! N'hésiter pas à le visionner ! Vous ne serez pas décu ! Et que de souvenirs ! Si vous ne l'avez jamais vu, il est temps de réparer cette erreur... L' 👽 vous 👋 🎬
    AdriBrody
    AdriBrody

    9 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 février 2021
    Je pense que les films sur ma drogue, ce n'est pas ma came (vous l'avez ?). Entre Trainspotting ou Requiem for a dream, je n'y trouve pas de plaisir. A part Scarface qui est génial, les films sur la drogue sont répétitifs, sans originalité. On suit donc une bande de losers qui va faire face à des clichés tous plus classiques les uns que les autres. Le comique de situation est plus débile que drôle (oh le caca sur les gens c'est rigolo)... Enfin bon, un bon ramassis de cliché.
    Alexarod
    Alexarod

    276 abonnés 1 866 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2020
    LE film sur la drogue donc. Oui mais encore ? Danny Boyle et Ewan Mc Gregor avec un casting anglais, pas mal non ? Et bien pas tant que ça. Pas de soucis concernant les acteurs, ils jouent bien et l’histoire sert encore à amener leurs performances, mention spéciale à Begbie d’ailleurs. Bien sûr il y a la musique également, très présente et bien choisie, ou l’humour qui casse un peu la morosité ambiante et apaise la noirceur du thème. Et puis ce sujet justement, peu abordé ou pas dans de bonnes productions, à part Trainspotting on ne peut citer que « Requiem for a dream », bien plus sombre mais pas moins bon (au contraire).
    Sauf que voilà, ça ne suffit pas à faire un bon long métrage. En soit il n’est pas mauvais mais ne vaut pas la moyenne non plus. Évidemment le thème ne me touchant pas j’y suis moins réceptif. Ensuite la critique de la société, de l’entourage du junkie, de ses mœurs et ses envies n’est pas assez présente à mon goût, car oui je condamne plus que je n’excuse. La jouer plus légèrement et détendu de la part de Boyle ne doit pas y être étranger, c’est mieux pour que ça puisse passer auprès du plus grand nombre, mais c’est aussi trop décalé peut-être. La mise en scène applaudie par tant n’est juste pas soignée. La scène des toilettes, réelle ou pas ? Certainement puisqu’il ressort mouillé, et dans ce cas on fait comment pour rentrer entièrement là-dedans ? Quant au passage sous la mer (sans respirer donc) on l’explique par un rêve de drogué ?
    Là où certains y voient une grande critique de la société j’y vois une vision trop manichéenne, en gros soit t’es drogué c’est le pied, soit t’es un citoyen lambda et tu te conformes à un moule dont tu ne peux t’échapper, et oui t’es na.ze. Matrix faisait mieux, il trouvait une explication au moins, mais entre les 2 cas cités, il n’y a rien ? L’humain n’est pas si particulier et unique en ce cas...
    woodyalien
    woodyalien

    4 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Un peu long, mais très bien.. assez emblématique du ciné britannique, très bien construit, avec la bonne touche d'humour
    Fabien S.
    Fabien S.

    542 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Un très bon film de Danny Boyle sur la drogue . De très bons acteurs. Une très bonne histoire de potes.
    Xx CARTE MAN xX
    Xx CARTE MAN xX

    15 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2020
    Un très bon film qui décrit parfaitement les effets de l'héroïne et les bêtises que l'on doit faire pour rester vivant ou mort , le film décrit parfaitement les effets de cette saloperie de drogue qui certe aide à s'évader de ce monde triste et matérialiste, d'une réalité à couper le souffle de n'importe quel Junky.
    Un chef-d'œuvre de vérité.
    Tonton Twan
    Tonton Twan

    4 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2020
    "Trainspotting" ou "90's Edinbourg princesse Sarah"

    Ce film est une tentative de réponse de Danny Boyle à la question de Michel Audiard : "Comment réussir quand on est con et pleurnichard..." Et la réponse est : On ne réussit pas...

    "Trainspotting" est un livre glauque qui a donné un film de la même eau... Qui a été élevé au rang de film culte par "les jeunes de leur génération"... Ce sont les mêmes qui font marcher les émissions de télé réalité maintenant... génération maudite pour pas dire maudite génération...

    On doit concéder à ce film 2 grands intérêts : Une bande son top et la découverte d'Ewan Mc Gregor... Certains veront un troisième bienfait à ce film : l'émergence de Danny Boyle... Je les laisse maîtres de leurs propos car je trouve qu'il y a trop de Pathos facile dans le travail de Danny Boyle... Slumdog millionaire est regardable mais souffre du même mal...
    JoKeR_9514
    JoKeR_9514

    20 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2020
    Ce film est une leçon de vie ! Voilà pourquoi on le dit et on le dira jamais assez pour que tout le monde le sachent mais retenez une chose dans votre vie, c'est de ne pas toucher à la drogue. Si vous y toucher juste une fois votre vie sera finie à cause de votre addiction. Film de Danny Boyle sorti en 1996 ainsi que Ewan McGregor, Ewen Bremner ou encore Jonny Lee Miller nous offre un film bien scénarisé bizarre et dérangeant mais le plus important est de comprendre la leçon !
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 078 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2019
    Découvrir Trainspotting juste après la claque que m'a mise Requiem for a Dream avait tout de la détente absolue; le film, affilié à un registre comique que ne partageait pas son successeur, commence dans un rythme effréné pour ne plus rien lâcher. Film hargneux s'il en est, l'oeuvre qui révéla au monde le talent clipesque de son réalisateur, un Danny Boyle inspiré, se construit au départ comme un plaidoyer de la cool attitude aux allures burlesques, pour ensuite virer, l'amour venu, dans le drame à proprement parler.

    Là où Requiem for a Dream s'intéressait à la destruction de la famille causée par la drogue (biologique et amicale), Trainspotting disserte quant à lui sur la perte progressive de l'espoir, des idéaux, de la dignité et de l'honneur au profit de quelques doses de crac prises entre deux interpellations et une cure de désintox. Le personnage interprété par Ewan McGregor représente parfaitement cela : amoureux d'une fille pas même mineure, honnête au départ mais forcé au mensonge par la rudesse de son vécu, Renton s'érige en représentant de cette société underground, coutumière des overdoses et des gros délires en trip hystériques.

    Il se pose également comme défenseur de la cause de ces camés qu'on abandonne, qu'on suit de loin en attendant la première erreur : c'est ainsi que l'on aura droit à un passage d'une ironie savoureuse en début de film, séquence durant laquelle il exposera toutes les remarques que lui font son entourage sur son mode de vie et ses fréquentations, en affichant à la vue du spectateur la malhonnêteté intellectuelle d'un discours qui condamne une drogue en étant complètement accro à une autre (l'alcool, la cigarette, la nourriture, etc).

    Si l'effet de style est amusant, il fait remonter en surface l'un des soucis d'écriture de Trainspotting : trop soucieux de prendre la pose et de présenter son intrigue de façon cool (envie qui se répercute aussi sur la manière d'héroïser ses personnages minables), il a tendance à trop dire sans le montrer suffisamment finement, à partir en frontal quand un tel exercice de style mérite de prime abord une discrétion de développement fouillée et habile.

    Ne pas montrer si clairement les défauts de la société aurait rendu la critique encore plus incisive et véridique : disons qu'il aurait eu plus d'ampleur à affiner son propos plutôt qu'a le balancer comme une tarte en pleine figure, à l'image de Trenton qui termine sa course, en début de bobine, le dos contre un pare-brise. Il n'est pas impossible de trouver une corrélation entre cette écriture qui manque de discrétion et la mise en scène tape-à-l'oeil de Boyle, qui prévoyait déjà au milieu des années 90 les tics de mise en scène insupportables du début des années 2000.

    Il est d'une certaine manière l'un des précurseurs de cette esthétique du clip à laquelle on aura droit quelques années plus tard, et a le mérite non négligeable d'être l'inspiration première du superbe Requiem for a Dream d'Arofonovsky. Paradoxalement, là où le clip dynamitait totalement les attendus du manifeste anti-drogues de 2000 et donnait une dynamique incroyable à la première heure de Trainspotting, on sent un certain essoufflement de la mise en scène à l'arrivée du monde underground de la techno, auquel s'ajoute l'évolution des moeurs, des plaisirs et des types de drogues ingérés.

    Balancé non sans humour, ce passage d'un âge à un autre prévoyant déjà la transition entre un cinéma plus classique et un autre moderniste, aux codes différents, plus excessif visuellement marque une étape particulière dans l'esthétique du film : c'est alors que l'oeuvre, encore plus excessive qu'au départ, donnera justice au charisme de ses acteurs par une iconisation venant cruellement jurer avec leurs personnalités pathétiques, menteuses, indignes.

    Là où McGregor n'est au final qu'un gosse perdu qui tombe amoureux du symbole féminin qu'il n'a pas pu connaître au collège plus jeune, là où il suit une cure de désintox (prétexte à la déformation des angles de caméra, à l'extension généreuse des cadres ainsi qu'à la distorsion des couleurs), Boyle le représente comme une victime de sa propre vie qui attend toujours le bon moment pour prendre les reines; d'une figure fragile, faiblarde on passe à un opportuniste malin qui sait quand se battre et quand se taire, où aimer et où se planquer pour échapper à la loi.

    On ne peut cependant s'empêcher de réaliser que malgré tous les efforts du réalisateur pour mettre en avant la cool attitude de son film et de ses personnages, malgré tout ce qu'il a pu faire pour le rendre comique, divertissant, détente, Trainspotting tient surtout du drame tragique durant lequel il suffira de la mort d'un personnage en particulier, ajouté à celui d'un enfant (passage d'une finesse de narration exemplaire, par contre), pour se recentrer sur une narration plus intime, enfin éloignée du superficiel et du désir d'impressionner son public.

    Boyle étant aussi capable d'émouvoir (toute mesure garder), il profite de cet évènement dramatique pour repartir de plus bel dans son intrigue et nous conduire vers des sommets de n'importe quoi. Trainspotting, ou la malhonnêteté qu'on aime détester.
    Marie Depuydt
    Marie Depuydt

    1 abonné 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 septembre 2020
    Sorti en 1996 le film Trainspotting de Danny Boyle avait véritablement mis cannes sous le choc.
    Nous sommes à Edimbourg dans les années 90. Renton et sa bande sont tous couchés dans une chambre et enchainent les speeds et toutes sortes de drogues. Au cours de cette aventure tragi-comique, Mark Renton va tenter à maintes reprises de quitter sa bande de copains, menteurs, psychopathes, voleurs… afin de retrouver une vie stable sans le besoin permanent de « shoot ». Ce film féroce et drôle interprété par Ewan McGregor, Ewen Bremner, Jonny Lee Miller... est un véritable phénomène culte en Grande-Bretagne. Tiré du best-seller d’Irvine Welsh ce film aux décors insolites et au montage hors normes mérite d’être vu !
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