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    Trainspotting
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    785 critiques spectateurs

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    teofoot29
    teofoot29

    85 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2010
    Un film exceptionnel, le meilleur de Danny Boyle, des acteurs parfaits,(Ewan MacGregor, Robert Carlyle, Ewen Bremmer...), un scénario excellent, des scènes choquantes, parfois drôles, un film sur la dépendance parfaitement et brillament réussi.
    Karim A.
    Karim A.

    44 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2016
    Les délires tragiques d"une bande d"anglais livrés à eux même dans un environnement Junkie.
    Les début prometteurs d Ewan Mc Gregor qui deviendra la star que l on connait aujourd hui.
    ml-menke
    ml-menke

    40 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2011
    Au coeur de la drogue et de la misère ils prétendent avoir raison de vivre ainsi dans l'extasse. Pourtant tout n'est pas rose avec eux. Le personnage principale en vient à la conclusion qu'ils se trompent. Alors Choisissez de vivre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 mars 2010
    Un film totalement déjanté à mourir de rire, Ewan McGregor est superbe en junkie bousculé par sa bande de potes qui le force à s'écarter du droit chemin. Robert Carlyle est impressionant en psychopathe et Ewen Bremner est à pisser de rire, en gros, ils n'ont pas fait d'erreurs sur le casting, Trainspotting est un grand cru des oeuvres de Danny Boyle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Excellent film, qualifié par certains de culte, le film possède d'indéniable qualités : Grands moments de délires psychédéliques, BO énorme.
    Mis il souffre aussi d'une réalisation médiocre et d'une interprétation stéréotypée parfois.
    Enfin le plus important reste l'ambiance...
    Tonton Twan
    Tonton Twan

    4 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2020
    "Trainspotting" ou "90's Edinbourg princesse Sarah"

    Ce film est une tentative de réponse de Danny Boyle à la question de Michel Audiard : "Comment réussir quand on est con et pleurnichard..." Et la réponse est : On ne réussit pas...

    "Trainspotting" est un livre glauque qui a donné un film de la même eau... Qui a été élevé au rang de film culte par "les jeunes de leur génération"... Ce sont les mêmes qui font marcher les émissions de télé réalité maintenant... génération maudite pour pas dire maudite génération...

    On doit concéder à ce film 2 grands intérêts : Une bande son top et la découverte d'Ewan Mc Gregor... Certains veront un troisième bienfait à ce film : l'émergence de Danny Boyle... Je les laisse maîtres de leurs propos car je trouve qu'il y a trop de Pathos facile dans le travail de Danny Boyle... Slumdog millionaire est regardable mais souffre du même mal...
    FAUX
    FAUX

    8 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 juillet 2011
    Vu pour Edimbourg... Souvenirs flous. Toujours les effets à la Boyle, toujours la conscience du "culte"... Son moins raté peut-être ? Probablement le fait du script, centré sur un junkie, qui correspond à ce que Danny semble être : un camé de l'effet choc.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 078 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2019
    Découvrir Trainspotting juste après la claque que m'a mise Requiem for a Dream avait tout de la détente absolue; le film, affilié à un registre comique que ne partageait pas son successeur, commence dans un rythme effréné pour ne plus rien lâcher. Film hargneux s'il en est, l'oeuvre qui révéla au monde le talent clipesque de son réalisateur, un Danny Boyle inspiré, se construit au départ comme un plaidoyer de la cool attitude aux allures burlesques, pour ensuite virer, l'amour venu, dans le drame à proprement parler.

    Là où Requiem for a Dream s'intéressait à la destruction de la famille causée par la drogue (biologique et amicale), Trainspotting disserte quant à lui sur la perte progressive de l'espoir, des idéaux, de la dignité et de l'honneur au profit de quelques doses de crac prises entre deux interpellations et une cure de désintox. Le personnage interprété par Ewan McGregor représente parfaitement cela : amoureux d'une fille pas même mineure, honnête au départ mais forcé au mensonge par la rudesse de son vécu, Renton s'érige en représentant de cette société underground, coutumière des overdoses et des gros délires en trip hystériques.

    Il se pose également comme défenseur de la cause de ces camés qu'on abandonne, qu'on suit de loin en attendant la première erreur : c'est ainsi que l'on aura droit à un passage d'une ironie savoureuse en début de film, séquence durant laquelle il exposera toutes les remarques que lui font son entourage sur son mode de vie et ses fréquentations, en affichant à la vue du spectateur la malhonnêteté intellectuelle d'un discours qui condamne une drogue en étant complètement accro à une autre (l'alcool, la cigarette, la nourriture, etc).

    Si l'effet de style est amusant, il fait remonter en surface l'un des soucis d'écriture de Trainspotting : trop soucieux de prendre la pose et de présenter son intrigue de façon cool (envie qui se répercute aussi sur la manière d'héroïser ses personnages minables), il a tendance à trop dire sans le montrer suffisamment finement, à partir en frontal quand un tel exercice de style mérite de prime abord une discrétion de développement fouillée et habile.

    Ne pas montrer si clairement les défauts de la société aurait rendu la critique encore plus incisive et véridique : disons qu'il aurait eu plus d'ampleur à affiner son propos plutôt qu'a le balancer comme une tarte en pleine figure, à l'image de Trenton qui termine sa course, en début de bobine, le dos contre un pare-brise. Il n'est pas impossible de trouver une corrélation entre cette écriture qui manque de discrétion et la mise en scène tape-à-l'oeil de Boyle, qui prévoyait déjà au milieu des années 90 les tics de mise en scène insupportables du début des années 2000.

    Il est d'une certaine manière l'un des précurseurs de cette esthétique du clip à laquelle on aura droit quelques années plus tard, et a le mérite non négligeable d'être l'inspiration première du superbe Requiem for a Dream d'Arofonovsky. Paradoxalement, là où le clip dynamitait totalement les attendus du manifeste anti-drogues de 2000 et donnait une dynamique incroyable à la première heure de Trainspotting, on sent un certain essoufflement de la mise en scène à l'arrivée du monde underground de la techno, auquel s'ajoute l'évolution des moeurs, des plaisirs et des types de drogues ingérés.

    Balancé non sans humour, ce passage d'un âge à un autre prévoyant déjà la transition entre un cinéma plus classique et un autre moderniste, aux codes différents, plus excessif visuellement marque une étape particulière dans l'esthétique du film : c'est alors que l'oeuvre, encore plus excessive qu'au départ, donnera justice au charisme de ses acteurs par une iconisation venant cruellement jurer avec leurs personnalités pathétiques, menteuses, indignes.

    Là où McGregor n'est au final qu'un gosse perdu qui tombe amoureux du symbole féminin qu'il n'a pas pu connaître au collège plus jeune, là où il suit une cure de désintox (prétexte à la déformation des angles de caméra, à l'extension généreuse des cadres ainsi qu'à la distorsion des couleurs), Boyle le représente comme une victime de sa propre vie qui attend toujours le bon moment pour prendre les reines; d'une figure fragile, faiblarde on passe à un opportuniste malin qui sait quand se battre et quand se taire, où aimer et où se planquer pour échapper à la loi.

    On ne peut cependant s'empêcher de réaliser que malgré tous les efforts du réalisateur pour mettre en avant la cool attitude de son film et de ses personnages, malgré tout ce qu'il a pu faire pour le rendre comique, divertissant, détente, Trainspotting tient surtout du drame tragique durant lequel il suffira de la mort d'un personnage en particulier, ajouté à celui d'un enfant (passage d'une finesse de narration exemplaire, par contre), pour se recentrer sur une narration plus intime, enfin éloignée du superficiel et du désir d'impressionner son public.

    Boyle étant aussi capable d'émouvoir (toute mesure garder), il profite de cet évènement dramatique pour repartir de plus bel dans son intrigue et nous conduire vers des sommets de n'importe quoi. Trainspotting, ou la malhonnêteté qu'on aime détester.
    pfloyd1
    pfloyd1

    124 abonnés 2 101 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2023
    Trainspotting fait partie des grands classiques du cinéma à voir absolument. L'histoire se situe dans les quartiers défavorisés de l’Écosse où un groupe de junkies passent leur temps à se piquer à l’héroïne. Tous les acteurs sont excellents, chaque personnage est un cas à lui tout seul, parfois drôle ou pathétique mais toujours mêlé au drame de la dépendance et de la décadence de la jeunesse. La réalisation est elle aussi parfaite, appuyé d'une bande son inoubliable (du groupe électronique Underworld). A travers la narration du personnage principal, c'est avec émotions que l'on plonge littéralement dans cette spirale infernale de la drogue avec humour et désinvolture. Trainspotting est un chef d’œuvre que l'on ne peut oublier.
    bobmorane63
    bobmorane63

    185 abonnés 1 956 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2012
    Un film Britannique culte qui marque les esprits par le metteur en scène talentueux Danny Boyle !! Je l'avais découvert pendant sa sortie, j'avais un souvenirs bizzare d'un long métrage dur, faut dire qu'il est interdit aux moins de 16 ans, l'age que j'avais à l'époque et en le revoyant aujourd'hui, c'est un peu plus leger que je ne le pensais avec un coté trash et délirant avec de l'humour British. L'histoire de cinq potes avec des personnalités différentes accros à la cocaine qui ont des visions assez droles. La première partie raconte l'amitié entre amis, les relations avec les filles et autres choses de façon sympathique. La suite dégainère avec les abus à la consommation, la cure de désintoxication difficile pour l'un, la perte d'un ami par overdose, la violence. Ce film porte un message de ne jamais commencer la drogue et le sujet fait reflechir au fil de l'histoire. Danny Boyle singne à ce jour son meilleur film avec des images d'une virtuositée impressionnante aidé d'une excellente bande originale (Lou Reed, Iggy Pop etc...). Les cinq acteurs principaux, Ewan Mc Gregor, Ewen Bremner, Jonny Lee Miller, Robert Carlyle et l'acteur dont je ne me souviens plus du nom livrent des performances grandioses. Vous n'aurez aucune excuses si vous l'avez pas vu.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    349 abonnés 1 779 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    "Trainspotting" est le grand frère de "Requiem for a Dream", mais avec une touche typiquement british. Culte et symbole d'une génération, il dépeint les premières heures sombres de la drogue à travers les yeux d'un junkie, tout en adoptant un ton décalé et fantastique pour créer une comédie noire plutôt qu'un pur drame. Malgré cet humour noir, certains passages sont extrêmement durs, exposant les ravages de la drogue, et ce ton décalé ne fait que renforcer leur impact sans tomber dans une violence excessive. Le personnage de Mark Renton, brillamment incarné par Ewan McGregor, est fascinant : il oscille entre rédemption et rechute, permettant au spectateur de vraiment comprendre ses choix. Le film explore également les conditions de vie déplorables de la jeunesse dans une Écosse en crise économique dans les années 1990, un facteur clé dans la consommation de drogue.
    Audrey L
    Audrey L

    627 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2019
    Film complètement taré pour les amateurs de séquences sous opiacées... Trainspotting se révèle plus mature que les films psychédéliques sans but, car il nous donne à voir (au travers de ses hallucinations) la société écossaise prise en étau entre nationalité anglaise à peine souhaitée et volonté d'indépendance affirmée. Cette volonté d'émancipation passe ici par la métaphore de ces jeunes junkies qui se "libèrent" de tous ces carcans (société, famille, enfants...) par la drogue en grande quantité. Ewan McGregor est le fil conducteur de cette épopée transgressive, un poil plus sage que les chiens fous qu'il a comme amis, et sa vie hors de cette communauté restrictive permet d'ajouter une note d'espoir au "self-made" (l'art de se construire en faisant ses propres choix). Danny Boyle s'est clairement amusé avec ce scénario (il n'y a qu'à voir la séquence de désintoxication, mythique et déjantée), et malgré l'image vieillie du film et l'aspect un peu redondant de l'intrigue de drogue et junkies, on se souvient longtemps de ce petit bijou barré .A voir surtout pour Ewan McGregor perdu au milieu de chiens fous, et pour la scène de désintoxication qui n'a rien à envier à L'Exorciste (version timbrée).
    kibruk
    kibruk

    144 abonnés 2 535 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mars 2021
    Mêlant de façon très étonnante réalisme et délires (comme la scène culte de la plongée dans les WC), "Trainspotting" arrive à être à la fois une comédie sociale très drôle et l'une des meilleures représentations cinématographiques des ravages de la drogue. On passe du rire à l’émotion le tout dans un contexte très misérable et sordide, c'est ce qui rend "Trainspoting" unique et inoubliable.
    vive-le-cine123654789
    vive-le-cine123654789

    95 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2014
    Un film vraiment super. Bon, ce film nous montre un côté de la toxicomanie qui n’est peut-être pas forcément très proche de la réalité, mais on sent quand même que ces personnages sont parfois complètement déconnecté de la réalité. Mais avant tout, ce film est un message de vie si on peut dire et qu’il faut profiter de ce que l’on. L’histoire est vraiment superbe, en suivant le personnage principal au travers de petits épisodes de sa vie passant par divers état, nous faisant entrer très rapidement dans ses trips. Plusieurs des scènes en deviennent même géniale tellement le trip va loin (je pense notamment à la scène dans les toilettes au début, ou celle lors du sevrage…juste mythique). Non, sincèrement l’histoire est vraiment géniale, bien menée et vraiment prenante. Certains des dialogues sont tout simplement épiques et jouissif. Les acteurs sont tous vraiment très bon : aucun ne sort vraiment du lot, sauf peut-être McGregor mais parce qu’on le voit plus souvent. La mise en scène de Danny Boyle nous montre déjà ce qui deviendra la marque de fabrique du réalisateur avec un montage dynamique et des plans serrés magnifiquement orchestrés. Musiques et décors contribuent à créer cette atmosphère particulière du film. Un film super que je conseille vivement !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 novembre 2013
    Procédé malheureusement fréquent au cinéma, l'utilisation d'une excellente bande son afin de porter le scénario. Dans l'odyssée de l'espace, on se sert effectivement de la musique pour accompagner les images mais un profond silence ferait aussi l'affaire. Ici, la musique nous relance constamment, comme une drogue que le spectateur s'administrerait sans règle ni raison. ——————————————————————————————————————————————
    Nous avons ensuite l'ambiance du milieu drogué. C'est peut-être assez caricaturale, il s'agit d'un regard superficiel, extérieur sur la drogue réussissant néanmoins à communiquer une certaine énergie, un délire de groupe, des situations grotesques et amusantes. Il reste néanmoins quelque chose de ridicule et de puéril dans le jeu des acteurs. Les rôles sont exagérés et tout tourne autour du personnage central Ewan qu'il faudrait considérer comme charismatique, je crois.
    ———————————————————————————————————————————————
    Jusquà cette fin absurde où tout est mélangé. Sur un ton cynique et ironique, Ewan décide de se conformer à la société de consommation et d'abandonner définitivement la drogue. Résolution qui se veut sérieuse mais que le spectateur oubli sur le champs à l'écoute de l’excellent titre Born Slippy du non moins excellent groupe Underworld.
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